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Une journée d’anniversaire bien remplie (partie II)
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De retour dans le dédale du métro parisien, après de nombreux trajets celui-ci nous amène à notre première étape libertine, destination Pyramides.
Nous remontons rapidement la rue Thérèse et passons le hall discret des Chandelles.
Nous sommes comme à l’habitude très bien accueillis, à savoir tapis rouge pour missdactari, erreur volontaire sur le prénom en ce qui me concerne… que voulez-vous ici les femmes sont reines, il faut l’accepter ou changer d’établissement.
Ce qui tombe bien puisque, pour cet anniversaire, j’ai à cœur d’ouvrir les hostilités coquines de la meilleure façon qui soit. Je ne suis pas encore fixé sur les détails : gang bang endiablé, concours de cunnilingus allongée sur le bar, autres délices ?
C’est aussi l’ambiance du jour, les hommes présents, et surtout les envies de la principale intéressée qui donneront le ton.
Après notre périple “love shops” nous avons grand besoin de nous désaltérer, et le passage au bar permet de s’habituer à la faible luminosité du club.
C’est même l’endroit idéal pour se préparer à la semi obscurité des espaces de débauche.
Requinqués, nous ne perdons pas une seconde pour nous diriger vers notre zone préférée : le grand matelas à la forme incurvée à l’angle du club, motif en toile de Jouy, murs rougeoyants…
Comme souvent nous “ouvrons le bal”, sans trop préjuger de la suite, il s’agit simplement de démarrer le jeu, et de voir ou la suite nous portera.
Evidemment nous pouvons (enfin, surtout missdactari en l’occurrence) refuser ou accepter certaines approches, pour influencer sur la teneur des ébats.
Un premier homme s’approche, qui ne m’est pas inconnu… nous avons déjà batifolé avec lui et je sais que la miss l’apprécie. Il n’est pas accompagné comme il l’était lors de notre précédente rencontre, mais ce n’est finalement pas si mal car cela m’évitera de me disperser.
Le trio commence, d’abord en douceur. Notre invité sait-y faire, on le sent habitué des clubs et expérimenté, à l’écoute.
Ce n’est donc qu’une demi surprise lorsque missdactari refuse poliment les propositions d’autres hommes, à l’évidence elle a déjà tout ce qu’il faut pour être comblée. Pas de Gang-Bang endiablé pour cette fois.
Je ne sais pas si notre complice est au courant qu’il s’agit d’un jour spécial, je me plais à penser qu’il ne l’est pas, mais que c’est tout simplement un gentleman qui a tout comme moi à cœur de combler sa partenaire.
Chose rare et ô combien précieuse, nous sommes lui et moi sur la même longueur d’onde. Sans nous parler, chacun trouve sa place, les bons gestes.
Nous sommes totalement complémentaires et servons un but unique : donner à la belle un maximum de plaisir.
Je la sens particulièrement excitée lorsqu’il la pénètre avec assurance dans une magnifique levrette, pendant que je suis allongé et gratifié d’une délicieuse fellation.
Il saisit fermement la miss par les hanches, sait-il à quel point elle apprécie ce geste ? Voyant le trouble dans ses yeux, je n’hésite pas une seconde à ajouter le petit plus qui l’amènera à l’extase.
Humectant deux doigts de salive, je passe la main entre les cuisses de notre consentante victime et je m’applique à caresser son clitoris de la meilleure façon.
C’est que je commence à savoir comment elle fonctionne !
L’effet ne se fait pas attendre : un soupir, un léger gémissement… il m’a semblé que son corps s’est raidit pendant une fraction de seconde.
Mon semblable a de toute évidence perçu lui-aussi ces signaux. Il me jette un rapide regard, j’y réponds par un sourire motivé et un œil pervers dirigé vers l’entrejambe de missdactari.
Pendant que je m’assure que mes doigts restent suffisamment humides, il augmente légèrement l’amplitude de ses mouvements, ressert ses mains et maintient la cadence.
L’ascension vers l’orgasme semble bien engagée, voir inéluctable… je le perçois dans les yeux de missdactari, l’explosion est proche… il s’agit de ne rien lâcher.
Arrive alors ce moment délicieux, juste avant la jouissance, lorsqu’elle se laisse submerger, lorsque le retour en arrière n’est plus possible, lorsque pendant quelques secondes elle ne peut qu’attendre impuissante cette petite mort.
Un gémissement un peu rauque vient couronner notre entreprise, mais nous ne laisserons aucune échappatoire à notre victime et elle ne perdra pas un fragment de son plaisir.
C’est seulement une fois assurés que l’orgasme est complet que nous croisons à nouveau notre regard, satisfaits d’avoir si bien coordonné nos efforts.
Et tout cela sans échanger un seul mot…
Est-ce lié à ce jour particulier ? Je me plais plutôt à croire que le hasard a bien fait les choses.
Les jeux se poursuivent encore quelques temps, même si nous avons atteint un sommet pour le moment.
Le mieux étant l’ennemi du bien, nous ne tenterons pas de renouveler tel exploit dans l’immédiat.
Ayant rendu les armes, récupéré nos vêtements respectifs et repris nos esprits sous une douche bienfaisante, nous retournons vers le bar, le cœur léger.
Lumière feutrée, ambiance joviale et détendue… comme à l’accoutumée, les Chandelles est un club où l’on se sent bien et où le temps passe évidemment trop vite.
Je suggère à missdactari un second round, abondance de bien ne nuit pas dit-on…
Mais elle préfère en rester là et garder des forces pour le soir, et puis nous avons un agenda à tenir !
Nous prenons donc congé, et remontons au vestiaire. La miss revient à une tenue plus adaptée pour la suite de la journée pendant que nous échangeons quelques mots ironiques avec Bernard, le maître des déjeuners scandaleux et des after-work coquins.
Notre prochaine étape nous amène vers la place Clichy, mais cette fois ce ne sera pas pour s’y garer à la faveur d’une sortie dans le quartier de Pigalle.
Il est temps de reprendre des forces, et après le plaisirs des corps, nous allons laisser place aux plaisirs de la table.
Le choix était vaste, mais nous parlions de partager un grand plateau de fruits de mer depuis quelques temps déjà… quelle meilleure occasion pour assouvir cette envie ?
Nous prenons place à la table de la brasserie Wepler. Soutenant le prix littéraire du même nom et faisant face à la statue de Moncey, l’établissement propose à sa carte quelques plateaux forts appétissants.
La décoration vintage et ses photos de cinéastes nous font changer d’époque, alors que notre goût pour les conversations détendues autour du sexe contraste largement avec la bienséance du lieu.
Ce côté provocateur que nous partageons nous amuse toujours autant, et nous nous demandons ce que les autres convives ont fait de leur journée, ce qu’ils feront de leur soirée…
Probablement leur programme est-il différent du nôtre, et je ne manque pas de me sentir privilégié.
Alors que le plateau de fruit de mer est servi sur une table attenante compte tenu de sa taille, nous nous entendons sur un plan d’attaque infaillible, qui va le mener à sa perte.
Lentement mais surement, gâtant nos palets, nous faisons honneur à l’assortiment et marquons notre victoire en nous accordant un dessert.
Je ne sais pas encore précisément quel établissement nous accueillera pour la nuit. Missdactari a gardé le secret, mais à voir ses yeux briller et une certaine impatience, il est évident qu’elle a porté son dévolu sur un établissement d’exception.
La nuit est tombée pendant notre dîner, et nous retrouvons l’agitation nocturne du quartier qui nous est coutumière. Il n’est point besoin de s’engouffrer dans une bouche de métro cette fois-ci. Car l’établissement mystère est à quelques pas…
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Crédits photos : L’ancien blog de Valérie H (des Chandelles), Love MMF threesome pic’s & fantasies, Candaulismes, WikiPedia, Yelp (ex Qype).
Un agréable piège
J’accompagne assez régulièrement (autant que raisonnablement possible) missdactari dans des sorties plutôt orientées “pluralité masculine”…
Cependant il arrive, histoire de varier les plaisirs (et de se focaliser un peu plus sur les miens) que nous sortions dans des environnements moins pluraux.
Voir même en après-midi ou soirée couple 1.
Prétextant la proximité de mon anniversaire, nous nous sommes retrouvés il y a quelques temps en après-midi “couple” au Moon-City, célèbre sauna libertin parisien.
Les précédentes sorties étant principalement en “club sec”, nous ne boudons pas notre plaisir de retrouver les bulles du jacuzzi.
A cette heure, le Moon n’est pas pris d’assaut, il est encore trop tôt pour les 5 à 7, et les couples légitimes sont généralement plutôt du soir.
Nous ne nous interdisons pas de coquiner avec un couple, bien que nos récentes expériences soient assez inégales.
Qu’importe, sans trop y croire, nous n’hésitons pas à commenter sur ceux qui pourraient nous convenir…
Pas de gros enjeu toutefois, nous sommes aussi venus pour nous détendre, et les bulles sont déjà une bénédiction en elles-mêmes.
Et même si plus on est de fous plus on jouit, nous pouvons nous suffire à nous même 2.
Alors que le désir se fait plus présent, nous décidons de monter dans la partie interactive, à la recherche d’un coin confortable, et qui nous permette de laisser venir au moins un autre couple.
Alors que nous portons notre choix sur le premier espace, celui à plusieurs niveaux de matelas, nous constatons que personne dans le couloir ne semble nous avoir suivi ni repéré.
Nous nous installons donc tous les deux, en prenant soin de laisser la porte ouverte.
Missdactari décide de démarrer les hostilités et entame une très agréable fellation.
Et c’est alors que le piège se referme…
Alors qu’elle me suce, un couple apparait dans mon champ de vision, comme venu de nulle part.
Je ne pense pas les avoir repéré avant dans le club, ni vu passer par l’ouverture de notre coin câlin.
En fait c’est surtout la femme du couple, me faisant face, que je vois, son compagnon étant resté un peu en retrait.
Ils nous proposent dans détour de se joindre à nous, et j’ai à peine le temps d’exprimer mon approbation que déjà la femme s’approche de moi.
Ou plutôt de mon entrejambe… car elle semble décidée à gouter elle aussi à ma queue, que missdactari a l’air de tant apprécier.
Je n’ai pas vraiment eu le temps de vérifier si l’homme était du goût de missdactari et si elle était vraiment partante, mais son regard semble dire “profite, le mec j’en fais mon affaire”.
Peu adepte des fellations en duo avec des inconnues, elle propose à la femme de lui passer le relais, pour pouvoir s’occuper de monsieur.
Elle me prend en bouche de façon très assurée, et est très douée.
C’est fou comme ça peut être agréable de ne pas avoir à se poser de questions lorsqu’une partenaire prend autant les choses en main (ou en l’occurrence… en bouche) !
Sachant que missdactari n’en sera pas offusquée, je me focalise sur ma nouvelle partenaire.
Le moment ne semble pas être en faveur d’un jeu à 4…
La difficulté de trouver une réelle harmonie à deux couples est un sujet qui vaudrait à lui seul un long débat.
Pour cette raison nous sommes aussi adeptes du “2+2”.
Tout en profitant de ses talents, je m’attarde un peu plus à la détailler du regard, car malgré un apriori positif, tout est allé très vite.
Ses cheveux mi-longs et frisottés d’une couleur châtain, ont probablement contribué à cette bonne première impression.
Son visage est en partie caché par ses cheveux, et je ne le vois pas très bien.
Je crois deviner qu’elle est méditerranéenne, ce que sa peau légèrement matte semble confirmer.
Sa silhouette est assez élancée et harmonieuse sa taille marquée, sa poitrine à l’évidence naturelle est magnifique, plutôt généreuse sans être opulente…
Je me redresse et caresse son épaule, son bras, puis descend sur ses seins, ses hanches et ses fesses.
Sa peau est incroyablement douce et soyeuse, j’en frissonne de plaisir.
Sans aucun doute, elle prend grand soin de sa peau.
Son visage souriant n’est pas marqué, mais ses traits ne sont pas ceux d’une jeune fille non plus…
De fait, son âge est indéfinissable et tout pronostic serait futile.
Sans être un top-modèle, sans avoir un physique sur lequel “n’importe quel homme se retourne dans la rue”, elle est belle, tout simplement.
Magnifique même… plus je la regarde et plus j’en suis frappé.
Le contact de sa peau m’électrise littéralement, je suis subjugué par cette beauté à la fois simple et profonde, comme je les aime.
Je poursuis mes caresses, et elle se relève tandis que je me redresse, nos corps se rapprochent et nous sommes comme attirés.
Nous nous enlaçons, je la découvre très tactile. Sa peau contre la mienne me met dans un état second, me donne des envies de fusion.
J’ai très envie de lui montrer qu’à mon tour, je ne suis pas un avare de caresses buccales, et l’invite à s’allonger et à se détendre.
Elle apprécie mon initiative et m’ouvre la voie vers son intimité, que je ne tarde pas à déguster…
… tout d’abord en douceur, de la pointe de ma langue, et progressivement de façon plus appuyée.
Je promène mes doigts à proximité de sa fente, sondant sa réaction, afin de déterminer si elle souhaite ce complément dans mes caresses.
Elle n’a pas l’air opposée à l’intromission délicate d’un doigt, puis deux.
Ils sont accueillis chaleureusement et avec gourmandise, son entrejambe est déjà d’une humidité très avancée.
Attentif, je m’efforce d’optimiser mes caresses, scrute ses réactions… je me délecte déjà face à la perspective de lui donner un premier orgasme.
Mais elle en décide autrement, et me fait clairement comprendre qu’elle a envie d’être pénétrée là tout de suite, en s’allongeant sur le dos.
Un peu étonné qu’elle ne profite pas de mes caresses jusqu’au bout, je me dis qu’elle a peut-être l’orgasme clitoridien “radical” et le garde pour le bouquet final.
Ou bien elle a tout simplement envie d’accélérer les choses ?
Cette fois, je suis décidé à ne pas me poser mes éternelles question, ni à essayer de tout comprendre, de tout interpréter.
Cette fois, je vais profiter du moment présent, et faire preuve de cette petite touche d’égoïsme que je me refusais jusque-là avec une inconnue.
J’ai envie d’elle, très envie d’elle, et je vais accéder à sa demande sans arrière-pensée.
Je me prépare à la pénétrer pendant qu’elle use de mots crus pour me témoigner de son impatience d’être prise.
Alors que je prends possession de son corps, elle se cambre légèrement et son regard s’agrandit… sa bouche s’ouvre.
A l’évidence son envie de ma queue n’est pas désintéressée… en tout cas elle le verbalise avec moult compliments.
Encouragé, j’accentue chacun de mes coups de bassin… Je suis décidé à la baiser sans retenue.
Qu’importe la sincérité de ses râles, si elle veut ma queue autant qu’elle le prétend, elle va être servie !
L’étreinte est intense, ses cuisses grandes ouvertes, elle parcourt tout mon corps de ses mains, appelle un baiser indécent.
Son air sauvage, ses mots dépravés font sauter mes réserves habituelles.
Va-t-elle jouir ? Aime-t-elle ce que je lui fais ?
Peu importe, je lui donne ce qu’elle me demande, elle en fera ce qu’elle voudra.
A cet instant présent je savoure cet assaut bestial de manière totale.
Toujours aussi crûment, elle demande à être honorée.
Ce genre d’injonction est d’un résultat assez incertain chez moi, mais le ton qu’elle a employé est d’une rare perversité.
Je lâche prise progressivement, et laisse venir le plaisir à moi, j’attends le coup de grâce.
Un violent orgasme me transperce le bassin… et j’éjacule dans un dernier coup de rein, lent et ample, jusqu’à avoir empalé ma belle inconnue jusqu’à la garde.
J’ai la sensation de m’être totalement répandu en elle, malgré le préservatif.
Je profite de cet état de plénitude, béat et échange un regard bienveillant à l’égard de celle qui a su me faire prendre autant de plaisir.
J’ai chaud, je suis essoufflé, sans avoir eu l’impression de faire le moindre effort… comme si mon instinct avait décidé pour moi.
Il ne semble pas qu’elle soit parvenue à l’orgasme… alors que de mon côté ça ne fait aucun doute.
Elle décline pourtant ma proposition de cunnilingus, à ma grande surprise.
Je ne saurai dire, de son plaisir ou de la satisfaction de m’en avoir donné, ce qui la rend aussi souriante.
Mais elle a l’air bien, apaisée et satisfaite, elle aussi.
Le piège se rouvre peu à peu…
De nouveau nos corps se rapprochent alors que nous nous redressons en reprenant nos esprits.
Les caresses sont plus lentes, plus douces.
Je cherche des mots pour exprimer ma gratitude, mais me contente d’un sourire qui finalement exprime mieux ce que je ressens.
Nous retournons à la civilisation, et le langage se fait plus poli…
Je n’ai pas suivi ce que missdactari a fait avec monsieur, et je me sens un peu démuni, presque honteux, de ne m’être pas assuré qu’elle avait passé un bon moment.
A l’évidence, pas aussi bon que moi… mais je sais que si cela ne lui avait pas convenu, elle me l’aurait fait savoir.
Nous discutons tous les quatre, leur curiosité a été attisée par mes préservatifs en format “carte de crédit”.
Mais il semble que l’heure du départ est déjà dépassée pour eux, et ils prennent congé rapidement, nous ne les recroiserons pas…
C’est peut être mieux ainsi, laisser planer le mystère et ne garder en souvenir de ma belle inconnue, de ce piège délicieux, que ce moment de fougue.
Crédits photos : Sexeviolence†, Javelins Arc, Black and White Sex†.
† Ce site a disparu depuis la publication du billet
WE mais non…
La politique tarifaire d’un club est un sujet qui revient souvent sur la table entre libertin.
Tel club est moins cher, ou offre de meilleures prestations, de meilleurs horaires d’ouverture, est plus propre, les boissons sont moins chères etc…
Sans parler des tarifs pour les hommes seuls par rapport aux couples, des femmes seules qui payent ou non, il y a toujours un débat animé entre libertins qui discutent de leurs clubs préférés (ou non).
C’est dire si la politique tarifaire d’un club est quelque chose de sensible et de hautement stratégique, d’autant que la concurrence des soirées privées est réelle.
Lors d’une récente visite au WE, j’ai pu (avec quelques amis et amies) vérifier comme une politique de tarif inadaptée pouvait poser des soucis.
En effet, depuis le mois de Juin le club ouvre désormais les vendredi après-midi et propose l’entrée “libre” aux couples et femmes seules.
Ce produit d’appel a sans doute pour but d’amener les couples et femmes seules à fréquenter le club sur ce nouvel horaire, en vue de se rattraper sur les entrées “hommes seuls” par la suite, puisque sur cet horaire le club est mixte.
Bref, rien de bien nouveau, certains clubs pratiquent déjà ce genre de tarification, bien qu’elle soit souvent assortie de “consos obligatoires” (ce qui revient à une entrée à faible tarif avec conso incluse, en fin de compte).
Le site du WE indique des consommations à 18 €, sans caractère obligatoire. Même si l’on dit généralement que la limonade fait vivre les établissements nocturnes, on dépasse là le record du No Comment, qui vous douchait déjà bien avec le soda à 15 €.
Malgré notre première intention, par cette offre alléchés, nous décidons pour cette sortie à 5 (dont 3 femmes) de tester la formule, d’autant que 3 d’entre nous ne connaissent pas encore le WE.
Nous passons un bon moment dans ce club à l’architecture pour le moins verticale 1 mais aux coins horizontaux toujours aussi agréables.
Petite nouveauté depuis notre dernière visite : le filet qui permettait de coquiner tout en voyant / se faisant voir du niveau inférieur a disparu, et un coin câlin s’est transformé en blackroom.
Ces changements montrent que le club est entretenu et que de petits ajustements y sont effectués régulièrement, ce qui est toujours appréciable.
C’est dommage pour le filet qui avait un côté fun et inédit, mais il faut reconnaître que ce n’était, en pratique, pas confortable du tout.
Nous laissant déborder par le temps (qui passe toujours trop vite lorsque l’on est en bonne compagnie) une partie de groupe se voit contrainte de quitter les lieux sans délai.
Au moment de récupérer leurs affaires, le gérant leur demande s’ils ne veulent pas boire un verre.
Pressés et pas forcément enthousiastes à dépenser 18 € dans un verre, ils déclinent.
A ma grande surprise, nous nous voyons déclamer une tirade fort peu commerciale sur le respect du lieu, les coûts de fonctionnement du club, qu’il va “falloir nettoyer derrière nous”, que ce ne sont pas 8 € qui vont nous tuer (bizarre, le site indique bien 18 €) etc…
Faut-il préciser que nous avons joué de façon “libertine”, ne nous cantonnant pas à prendre le club pour un hôtel gratuit, dans la mesure où nous avons fait participer le seul homme seul présent 2 ?
Quelque peu refroidis, nous décidons avec missdactari de quitter les lieux également, alors qu’il nous restait du temps devant nous (nous étions même éventuellement disposés à prendre un ou deux verres, mais certainement pas sous la contrainte).
Nos amis tiennent bon, ils sont pressés… nous quittons donc tous rapidement le WE dans une ambiance lourde.
S’il est bien une chose qui n’a pas été respectée ici, c’est la tarification annoncée par l’établissement.
Le seul homme seul présent à ce moment n’a certes pas dû aider à rentabiliser ce nouveau créneau… pour autant lorsque l’on annonce un tarif, la moindre des choses est de s’y tenir.
A ce jour, le site du club indique toujours les mêmes tarifs pour le vendredi après-midi.
Gageons que cette attitude n’était qu’un faux pas à mettre sur une mauvaise humeur passagère, ou que la formule sera revue de façon à être plus adaptée aux objectifs de l’établissement.
En attendant, je suis moins enclin à retourner dans ce club, dans lequel j’avais pourtant passé quelques soirées bien agréables, et qui garde malgré tout de nombreux aspects positifs.
Le logo vient du site web du club WE.
Triathlon (étape III)
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Après un trajet sans histoires, nous abordons la rue du Cherche-Midi et surveillons les numéros afin de nous approcher au mieux de la Galerie Le Sevrien.
Nous voici aux abords du club, sachant qu’il n’est pas évident de trouver une place dans la rue, nous avons convenu de faire appel aux services du voiturier.
Nous stationnons devant une porte cochère, le cherchant du regard…
Soudain la porte passager s’ouvre d’un coup, nous faisant bondir sur nos sièges. Le voiturier a surgi de nulle part et nous prend en charge… presque trop efficace.
Après ce petit coup d’adrénaline, nous nous dirigeons vers la galerie.
Je n’ai jamais visité l’Overside auparavant, c’est donc une première pour moi. Mon accompagnatrice a déjà fait une visite des lieux auparavant.
Le moins que l’on ne puisse dire, c’est que l’on n’imaginerait pas trouver un club libertin à cet endroit.
En descendant une large rampe d’escalier, nous abordons une galerie souterraine. Tout de suite sur notre droite, une porte discrète marque l’entrée de l’établissement.
Nous nous débarrassons de nos manteaux au vestiaire, et discutons un peu avec le personnel… puis il est temps pour moi de faire le tour des lieux.
C’est toujours avec intérêt que je découvre un nouveau club. En ayant fréquenté plus ou moins assidument un nombre qui commence à être raisonnable, je dispose d’éléments de comparaison qui permettent d’apprécier tel ou tel point, ou de voir quelles améliorations pourraient être apportées 1.
En passant le vestiaire, nous débouchons sur le bar immédiatement sur notre droite. De là, nous pouvons soit continuer vers les coins câlins sur notre gauche, soit la zone dancefloor / restauration sur notre droite.
Nous commençons par cette dernière. La piste est grande et bien aménagée, le matériel de sonorisation et d’éclairage sont à la hauteur. On m’a souvent vanté les mérites de la partie discothèque de ce club, en tout cas les moyens y sont.
Nous montons quelques marches et nous voici sur une sorte de demi-étage où le buffet est dressé. Le choix est pléthorique, la présentation agréable, les aliments de qualité.
C’est un buffet qui sort du lot, loin devant ce que j’ai pu voir dans d’autres établissements.
Mais nous nous restaurerons plus tard, car la visite n’est pas terminée.
Dans l’enfilade du buffet, sont disposées quelques tables basses rondes autour de banquettes, le tout est disséminé sur différents niveaux.
Ces “plateformes” de restauration sont articulées autour de la cabine du DJ. Un rapide coup d’œil me confirme que le matériel n’est pas le choix d’un amateur, sinon éclairé.
Sous le plus haut étage, se trouve l’entrée discrète d’une blackroom, relativement vaste… idéale pour les amateurs d’inconnu.
Taquin, j’y entraine missdactari au prétexte de voir la taille de la pièce… dans l’obscurité, je la plaque contre un mur et laisse aller mes mains à l’exploration. S’il se trouve que la pièce est assez vaste, je me sens malgré tout à l’étroit dans mon boxer…
Mais l’heure n’est pas encore aux effusions de libido…
Nous rebroussons chemin et passons du côté ludique des installations. A l’entrée de cette zone trône un tabouret de bar. Il est inoccupé pour l’instant mais c’est le domaine du videur.
Sur notre gauche s’ouvre une première salle hexagonale à la décoration romaine. Au centre figure un matelas surélevé, hexagonal lui aussi.
Chaque pan de mur possède une petite banquette en regard de ce coin central. Prometteur !
Face à cette salle, un autre coin, plus simple avec un matelas en longueur, est le seul muni d’une porte.
A l’angle un petit coin SM avec un peu de matériel. Rien de bien méchant, mais il y a le nécessaire de base pour attacher son ou sa partenaire.
Nous poursuivons dans les couloirs, passant un renfoncement, avec ce qui pourrait ressembler à un confessionnal 2, puis un espace d’accès étroit, où l’on ne tient guerre à plus de 4.
Nous arrivons enfin sur 2 grands coins à l’enfilade, un premier assez grand muni d’une sorte de cage qui peut facilement faire tenir une personne allongée.
A la suite un second espace, le plus grand du club, permet d’accueillir de nombreuses personnes, avec des murs parés de miroirs.
Le tour du propriétaire achevé, nous retournons vers le bar.
C’est une soirée mixte, la formule prévoit que seuls les couples peuvent accéder au club dans un premier temps, et en profitent pour se restaurer.
Les hommes seuls ne sont acceptés que dans un second temps, et ne profitent pas du buffet.
Nous goutons donc les nourritures terrestres avant de passer à celles de la chair.
Petit défaut : les tables style “discothèque” sont petites et assez basses, plus adaptées pour poser un verre qu’une assiette.
Nous profitons de ce moment de détente pour commenter les deux étapes précédentes, échanger nos impressions sur le club.
Il me semble à un moment apercevoir une femme vêtue de dentelle blanche, et qui me semble être enceinte.
C’est chose rare en club, mais ce n’est pas pour déplaire à mon côté maïeusophile, bien au contraire.
Mais la soirée est à peine commencée, il serait prématuré de lui sauter dessus entre le fromage et le dessert.
Nous finissons donc notre repas et descendons vers le bar.
Le volume sonore est monté et le dancefloor a déjà commencé à se remplir.
Les danseurs sont peu nombreux, mais quelques femmes ondulent déjà sur la piste, ou sur la barre de pole-dance.
Ce spectacle me fait craindre que le club ne soit plus orienté sur l’exhib’ que sur le jeu, comme j’ai déjà pu le constater dans certains club où l’on danse beaucoup, surtout pour se montrer.
Un rapide coup d’œil vers les coins câlins montrent que les ébats n’ont pas encore commencé… cela confirmerait-il mes doutes ?
Nous décidons de ne pas attendre pour voir, et de profiter à deux, pendant que la place est libre, et investissons donc le coin hexagonal.
Quelques couples jettent un œil ou bien passent à côté pendant que nous nous installons.
Pour l’instant je suis concentré sur ma partenaire, nous faisons monter le désir et la température de la pièce… jusqu’à ce que je ne puisse résister à l’envie de la pénétrer.
Je m’équipe donc d’un préservatif (Unique bien sûr) et nous optons pour un missionnaire.
Le coin hexagonal a juste la bonne taille pour accueillir nos ébats, et il serait difficile de partager notre matelas avec d’autres personnes.
Le passage des couples autour de nous s’intensifie. Certains s’arrêtent, et commencent à se toucher sur les banquettes disposées autour de notre coin.
D’autres s’approchent et nous frôlent, tentent une main baladeuse. Quelques hommes confient leur intimité aux bons soins de missdactari
Alors que je suis en train de la besogner, bras tendus, je sens une main venir me caresser le dos, puis venir caresser mes cheveux.
Le mouvement est très doux, sensuel, câlin même.
Je ne vois pas bien celle qui me le prodigue car elle est restée sur ma droite, légèrement en retrait. Je me demande même si cette caresse ne vient pas d’un homme…
Les effluves de parfum qui me parviennent me confirment cependant qu’il s’agit très certainement d’une attention féminine.
Comme je suis appuyé à bout de bras, je ne peux rendre la caresse qui m’est offerte. Je cherche donc le contact en me décalant légèrement sur le côté, toujours attentif à ma partenaire.
Coup de chance, ou manœuvre volontaire de la part de ma tendre inconnue, ma joue se positionne directement contre sa poitrine.
L’ambiance est plutôt silencieuse, et ne voulant pas rompre cet état de fait, je tente de faire comprendre par mon attitude que j’apprécie ce contact.
Pas évident lorsque la parole n’est pas dans les options, et que le regard fait défaut.
Le message doit passer cependant, car les caresses et la présence presque maternelle de la poitrine de l’inconnue persistent un bon moment.
Ils ne seront toutefois pas suivis d’une proposition plus osée, et elle prend congé, avec son accompagnateur.
Ce n’est peut-être que partie remise.
Toujours est-il que je n’ai pas réellement pu identifier celle qui m’a prodigué autant de douceur.
Aujourd’hui encore, l’extrême douceur et la bienveillance de ce contact demeurent très présentes dans mon esprit.
Comme toutes les bonnes choses ont une fin, nous finissons missdactari et moi par reprendre nos esprits et nous rhabiller.
Il est grand temps de prendre une boisson fraiche salvatrice, nous nous dirigeons donc vers le bar.
Pendant ce temps je tente de repérer ma caressante inconnue, sans grand succès puisque je ne l’ai pas vraiment vue, je ne fais donc que des suppositions.
Nous partons nous assoir au bord de la piste avec nos verres. Nous profitons d’un instant de détente, assis côte à côte sur une banquette, sirotant nos boissons.
Nos commentaires vont bon train, sur le club, sur ce qui vient de se passer, ou échangeant nos avis sur tel ou tel couple.
Les verres vidés, nous allons nous dégourdir sur la piste.
La bonne réputation du club concernant la partie dansante n’est pas usurpée.
Sans être totalement parfaite, elle fait clairement partie de ce que j’ai vu de mieux en club.
Il y a de la place pour danser, les éclairages sont efficaces et nombreux, bien dosés.
Le son est bon et ne vrille pas les oreilles, tout en assurant un volume soutenu mais pas assourdissant.
La sélection du DJ est pertinente et les titres sont enchainés avec soin. Que demander de plus ?
Un peu d’action horizontale peut être ?
L’heure avance, et nous ne pourrions certainement pas terminer notre journée “anniversaire marathon” sans un dernier round.
Nous partons donc refaire un tour de l’espace interactif.
La fréquentation est cette fois ci bien plus élevée.
Nous parcourons tous les coins… en passant devant la cage, nous apercevons la jolie brunette qui se trémoussait sur la piste quelques temps auparavant.
Elle semble aussi joueuse que bonne danseuse, et ne manque pas de prétendants… que la cage permet de canaliser un peu.
Dans le dernier coin, nous trouvons des matelas bien occupés, la situation étant pour le moins “partouzesque”.
Nous trouvons une place sur un des matelas, nous nous hâtons d’ôter nos vêtements et de bien faire en sorte de pouvoir tous les retrouver au milieu de la mêlée une fois le match terminé.
Alors que le jeu devient de plus en plus chaud, quelques hommes profitent des formes de missdactari
J’en profite pour la gratifier d’un cunnilingus dont elle raffole, tout autant que j’aime lui prodiguer, m’efforçant de faire de mon mieux.
L’effet escompté ne tarde pas à se produire… l’entrejambe trempé, le visage basculé, elle jouit dans un râle alors qu’elle me repousse pour signifier son abdication.
Il faut dire que j’ai cette (mauvaise ?) habitude de continuer à gamahucher tant que je ne suis pas certain d’avoir mené l’assaut à son terme, afin de m’assurer que je ne lâche pas ma partenaire avant la fin de son ascension vers l’orgasme.
Dans certains cas, les dames supportent tout à fait d’être léchées alors qu’elles ont jouit, mais d’autres ne supportent plus aucune stimulation, et se dégagent plus ou moins violement.
Je me permets donc parfois de préciser avec des partenaires inconnues : “quand tu n’en peux plus tu me dis stop ou bien tu tapes“.
Chose prévisible… missdactari ne compte pas laisser mon forfait impuni.
Alors que deux couples, qui visiblement se connaissent, sont venus réduire notre espace vital au strict minimum, elle me prend en bouche, et entame une fellation dans un regard tout à la fois indécent et provocateur.
Je suis recroquevillé contre un miroir qui ruisselle de buée, en effet l’espace est saturé, et les jeux vont bon train.
La position est peu confortable et ne m’aide pas à lâcher prise, d’autant que la journée a été bien remplie… je me fais donc désirer un moment.
Je finis par me concentrer sur mon environnement immédiat, et je contemple cette salle remplie de corps nus, de femmes haletantes, gaillardement chevauchées par les amants d’un soir ou d’une vie, je balaye le panorama pour ne voir que plaisir et débauche tout autour de moi. Les gémissements se mêlent en un bruit de fond saccadé et décadent.
La chaleur de la pièce et les odeurs presque imperceptibles mais inavouables complètent cet éveil de mes sens.
Submergé par le plaisir, je finis par rendre les armes, me répandant dans la bouche de missdactari
Je peine à reprendre mes esprits, mais me retrouve finalement debout, rassemblant mes vêtements, vérifiant que je n’embarque pas la chemise d’un congénère.
Le club s’est un peu vidé, et la nuit est déjà bien avancée.
A notre sortie de la galerie, le voiturier a anticipé notre arrivée, et le cabriolet nous attend déjà, moteur tournant.
En chemin pour ma tanière, la route est calme, le trafic quasiment nul et la nuit sombre. Nous faisons un premier bilan, positif, de cette journée “Anniversaire Marathon”.
Cette nuit, ou ce qu’il en reste, le sommeil ne sera pas long à trouver…
Cet anniversaire n’aura pas été de tout repos, et alors que j’achève la fin de cette trilogie, je suis à seulement 5 semaines de l’édition 2012.
Le programme n’est pas encore décidé, mais j’ai déjà débuté la préparation physique, car le programme risque d’être olympique.
Les photos viennent du site officiel de l’Overside.
Triathlon (étape II)
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La prochaine étape de la visite, pour terminer l’après-midi est le club humide.
Notre choix s’est porté sur l’Eclipse, qui vient d’ouvrir et que n’avons visité qu’une seule fois, une semaine après son ouverture.
Il nous a laissé une bonne impression et nous profitons de cette opportunité pour y retourner, en mixte cette fois 1 .
Il fait chaud en ce dernier jour d’Août, et nous profitons du cabriolet dans les rues de Paris. La circulation est en demi-teinte, car la capitale a déjà récupéré l’essentiel des vacanciers…
Une fois garés, nous nous présentons devant le club, et sommes accueillis par un homme qui, pensons-nous, travaille habituellement juste à côté (à savoir au Sun-City).
Nous enfilons les sur chaussures et passons nos paréos.
En passant nous visualisons le bouton d’ouverture d’urgence du sas… nous avons appris qu’un couple de notre connaissance l’a activé par mégarde quelques jours avant, provoquant l’ouverture de la double porte, et exposant les clients en paréo à la vue des passants !
Il est encore relativement tôt et le club n’a pas l’air très animé… nous mettons cela sur le compte de son ouverture encore récente. Et puis nous sommes un après-midi en semaine, ce sont les grandes vacances…
C’est le créneau habituel des couples illégitimes, qui ont probablement déjà leurs petites habitudes et ne changent pas de club facilement.
Compte tenu de la chaleur, nous ne boudons pas notre plaisir en filant directement dans les bulles du jacuzzi, toujours aussi agréables !
Nous batifolons dans l’eau, et croisons peu de monde : un couple, un homme seul… il est clair que cela ne tournera pas à la grosse orgie, du moins pas tout de suite.
Peu importe, nous sommes là pour le coté feutré et calme du club, et ainsi nous détendre entre 2 autres sorties.
Le manque de confort du Beverley m’a laissé quelque peu sur ma faim, et l’envie se fait sentir de profiter des coins câlins.
Nous grimpons l’escalier, passons nous sécher au sauna, puis nous installons sur le grand coin tout en longueur situé au fond de la “zone interactive”.
L’endroit semble tout à nous, les seuls bruits alentours sont ceux de la ventilation et des télés qui diffusent des vidéos pour adulte (très cliché, mais assez esthétiques).
Un couple finit toutefois par s’approcher, avec une grande discrétion. Ils ont l’air de manquer d’assurance et sont probablement débutants, ou bien ils ne se connaissent pas depuis longtemps.
L’air intéressés et curieux, ils nous tournent un peu autour malgré tout, et finissent par s’asseoir sur une des banquettes à coté de notre grand matelas.
Un regard rapide me permet de vérifier l’avis de missdactari. Visiblement elle n’a rien contre le Monsieur, mais n’est pas prête à lui sauter dessus non plus.
La Femme a un physique agréable, même si elle manque un peu de formes à mon goût, elle est souriante même si elle ne semble pas très à l’aise.
Je leur souris et j’imagine que missdactari en fait de même. Ils nous regardent furtivement mais ne répondent pas. Ils ne semblent pas savoir comment s’y prendre, ni comment communiquer entre eux.
En fin de compte, la Femme entame une fellation qui donne envie… son partenaire est plutôt bien monté et semble épilé. Je regarde si missdactari l’a remarqué, son regard complice semble vouloir dire que oui.
Pour autant, difficile de savoir si leur geste est une façon de s’approcher et de nouer le contact, ou juste la petite échappée exhib’ de deux grands débutants.
Ils demeurent assez éloignés de nous, et les regards restent très furtifs, presque gênés. Finalement ils vont s’isoler dans un autre coin.
Peut-être que nous ne leur convenons pas, peut-être ne sont-ils pas prêts à franchir le pas.
Nous continuons donc à nous amuser tous les deux, remarqués par les hommes seuls, qui pour le moment gardent leurs distances.
Nous faisons un break, pour aller boire un verre, varier les plaisirs en descendant au Hammam, puis décidons de retourner à l’étage.
Même si nous avons le temps, nous jetons un œil à la pendule de temps à autre, car nous avons un emploi du temps à tenir !
Pour changer, nous nous installons dans le grand coin, un peu isolé, qui peut facilement accueillir 6 à 8 personnes.
Cette fois un homme seul “passe à l’attaque” : il s’approche et s’il ne semble pas tout à fait sûr du comportement à adopter, il tente néanmoins à obtenir les faveurs de missdactari tout en veillant à mes réactions. Je lui laisse le champ libre pour éviter tout quiproquo.
Il est assez silencieux, mais maintenant rassuré il apparaît nettement plus aguerri. Rien de très original toutefois, après s’être assuré que missdactari est prête, il se contente de la prendre en levrette, puis une fois son affaire terminée, nous remercie poliment et prend congé.
Le second homme seul qui a surveillé le début de la scène de loin, s’est approché de nous discrètement… d’un regard interrogateur il chercher mon approbation.
Je m’efforce d’être clair, car il parait que je suis parfois intimidant et que je ferai fuir les hommes seuls 2.
Après quelques caresses, il s’installe derrière missdactari, se saisit d’un préservatif qu’il commence à poser.
Je le vois soudain se figer, peut être une seconde. Son regard semble dépité… il baisse la tête, puis se tourne et s’enfuit sans rien dire. Nous ne le recroiserons pas, et supposons qu’il a probablement quitté les lieux juste après.
Nous faisons des pronostics sur ce qui vient de se passer…. Ejaculation précoce ? Changement d’avis de dernière minute ? Remord ?
Je penche pour la première solution, sans certitude.
Étrange après-midi que celui-ci, même si nous avons un peu plus interagis avec les autres clients de l’Eclipse que lors de notre première visite, les échanges sont assez loin de ceux auxquels nous sommes habitués.
Qu’importe, l’heure avance et après un dernier verre et quelques bulles revigorantes, nous allons rejoindre le vestiaire et passer nos tenues de soirée, car la troisième étape nous attend.
Nous récupérons la voiture et mettons le cap sur la rue du Cherche Midi pour notre troisième et dernière étape.
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Les photos viennent du site officiel de l’Eclipse.
Un club pour s’envoyer en l’air (en action)
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Arrivés sur le pont supérieur nous nous dirigeons donc vers l’avant de l’appareil, dans le cockpit que nous avons précédemment repéré.
Le coin est assez grand et toute sa surface est recouverte d’un épais matelas en skaï noir.
Nous nous installons donc tranquillement en ôtant nos vêtements. De mon côté je m’ébahis de la vue panoramique offerte par le pare-brise, ce qui visiblement n’émeut pas mon accompagnatrice outre mesure.
En revanche il lui semble que le sol est légèrement en pente ici aussi, ce qui ne m’avait pas paru évident au premier abord.
Rien de bien gênant toutefois.
Nous passons donc aux choses sérieuses et je me fais sauter dessus, ce qui me met d’encore meilleure humeur.
La vue de missdactari qui me chevauche, le fait de savoir que je suis dans le cockpit d’un authentique et mythique avion de ligne, décidément, je me dis que la situation est unique, et que je suis un privilégié…
Comme à mon habitude, le fait de ne pouvoir m’activer me manque, il faut croire que le coup de rein fait partie d’un rituel qui m’est quasi-indispensable pour atteindre le nirvana.
C’est un fait : les rares fois où j’atteins l’orgasme en Andromaque sont lorsque ma partenaire se déchaîne et que je sens qu’elle le fait principalement pour elle, et je sais que ce n’est pas le cas ici.
Je demande donc à changer de position pour pouvoir bouger mes fesses, et nous entamons une levrette endiablée.
Je suis décidément très en forme ce soir, et la vue de la croupe de missdactari fait monter en moi l’envie de m’immiscer dans le plus étroit de ses orifices.
Mais c’est une envie à double tranchant… en effet la sodomie demande une certaine délicatesse, son succès n’est pas garanti car il dépend de beaucoup de facteurs.
Par ailleurs, même si elle m’excite beaucoup, cette pratique m’amène rarement au point de non-retour.
En effet je ne me lâche pas totalement, devant contrôler un minimum l’amplitude et la vitesse de la pénétration, sous peine de représailles de ma partenaire.
Du moins je n’ai encore jamais rencontrée de partenaire de jeux qui soit à l’aise avec cette pratique au point que je me permette d’y aller aussi gaiement que lors d’un coït plus classique.
Et puis il faut avant tout que l’envie soit commune… je fais donc une allusion à mon désir soudain et lubrique.
L’allusion trouvant un écho positif, je me retire délicatement et remonte de quelques centimètres. Je me tiens là à l’entrée, et ne bouge plus. Dans une telle situation, il vaut mieux la laisser faire. La pénétration est lente et régulière, mais tout se passe bien.
Je peux très vite reprendre mes va et vient, en douceur.
La sensation est très agréable, et mon cerveau est en ébullition. Ne serait-ce que de réaliser que je suis en train de sodomiser missdactari m’excite au moins autant que les sensations physiques qui en découlent.
L’excitation est intense, autant cérébrale que physique… je profite au maximum de l’instant présent.
Après un moment, missdactari m’indique qu’elle ne pourra pas tenir d’avantage, et je me retire donc avec précaution.
Je m’en voudrais beaucoup de la dégoûter de ces moments rares et je suis donc particulièrement attentif.
Furieusement excité, j’accepte la proposition de missdactari, et je me mets sur le dos pour recevoir une délicieuse fellation.
Mon regard se perd sur le plafond du cockpit et vagabonde… j’aperçois quelque chose dans mon champ de vision…
J’ai la tête placée vers la porte et en basculant la nuque je distingue “à l’envers” un couple qui nous regarde. Je me dis qu’ils pourraient bien venir nous rejoindre… il y a de la place et nous avons encore pas mal d’énergie pour des ébats pluriels.
Mais le temps que j’essaye d’évaluer s’ils peuvent nous plaire, ils sont déjà repartis… leur expression étonnée me faisant penser qu’ils sont plutôt débutants…
Je me concentre donc d’avantage sur mes sensations, je m’abandonne et je sens mon plaisir monter lentement mais surement.
Au point que je finis par exploser dans la bouche de ma charmante partenaire, dont le regard montre toute la satisfaction qu’elle a de m’avoir fait éjaculer.
Hors de question que je n’ai point ma revanche… je m’accorde donc quelques moments pour reprendre mes esprits et inverse les rôles.
Bien vite j’ai la tête entre les cuisses de la belle, ma langue s’appliquant autant que mes doigts, jouant tous deux de concert pour ne laisser aucune chance à missdactari
Sentant son excitation monter, je change de position avant de libérer mes coudes de façon à pouvoir accélérer le mouvement de mes doigts en toute liberté.
J’avance un genou pour pouvoir plaquer stratégiquement ma bouche et activer ma langue avec autant plus de précision.
Dans un rythme soutenu cadencé et sans faille, je l’emmène “doublement” au 7ème ciel.
Elle finit par me repousser d’une main, signe qu’elle n’en peut recevoir d’avantage…
Je remonte vers elle pour un atterrissage en douceur, repos des corps et moment de tendresse après la tempête.
Nous discutons quelques moments, j’ai le regard vide, et il me faut du temps pour reprendre (presque) totalement mes esprits.
Enfin remis sur pied, je suis impatient de tester ces magnifiques douches… Il se pourrait d’ailleurs que je sois le premier client du club à en faire usage.
En sortant du cockpit, nous notons l’absence de corbeille pour jeter les préservatifs et autres déchets.
Le staff me prévient que l’eau peut être assez chaude, je me méfie donc.
La remarque n’est pas inutile, et le premier jet aurait pu avoir de quoi surprendre désagréablement… les douches sont effectivement plutôt chaudes, mais on finit par s’y habituer, et en profiter.
Au sortir de la douche, 2 petits problèmes se présentent : pour commencer l’absence de serviette pose un gros souci.
Et ensuite il n’y a pas d’endroit vraiment commode pour se poser et se rhabiller.
On me ramène bien vite des serviettes, mais il faudra bien trouver à l’avenir un endroit pour les mettre à disposition… une chaise placée près des douches pourrait faire l’affaire, mais dans ce cas on ne peut pas s’y asseoir lors du rhabillage. Bref, il faudra corriger ce petit détail, chose que nous gardons en mémoire pour le signaler lors de notre départ.
Nous redescendons nous rafraichie au bar. A l’occasion de l’inauguration, une coupe gratuite nous est proposée, ce qui fait toujours plaisir.
Quelques personnes sont accoudées au bar ou assises sur la banquette à côté de nous. Peut-être 8 au total.
Pour une inauguration cela nous parait peu, mais c’est toujours mieux que les 2 femmes seules de notre arrivée.
Nous discutons et partageons nos impressions sur le club en sirotant notre Champagne…
Nos coupes ne sont pas tout à fait vide, mais l’envie nous prend déjà de tester un nouveau coin, et si possible d’avoir un peu de compagnie.
Nous remontons donc et portons notre dévolu sur le premier coin après la douche, sur notre droite.
Une petite ouverture est présente dans le mur, et une étroite entrée est présente en sens inverse, nous faisons donc le tour, montons sur le matelas après nous être déchaussés, et découvrons le reste du coin, assez grand pour 4 / 5 personnes, menu de quelques coussins rectangulaires.
Nous nous titillons gentiment pour voir si d’autres personnes se manifestent… assez vite un homme regarde par l’ouverture. Son expression est assez neutre, au moins il n’a pas un air de mort de faim impoli.
Nous lui sourions avec insistance, pour montrer que nous sommes prêts à jouer d’avantage.
Il a l’air de ne pas trop savoir quoi faire… je m’attends à ce qu’il passe un bras pour caresser missdactari et tenter un rapprochement. Mais il poursuit finalement son chemin plus avant dans le couloir.
Étonnée missdactari me dit “Et alors ? Tu crois que si je lui montre mes fesses il comprendra ?“.
Elle se tourne donc pour présenter sa croupe en direction de l’entrée du coin câlin.
Après quelques minutes le même homme s’arrête et commence à caresser les fesses si joliment offertes.
Je souris à missdactari qui me regarde avec complicité, comme pour dire “ah oui, ça marche, là au moins il a compris“.
Ce qui vient se produire ne manque pas de me rappeler une scène du film “la Guerre du Feu”. 1
Il semble que notre invité est plutôt débutant, il ne savait trop comment s’y prendre. C’est agréable de voir qu’il a préféré prendre son temps que d’avoir un comportement déplacé. Et l’exposition sans équivoque de la croupe de missdactari a permis de dissiper ses doutes. (Rien de tel qu’une paire de fesses tendues pour briser la glace).
Faisant face à missdactari je lui tends un coussin, accessoire d’un grand secours pour se caler lors d’une levrette digne de ce nom. Un second coussin s’avère ne pas être superflu.
Pendant que nous jouons tous les trois, un groupe de 5 ou 6 personnes, qui visiblement se connaissent déjà, s’engouffre dans le coin câlin suivant.
Nous poursuivons les jeux un moment avec notre invité, puis nous nous accordons une nouvelle pause sur le pont inférieur.
Bien que le choix musical soit entraînant, l’étroitesse de la piste, et son horizontalité questionnable 2 nous dissuadent.
Dans un dernier élan d’énergie, nous nous accordons un moment un peu plus calme dans le dernier coin câlin sur la gauche, juste avant la banquette et la télé.
Histoire notamment, d’avoir testé un maximum de coins câlins. Celui-ci, plus petit, est plus adapté à un duo et demeure très confortable, comme les deux précédents.
L’heure est avancée, nous décidons finalement de débarquer, et avant de quitter le bord nous discutons à la caisse avec le staff.
Nous faisons part de notre inquiétude, face à une soirée d’inauguration qui a dû voir pas loin de … 12 clients !
Pas étonnant que nous n’ayons trouvé qu’une seul partenaire pour nos ébats, point de couple pour jouer, encore moins d’orgie !
Le boss nous explique qu’ils ont préféré travailler sur les derniers travaux avant ouverture, et ont négligé la communication.
Ils ne savent à l’évidence pas encore tout à fait comment s’y prendre, et nous avouent assez vite ne pas être libertins eux-mêmes.
Nous faisons part des petits manques que nous avons identifié (mise à disposition des serviettes, logistique du rhabillage, corbeilles pour les préservatifs usagés etc…)
Nous partons avec l’assurance que ces détails seront bien vite réglés.
Cette fois-ci je ne laisse pas missdactari s’enfoncer avec ses talons dans la pelouse, et j’avance la voiture auprès du chemin en dur qui prolonge la descente de la passerelle.
Nous prenons le chemin du retour, au cœur de la nuit. La route est longue, mais nous sommes presque seuls.
Cela nous laisse le temps de deviser sur les aspects positifs et négatifs de ce nouveau club.
L’absence de communication pour l’ouverture nous laisse perplexe, mais le lieu est unique et l’accueil est bon.
L’aménagement de l’avion est une réussite, et malgré l’exiguïté apparente du lieu, les coins sont bien aménagés et confortables.
Pour nous ce club est loin d’être proche, mais nous pensons y retourner de temps à autres, attendant notamment l’ouverture de la partie balnéo.
Comme pour tous les clubs, son succès dépendra aussi, et surtout, le la clientèle d’habitués qu’il saura ou non convaincre.
Il y a assurément du potentiel.
Crédits Photos : site Internet du 7ème ciel et leur page facebook pour les photos du club, première illustration via jasonmillet, la seconde via 7 fetishes.
- Scène dans laquelle un sauvage est capturé par une tribu plus avancée, en compagnie d’une femme d’une autre tribu. Ils souhaitent les voir s’accoupler mais le sauvage ne comprend pas ce que l’on attend de lui. Ses geôliers intiment alors à la femme de se mettre à 4 pattes, pour qu’enfin il s’exécute.[↩]
- c’est que c’est important en libertinage, l’horizontalité[↩]
Sweet’X : doux rêve ?
Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas attendre trop longtemps avant d’écrire un billet sur un nouveau “club” récemment visité.
Tout simplement parce que celui-ci ne m’a pas laissé indifférent, et surtout parce qu’il me semble qu’il mérite réellement un coup de pouce.
Le “Sweet’X’Cabaret” est donc un nouvel établissement aménagé dans les locaux d’une ancienne discothèque.
Situé près d’Etampes, au sud de l’Essonne, nul doute que sa localisation lui vaudra d’être qualifié de club de province par les plus parisiens d’entre nous.
Pour résumer, ce club mélange les concepts de discothèque, club libertin et cabaret proposant du “lap dance” 1.
Plutôt que de vous faire comme à mon habitude une longue description, je vous envoie sur l’article de missdactari : Sweet’X Cabaret, un cabaret-club libertin afin de me focaliser sur les quelques points qui m’interpellent.
Partie Discothèque
La partie discothèque / lap dance est aménagée de manière typique et fonctionnelle : grande piste (carrelée, personne n’est parfait), podium central avec barre de pole-dance, quelques estrades sur les angles…
Que ce soient les sièges de couleur rouge organisés en petites grappes autour de tables, le carré VIP, le bar accessible des 4 cotés : l’aménagement est pertinent et rien n’a été laissé au hasard.
Petit ajout propre au côté “cabaret” : les alcôves discrètement isolées derrière un voilage pour les danses “personnelles”.
On remarque immédiatement l’origine “night-club” du lieu, richement doté en équipements d’éclairage, miroirs, machine à fumée…
L’équipement sonore n’est pas en reste : de bonne qualité, puissant sans vous vriller les oreilles 2.
J’ai trouvé la sélection du DJ pertinente et entraînante, il a fait preuve de motivation malgré la faible fréquentation lors de notre visite.
Du point de vue “disco” le club n’a pas à rougir même face à l’Overside, qui est pourtant une référence pour beaucoup de libertins sur ce point précis.
Le carré rose
Je vais être direct : j’ai carrément craqué sur la déco du carré rose.
Capitonnages blancs, déco dans les ton roses, lumière tamisée mais bien présente… pour moi il n’y a rien à jeter.
A la différence des tons rouges et noir que l’on trouve typiquement dans certains clubs, je trouve le thème blanc et rose plus glamour.
C’est un choix certes “féminin”, mais justement n’est-ce pas en club que les femmes sont reines ? Alors rien de choquant à ce que la décoration du lieu soit à leur image.
Les coins câlins composés de grandes banquettes tout en cuir blanc, aux formes arrondies et improbables sont une réelle invitation à coquiner.
Séparées par des voilages facilement amovibles, elles ont les avantages des coins “ouverts” tout en paraissant intimes, un vrai tour de force.
Les petites tables rondes à leur pied, avec des trous permettant de poser ses verres sans les renverser, ou de laisser sans les perdre une partie de ses effets personnels, est une vraie bonne idée.
Les barres de leds dans les tons blanc rose (que l’on peut changer parait-il) disséminées tout le long des banquettes, épaulées par de nombreux miroirs, donnent une luminosité aux multiples sources, tamisée mais soutenue.
Cette lumière, intimiste et reposante tout en restant très présente, a particulièrement flatté mon côté visuel et décuplé mon excitation.
J’ai vraiment passé un magnifique moment de sensualité et de plaisir. Même si je le dois avant tout à ma délicieuse cavalière-amante, la déco et l’éclairage ont magnifié l’expérience.
En revanche, la présence d’une petite piste m’a laissé un peu perplexe dans la mesure où la salle disco dispose de tout ce qu’il faut…
… elle pourrait servir pour quelques danses lascives, mais il me semble que cet espace serait mieux utilisé en prolongeant la féerie des grandes banquettes blanches et des voilages.
La présence du bar est appréciable, mais pas forcément très utile non plus.
Mais après tout, pourquoi pas, il y a de l’espace, beaucoup d’espace, dans cet établissement.
Et puis j’adore les ensembles de tabourets hauts en cuir blanc.
Comme le précise missdactari, rien n’a été oublié : préservatifs à disposition, serviettes, oreillers, salle de de douche équipée, tout le lieu est une invitation à la débauche.
Vous l’aurez compris, je suis sous le charme de l’aménagement et de la décoration du lieu.
Le choix des couleurs, des matières, les équipements, leur aménagement, l’éclairage, tout cela a été fait avec beaucoup de sérieux et de goût, et n’appelle chez moi aucune critique.
En définitive, il ne manquait pour moi qu’une seule chose : des clients (libertins tant qu’à faire).
Promo
Car c’est bien cela le gros point faible du lieu : la fréquentation.
Non pas que l’établissement soit mal fréquenté… contrairement à nos craintes il ne donne pas l’impression d’un club glauque, proposant des passes “sous le manteau” en complément d’une lap-dance.
Pas d’atmosphère pesante, même si les hôtesses ont été quelque peu insistantes, nous demandant un nombre incalculable de fois si elles pouvaient nous aider.
Sauf… au cœur de l’action !
Dommage, j’aurai bien répondu par la positive à notre grande hôtesse aux longs cheveux blonds et accent de l’est.
Mais elle n’est pas venue me poser la question lors de nos ébats.
Au vu des investissements réalisés (enseigne géante, décoration, personnel nombreux…) ce club a besoin de clients pour continuer d’exister.
La disposition et la taille du lieu ne le rendront que plus attrayant s’il est convenablement rempli.
Et j’ai bien peur qu’il ne trouve pas sa clientèle, pour une raison assez simple : son positionnement est flou.
S’agit-il d’une discothèque ? d’un club de strip-tease ? d’un club libertin ?
Il se veut tout cela à la fois… et ce faisant il s’adresse à une clientèle hétérogène :
- Aux jeunes de la région qui veulent aller danser le soir.
- Aux hommes célibataires qui veulent se payer une lap-dance ou s’émoustiller en petit groupe.
- Aux couples qui veulent se dévergonder (rappelons que le carré rose est en principe interdit aux hommes seuls).
- Aux libertins (dont beaucoup regretterons la restriction quant à l’accès du carré rose).
En ratissant aussi large en termes de cible, il me semble qu’il tente de rassembler des populations différentes, qui ne vont pas forcément pouvoir se côtoyer en toute harmonie.
Ce flou dans son positionnement pourrait bien lui être fatal, et c’est dommage.
Car ce lieu porte un potentiel libertin certain, il me rappelle en partie le regretté club Acanthus de Dammarie-les-Lys, un de mes clubs préféré, et qui a malheureusement fermé ses portes.
Le laisser péricliter serait un beau gâchis… s’il pouvait devenir un club libertin à part entière, nul doute qu’il aurait du succès.
Alors ?
Alors il a besoin d’un sérieux coup de pouce !
Oui c’est un peu loin pour les parisiens, oui la Z.I est paumée et n’a absolument aucun charme.
Mais une fois à l’intérieur, la sensualité et le désir prennent le dessus.
Libertins de Paris et de banlieue 3, allez donc rendre visite au Sweet’X’Cabaret, allez-y avec vos amis libertins, profitez des installations, prenez possession du lieu, délectez-vous de ces magnifiques banquettes de cuir blanc, et révélez-en le vrai potentiel !
Il y a là une opportunité de voir émerger un nouveau club, qui se révélera, ou pas.
En ce qui me concerne j’ai très envie d’y retourner, je serai même tenté d’y organiser une soirée docti, c’est dire !
Les photos viennent du site (désormais fermé) et de la page facebook du club.
Un club pour s’envoyer en l’air (la visite)
[ précédent ]
Nous montons donc la passerelle et entrons par l’étroite porte qui mène à l’avant du pont inférieur, sous le cockpit donc.
A première vue, la déco fait plus club libertin qu’avion, ce qui est tout de même préférable : nous ne sommes pas venu voir un musée.
Lumière dans les tons rose / violet, le comptoir d’accueil se situe sur un bord de couloir, et de la place est réservée à l’arrière pour le vestiaire.
La caisse enregistreuse fait très sérieux (un peu commercial aussi) et de jolis flyers sont à disposition (très bonne idée le faux billet d’avion, même si le contenu manque un peu de recherche et l’orthographe est approximative).
Au lieu des traditionnelles fiches de consommation que l’on doit laisser au bar, on nous donne un petit bracelet avec notre numéro de vestiaire, qui sert pour en récupérer le contenu, et noter les consommations. Le principe des clubs humides en sorte… mais cela fonctionne très bien aussi ici, et cela éviter de froisser un carton dans ses poches.
On nous annonce que la première coupe de champagne est offerte pour l’inauguration, et on nous présente rapidement l’organisation du lieu.
Nous partons donc faire notre petit tour d’exploration.
Dans l’enfilade de l’accueil, le bar et ses tabourets, tout en longueur (il faut bien de la place pour circuler), la “sono” se fait du même endroit.
Son matériel est récent et l’installation intelligente, mais le matériel s’adresse plutôt à des particuliers… qu’à cela ne tienne, vu la configuration des lieux, cela reste suffisant pour profiter de l’ambiance sonore.
Le “dancefloor” est plus un lieu de passage (forcément étroit) qu’une piste (de danse) réellement utilisable 1 et surtout… le sol est en légère pente !
La déco peinture blanche et sol en motif bois” est assez classique.
Quelques luminaires baroques donnent un touche glamour, le tout éclairé dans les tons rose / violet.
On n’a pas l’impression d’être dans un avion, mais les multiples petits casiers à hauteur des yeux offrent une touche inhabituelle.
Après le bar sont disposées une grande banquette noire et quelques tables basses style discothèque.
Coté déco rien de bien transcendant, mais rien de négatif non plus… compte tenu des contraintes, l’adaptation de l’avion en club libertin est plutôt réussie.
Au fond de ce pont inférieur, on trouve sur la gauche une porte qui permet aux fumeurs de se retrouver sur une seconde passerelle, et sur la droite un escalier en colimaçon monte vers la partie “interactive”.
Petit désagrément : cet escalier est très étroit et raide, les dames en talons doivent donc être particulièrement vigilantes et les messieurs prévenants !
Une fois arrivés à l’étage, une bonne surprise se présente sur la droite : une douche entièrement carrelée, décorée et éclairée avec goût et épousant totalement la forme du fuselage !
Arriver à proposer une douche dans ce lieu relève tout de même de la gageure (d’un autre côté l’absence de douche aurait été rédhibitoire), l’A380 n’a qu’à bien se tenir !
L’équipe n’a cependant pas pensé à tout : pas de serviettes à disposition (mais ce soucis est bien vite réglé) et rien pour poser ses affaires ni s’assoir pour se rhabiller.
Rien de bien méchant cela dit, et rien qui ne puisse être réglé “vite et bien”.
A cet étage, la déco reste simple et feutrée, tout à fait adaptée au lieu.
Sur les côtés, sous les hublots se trouvent de petits rebords sur lesquels sont mis à disposition des boites métalliques carrées, portant diverses décorations.
Chacune contient trois préservatifs.
C’est une initiative appréciable : pratiques, esthétiques et discrets, les préservatifs sont disponibles sans être non plus trop présents 2!
Se suivent ensuite les coins câlins, aménagés sur les cotés du couloir, en chicane. Cela reste un bon choix vue la configuration du pont, et certains coins câlins peuvent accueillir 5 ou 6 personnes. Ne prévoyez toutefois pas de grosse orgie.
En remontant vers le cockpit, le premier coin qui est aussi un des plus grands, est confortable. Son accès est étroit ce qui permet de filtrer un peu les visites. Les curieux peuvent tout de même regarder à travers une ouverture dans la cloison. Quelques jolis coussins (toujours appréciés) sont disposés sur le matelas, qui est ferme et confortable.
Si l’on poursuit, un autre coin plus petit est disponible dans un renfoncement.
Puis un autre sur la gauche, assez réduit également, prolongé par une petite banquette et un écran diffusant des vidéos (et dont l’intérêt me laisse perplexe).
Viennent ensuite les toilettes, puis une porte qui devrait mener à terme vers la petite balnéo.
En effet du côté gauche de l’avion se trouve une piscine, qui n’était pas (encore) ouverte au public lors de l’inauguration.
L’objectif est de proposer une passerelle couverte qui permettrait de rejoindre la piscine ainsi qu’un jacuzzi et / ou un sauna (qui restent à construire) si possible pour l’été suivant. 3
On arrive enfin au Saint-Graal à l’avant de l’appareil, le cockpit !
Celui-ci est débarrassé de ses sièges et (malheureusement) de tous les instruments et commandes 4. Ne subsiste donc que le large pare-brise, qui offre une vision panoramique vers l’extérieur.
Un grand matelas à la forme alambiquée permet de profiter au maximum de la surface de ce coin câlin atypique.
Nous redescendons prendre un verre, et nous relaxer sur la banquette. Le barman / DJ est aux petits soins pour nous.
Il n’y a pas encore grand monde ce soir, deux femmes seules, qui visiblement connaissent bien le staff, et un couple, mais d’autres commencent à arriver.
Qu’à cela ne tienne, l’envie d’aller expérimenter le coin-câlin-cockpit me démange, et j’entraîne missdactari dans le colimaçon…
[ suivant ]
Crédits Photos : scan personnel pour le billet, les photos viennent du site Internet du 7ème ciel.
- celle de l’aérodrome elle, l’est tout à fait mais je m’égare[↩]
- Reste à voir si la logique économique ne va pas avoir raison de cette délicate attention[↩]
- Je ne sais pas si ce projet est encore d’actualité au moment où j’écris ce billet[↩]
- Il est prévu de mettre des éléments décoratifs pour donner le change[↩]
Un club pour s’envoyer en l’air (teaser)
Septembre 2011.
Mardi 27…
Au cours de ma visite quotidienne des groupes Facebook auxquels je suis abonné, un petit commentaire attire immédiatement mon attention.
“Ouverture d’un nouveau club libertin, le club est installé dans un avion” !
Tilt ! Un avion ?
Oui car je suis particulièrement attaché aux choses de l’air, et donc la seule lecture de ce mot hors-contexte déclenche immédiatement une alarme intérieure.
Dans un pessimisme condamnable, je crois à une blague, ou au pire je m’imagine que ce club a du s’ouvrir en province, à Toulouse par exemple.
Je me renseigne un peu plus sur le club en question et j’apprends qu’il est situé en région parisienne, sur un aérodrome.
Je jubile…
A ma connaissance il y a 2 possibilités d’avion utilisable pour un club libertin en région parisienne : Le Noratlas des Mureaux et le Breguet 2 Ponts de Fontenay-Tresigny.
Je penche pour la deuxième solution, le Breguet étant plus grand, et à ma connaissance faisant déjà office de bar-restaurant.
J’ai rapidement confirmation sur le tout nouveau site Internet du club, nommé “le 7ème ciel”.
Il s’agit bien du Breguet.
J’ai vu cet avion de près il y a quelques mois, et l’ai survolé à de nombreuses occasions… cette coïncidence est inouïe !
La soirée d’inauguration est toute proche, je ne PEUX PAS rater ça !
J’en fais immédiatement part à Madame, qui répond du tac au tac “il faut qu’on aille voir ça !”, puis se ravise “il faut que TU ailles voir ça !”.
Moins de 15 jours après avoir accouché, je ne peux décemment pas lui reprocher de ne pouvoir m’accompagner…
J’informe missdactari de mes intentions, elle a également lu quelques rumeurs à propos de ce nouveau club.
Bizarrement, pas d’annonce fracassante sur les sites libertins, peu de buzz… la soirée d’inauguration est-elle vraiment maintenue ?
Ou s’agit-il d’entretenir le secret pour sélectionner la clientèle ? Tout cela est-il bien sérieux ?
Le club n’est pas tout proche, mais tant pis, je ne veux pas rater cette première soirée d’ouverture.
Nous tenterons l’aventure, si elle s’avère être une impasse, nous nous rabattrons sur un autre club…
Vendredi 30…
Le grand soir est arrivé, le temps des préparatifs est venu, et je soigne au mieux mon apparence, ne sachant trop quel va être le standing du club, je ne prends pas de risque.
Mocassins anglais, pantalon de costume noir, chemise stylée mais sombre, trois-quarts en cuir…
Je pourrais presque avoir l’air d’un cadre dynamique sortant dans un bon restaurant, à ce détail près que j’ai sur moi assez de préservatifs pour honorer un car rempli de pom-pom girls.
Sous son trench, missdactari porte une de ses charmantes robes blanches.
Nous sommes en route pour le grand-est parisien, la route est longue, mais les axes moins encombrés que prévu.
Je ne connais pas bien la route qui mène à l’aérodrome, mais le GPS est mon allié…
Un allié envers qui il faut avoir toute confiance !
Les aérodromes étant rarement en centre-ville, la route qui y mène s’enfonce dans la campagne et devient plus sommaire à mesure que nous approchons.
Quelques panneaux nous rassurent sur le fait que nous sommes dans la bonne direction, il fait froid et noir dehors, pas le moment de tomber en panne ou se perdre !
La route deviens un peu chaotique, me faisant craindre d’avoir raté un dernier panneau… passé un bosquet, la vue de l’avion me confirme que nous sommes arrivés à bon port (ou bon aérodrome plutôt).
De nuit l’avion parait plus massif que je ne l’avais imaginé… les tissus argentés sur les 2 passerelles, ajoutés à l’occasion de l’inauguration, lui donnent un air de fête.
Nous nous garons dans l’herbe (j’aurai du déposer la miss sur le dur, talons oblige).
Une personne nous accueille en insistant pour bien savoir si nous savons ce qu’est devenu le lieu… de peur sans doute que d’anciens clients du bar-restaurant ne soient choqués ?
La précaution est louable en tout cas, et oui, nous savons très bien pourquoi nous sommes venus !
Il est temps de monter sur la passerelle pour accéder à l’entrée du club, à l’avant du pont inférieur…
[ suite ]
Crédits Photos : première image via Wikipédia (Adry 1991 / CC BY-SA, cliquez pour la licence complète) , les deux autres à partir du site Internet du 7ème ciel.
Un après-midi aux Chandelles (suite et fin)
Prenant place dans un petit recoin proche du comptoir, les dames profitent des canapés.
Nous devisons sur nos diverses sorties et expériences.
Bernard n’a pas son pareil pour inciter J*** à nous montrer ses bas et la complimenter sous notre regard amusé.
L’ambiance chauffe rapidement, les mains se font baladeuses, et les doigts fouineurs… bientôt le lieu n’est plus adapté à la fougue qui nous envahit.
Souhaitant profiter juste nous quatre dans un premier temps, nous nous installons logiquement dans la pièce aux miroirs.
Les caresses commencent gentiment, J*** avec H*** et missdactari avec moi.
Vêtement par vêtement, les corps sont effeuillés, les regards se font complices, les mains plus aventureuses.
Les dames sont décidemment toutes deux très belles, et leur regard traduit une certaine gourmandise…
J’ai une irrépressible envie de gouter leurs fruits défendus, de m’y abandonner en lapant de plus belle, de les sentir jouir sous ma langue et mes doigts.
Les filles ne sont pas en reste et nous font la démonstration de leur grande maitrise de la fellation.
Je n’ai pas souvent eu l’occasion de jouer avec J*** mais cela reste un excellent souvenir, et il me tarde de découvrir à nouveau son corps et sa peau douce.
A l’entrée du coin aux miroirs, quelques hommes observent tour à tour, certains osent une main pour caresser une fesse ou un sein, sans empressement déplacé.
Aucun n’essaye de nous rejoindre cependant, de toute façon l’espace est compté et ce serait particulièrement ambitieux.
Le peu de surface encore visible est jonché de chemises, robes, pantalons, boxers…
Bientôt nos deux partenaires féminines se retrouvent côte à côte, croupes offertes, cuisse contre cuisse, deux levrettes à la symétrie charmeuse.
Elles ne manquent pas de relever la situation…
Je m’assure que missdactari est comblée, lentement mais surement J*** se retrouve entre mes mains attentionnées.
A mesure que l’ambiance devient torride, J*** semble particulièrement motivée à l’idée d’avoir 2 hommes pour elle, et missdactari s’éclipse…
… mais elle ne reste pas bien longtemps seule, à en juger par les gémissements qui arrivent assez vite à mes oreilles et que j’identifie avec certitude.
Alors que je libère l’entrejambe de J*** de mon étreinte, H*** se rapproche d’elle ne lui laissant aucun répit, il s’enfonce en elle.
Ils échangent un regard complice, H*** se retire alors, bascule son bassin, et la sodomise sans difficulté aucune.
La douche est salvatrice… celle des Chandelles est à l’italienne, l’eau toujours chaude, de nombreux produits sont à disposition, et les serviettes ne viennent jamais à manquer.
La déco en carrelage noir, sobre et moderne, me plait tout particulièrement. L’endroit est apaisant, tout ce qu’il faut pour récupérer après des nos ébats ravageurs.
Nous nous retrouvons tous les quatre devant la douche, missdactari nous rejoint à demi nue, sourire aux lèvres…
Les seins à l’air, les filles discutent de tout et de rien, après s’être assurées que tout le monde a bien profité. C’est le cas.
Vêtements retrouvés, voilant pudiquement nos longs moments de débauche… nous nous installons au bar, repus.
Le temps d’un dernier verre, J*** et H*** ont des obligations et vont devoir nous quitter. Missdactari et moi avons encore un peu de temps devant nous.
Je ne résiste pas à une envie qui me titille depuis longtemps…
Faisant retirer ses escarpins à missdactari je l’aide à relever sa robe et elle se hisse sur un des hauts tabourets.
Bernard, qui a saisi nos intentions exhibitionnistes, se hâte de débarrasser le bar.
Prenant garde (un peu trop tard) aux lustres qui surmontent le bar, j’aide missdactari à s’allonger…
Tandis que je commence à la butiner, je jette un œil par-dessus son mont de vénus et j’aperçois les regards, curieux ou amusés, converger vers nous.
Je m’applique autant que possible, c’est que j’ai à cœur de démontrer mes aptitudes cunnilinguesques à l’assemblée !
Son clitoris roule sous ma langue et à chaque passage il me semble se gonfler un peu plus… mes doigts l’explorent sans ménagement, elle est trempée.
Je fais jouer ma langue en cadence avec mes doigts, augmentant très lentement le rythme au fur et à mesure que je sens la tension monter.
A force de ce petit jeu, le plaisir la submerge et je me repais du magnifique spectacle de son orgasme dans un écrin glamour.
Nous prenons quelques temps pour nous remettre (enfin, surtout missdactari) et je l’aide à redescendre sur terre.
Il est temps de quitter à notre tour les lieux, à regret… mais je suis déjà bien en retard.
Bravant le froid, nous rejoignons le parking et la voiture de missdactari.
Nous réchauffant peu à peu, nous faisons route commune, et discutons de ces précieuses heures que nous venons de vivre, hors du temps, la tête dans les étoiles.
Quelques jours après J*** me recontacte… il faudra, à coup sûr, nous retrouver de nouveau, tous les quatre aux Chandelles !