Archive pour la catégorie ‘Cunnilingus’
Apogée
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Alors que je suis allongé sur ce lit, je sens que les réjouissances ne vont pas se faire attendre, puisque me voilà “à la merci de l’équipe d’animation”.
Je perçois que mes deux hôtes mystère se hissent sur le lit, chacune d’un côté. L’une des deux vient à la hauteur de mon visage et se met à califourchon. Le compteur d’excitation monte dans le rouge car j’adore faire un cunnilingus en face-sitting.
Et celle qui vient de s’installer ainsi le sait, à n’en pas douter !
Mon autre bienfaitrice se concentre pour sa part sur ma verge. L’émotion et la désorientation ne m’ont pas mis à mon avantage, et de gros soucis personnels m’encombrent l’esprit. Ma “bienfellatrice” fait fi de ces difficultés et me voilà bien vit(e) en forme.
Au passage, elle se trahi par une petite habitude assez unique, que je remarque immédiatement. Je suis donc convaincu que c’est bien Avant Tureuse qui me gâte ainsi. La moitié du mystère est élucidé !
Je me demande malgré tout par quel tour de force elle a pu être présente malgré ses impératifs professionnels.
Pour l’autre moitié, je n’ai plus aucun doute non plus, ma langue a déjà reconnu avec une quasi certitude missdactari. Mes doutes à propos du soit-disant rendez-vous médical s’avèrent justifiés.
Je me réjouis d’être en si bonne compagnie, et mon comité mystère vient enlever le foulard qui est encore autour des mes yeux. Je les garde fermés, pour pouvoir faire un pronostic sur l’identité des mes deux bienfaitrices, je suis sur de moi.
Une erreur pourrait pourtant être bien malvenue mais je me lance, faisant allusion aux raisons pour lesquelles elles ne devraient pas être là.
J’ai vu juste, je le sais en les entendant rire et j’ouvre les yeux, découvrant les deux demoiselles dans des ensembles de lingerie inédits qui leurs vont à ravir.
Nous devisons brièvement sur l’organisation de l’événement, qui a préparé quoi, qui a eu telle ou telle idée.
Et les mails ? pourquoi ai-je eu autant de mal à discerner leur auteur ?
La raison est simple : ils ont été écrits à 2, parfois en alternance, avec d’infinies précautions. Objectif atteint !
Puis les corps se rapprochent, la lingerie est lentement retirée et s’ensuit un trio endiablé. J’ai eu quelques occasions de faire des trios avec 2 femmes, mais elles restent rares et précieuses. La configuration présente est juste formidable. Sachant que mes talentueuses organisatrices ne sont pas bisexuelles, je fais de mon mieux pour ne négliger aucune d’entre elles, tout en profitant au mieux de l’instant, des plus délicieux.
Ces réjouissances ô combien agréables et sensuelles, me font quelque peu oublier le temps, l’agenda est pourtant bien huilé, et le comité d’organisation veille !
En effet, un autre temps fort est planifié et il s’agira d’être à l’heure pour cette nouvelle surprise.
Mais en attendant nous allons tous les trois pouvoir profiter du pique-nique préparé pour l’occasion : varié, gourmet, totalement adapté à la situation (croquer un morceau à trois nus sur un lit, ce n’est pas des plus courant).
Je goûte à tous les mets mis à disposition sur la grande couette blanche… en prenant garde à ne rien tâcher même si l’on me fait remarquer que “l’on ne dort pas ici ce soir”.
Dommage, la chambre est agréable, le lit d’un confort élevé, et les écritures sur le mur invitent à laisser divaguer ses pensées jusqu’au sommeil.
Une de mes charmantes organisatrices me demande si j’ai bien pris mes chaussons de bain et mon peignoir. Comme indiqué dans les mystérieux emails, la surprise suivante va être aquatique. Je me demande à cet instant si nous allons devoir sortir de l’hôtel pour la prochaine activité…
… et je prie pour que ce ne soit pas le cas quand on me demande de me mettre en tenue de bain de suite, en me bandant à nouveau les yeux !
Je me retrouve à nouveau dans l’ascenseur, moyennement à l’aise, j’aimerais autant éviter d’épater la galerie avec ma tenue de curiste… même si je doute que ce genre de blague ne soit au programme.
L’ascenseur nous a en fait mené au sous-sol, dans les couloirs duquel on me guide vers une pièce dont la sonorité et l’odeur sont bien particulières…
Avant Tureuse m’enlève le bandeau : nous sommes dans une magnifique pièce qui sert d’écrin à un grand bassin équipé de jets et autres équipements de balnéo.
Le tout est luxueux, et respire la détente et la sérénité. La décoration est magnifique et apaisante, la luminosité parfaite d’intimité et de confort, avec des dispositifs à changement de couleurs progressifs. Le bleu turquoise du bassin, qui peut facilement accueillir une quinzaine de personnes, est un appel immédiat à l’immersion.
Nous rentrons dans l’eau, la température n’est pas très élevée, mais nous n’avons pas froid non plus.
Une bouteille de Champagne est à notre disposition et j’apprends alors que le spa a été privatisé pour notre usage, pendant une heure.
D’où le timing à respecter.
Je me rappelle alors que missdactari avait évoqué quelques mois auparavant un site qui recensait les hôtels parisiens dont on pouvait privatiser l’espace spa / balnéo.
La bouteille est accompagnée d’une boite de macarons, que missdactari dispose sur une assiette au bord du bassin. On touche du doigt la grâce d’un moment idéal, tout en détente, entre nous, dans un si beau décor, l’eau tantôt caressant tantôt massant nos corps.
La sensualité des caresses, des frôlements des corps nus dans l’eau, le vin et les macarons nous font passer un moment exquis.
Nos yeux restent écarquillés, nous apprécions le confort et la paisibilité des lieux… Nous savons que personne ne viendra nous y déranger.
Nous sommes tous les trois conscients que nous vivons un moment rare et précieux.
Je suis infiniment comblé par tant d’attentions et j’oublie totalement mes soucis, pourtant omniprésents. Le temps nous est compté et nous allons en profiter.
L’heure défile bien vite sur la grande horloge du spa, rassasiés par notre dessert et par les flûtes que nous avons vidées il nous faut bientôt regagner la chambre.
Profitant jusqu’à la dernière minute et même un peu plus, il nous faut bien nous résoudre à nous extirper de l’eau non sans avoir profité des différents jets et remous une dernière fois.
De retour dans la chambre, il nous reste du temps pour quelques folies.
Je passe à la salle de bain, et alors que j’en ressors, une vision paradisiaque me saisit. Mes deux bienfaitrices sont côté à côté sur le lit, la croupe tendue, sourires aux lèvres.
Je savoure ce joli tableau, et me sens comblé et honoré de cette délicate attention, alors que l’excitation remonte de plus belle.
L’embarras du choix étant mon seul souci, je profite de l’instant présent et des multiples possibilités offertes par la configuration du trio FHF.
La sensualité est à son comble, les plaisirs variés et merveilleux.
Puisqu’en ce jour je peux me permettre (presque) tous les caprices, nous finissons sur un cunnilingus en face-sitting à deux filles. Elles se tiennent dans les bras l’une de l’autre pour ne pas vaciller.
L’exercice s’avère un peu acrobatique, mais très plaisant pour moi (et tout à fait inédit).
Nous prolongeons ces derniers instants de débauche avec tendresse et dans des positions plus conventionnelles, mes yeux dans ceux de missdactari. Puis mon regard trouve ceux d’Avant Tureuse. Je poursuis cette alternance tandis qu’un profond orgasme vient me saisir.
La fin de la réservation en “Day Use” approche, il nous faut nous préparer à retourner à une vie normale.
Nous savons tous les trois que le retour à la réalité va être un choc.
Petit avertissement pour ceux qui auraient le bonheur de tenter l’aventure du trio FHF : la consommation de préservatifs est élevée !
Le rangement de la chambre post câlins est assez surréaliste, avec le recul je me dis que ç’aurait été une belle occasion de tenter le préservatif féminin…
Nous quittons les lieux, quelques minutes après l’heure limite. Le personnel de l’hôtel nous regarde de façon complice alors que nous nous présentons tous les trois pour le check-out.
Avant Tureuse part de son côté, et je continue mon chemin avec missdactari qui va me déposer. Le soleil a fait son apparition et je suis ébloui, mais est-ce seulement le soleil ?
Je suis pantois, béat… en chemin, nous passons devant “l’Impasse des Deux Anges”, incroyable coïncidence ?
Quoi qu’il en soit je sais que je viens de vivre un moment totalement unique et qu’il va me porter longtemps. Comme une magnifique oasis au milieu de mes tourments. Je sais aussi que je m’en souviendrai longtemps, surement toute ma vie, et à chacun de mes anniversaires. J’ai une profonde gratitude pour mon mystérieux comité.
Une chambre d’hôtel et ta langue… (II)
Rappel : Ce texte est une contribution d’Avant Tureuse (merci !)
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J’essaie de le toucher moi aussi, là, en bas, où ça me fait envie.. C’est timide, là, en bas, là où ça me fait envie…
Allons bon… On m’a déjà fait le coup… Un homme doté d’un cerveau…
Je ne me formalise pas, le libertin est aussi un animal délicat…Je le laisse errer entre mes cuisses, je sais ce qui va arriver. Lui se demande si je vais le laisser faire, moi, je me dis que je vais le tuer s’il ne le fait pas!
Et il le fait, bien sûr qu’il le fait ! Et comment ! Je ne sais pas si il a une technique particulière, ou s’il fait ça à l’instinct , mais c’est bon, comme rarement ça l’a été à ce point…On sent l’homme qui fait ça par plaisir, par envie, et pas comme une obligation, en espérant une réciprocité. Il musarde, il s’attarde, il prend le temps, il titille, il lèche, il embrasse, et je sens, que je dégouline…Je sens le plaisir, qui monte à toute blinde. Je crois, que c’est moi qui lui ai demandé, d’introduire un doigt ou deux en moi. Mais je n’en suis pas sûre. Ce qui est certain, c’est que lorsqu’il le fait, je décolle. J’oublie tout, le manque de temps, le manque d’argent, le manque de sommeil, et toutes ces femmes qui sont passées avant moi dans son lit, et qui sont tellement plus légitimes que moi…
En ce moment précis, je m’en fous totalement, je ne suis plus qu’un corps, plus qu’un sexe, qui palpite à mort, et qui commence à se contracter. En bonne égoïste que je suis, je prends le plaisir, je le déguste, je le savoure et je m’envole…
J’en reste pantelante, ce cunni , quel délice vraiment !
Il enfile un préservatif, trop rapidement à mon goût, parce que j’ai moi aussi, envie de le déguster. Comme je suis assez timide, je ne dis rien, mais il ne perd rien pour attendre…
Il me prend, c’est toujours un moment particulier pour moi, celui où mon partenaire éphémère ou pas, me pénètre pour la première fois, c’est une sensation inédite, un moment dont on sait qu’il ne se reproduira jamais.
Il me propose de me retourner, afin de me prendre en levrette. C’est super chouette, j’adore et comme souvent dans ces cas , ma jumelle diabolique prend le dessus, et je me mets à lui dire des insanités.
Le pauvre, peut-être ne s’y attendait-il pas ? Je lui dis de me prendre, de me baiser, encore plus fort… il y va, avec enthousiasme ! Au bout d’un long moment, il est en nage, il va chercher une serviette. Nous faisons une petite pause.
J’en profite, pour lui ôter son préservatif, et pour faire ce que je fais de mieux, une fellation thermonucléaire. Je me dis que je veux qu’il s’en rappelle longtemps, comme pour lui rendre un peu du plaisir qu’il vient de m’offrir.
Je lèche, tout au long de sa queue, je monte et je descends, je titille le gland, je le presse doucement entre mes lèvres.
Puis, je commence à enfoncer son sexe dans ma bouche, puis dans ma gorge, de plus en plus loin. Je masse le gland avec mon palais. C’est une caresse, qui n’est pas très spectaculaire vue de l’extérieur, mais qui fait toujours son petit effet au monsieur.
Effet de surprise garantie, il soupire, puis souffle, puis il gémit… Il me demande comment je fais ça, et me supplie de ne pas arrêter…
Je continue, je suis prête à le faire jouir comme ça, mais j’ai aussi envie qu’il me prenne encore.. Alors je rampe et je me mets à califourchon sur lui… Mais ce n’est pas ça qu’il veut maintenant.. Il veut que je m’assoie sur sa bouche…
Un deuxième cunni ?? Je prends, même si je doute que je puisse rejouir aussi vite de cette façon, mais le premier m’a vraiment fait décoller…
Je me mets en position, la tête dans la tête de lit, les mains collées au mur..
Nom de Dieu de nom de Dieu! C’est qu’il est vraiment doué cet homme !! Je réclame un doigt, cette fois j’en suis certaine, et je redécolle… Je ne sais même pas ce que je bredouille, que c’est bon, que je pourrais mourir tellement c’est bon…
Il me lèche, il a un doigt ou deux en moi, et il se branle en même temps…
Je ne l’entends même pas jouir, l’orgasme me terrasse, et je m’écroule à côté de lui.. Je ne suis qu’un spasme…
J’ai du mal à rassembler mon cerveau. J’aimerais tant rester lovée dans ses bras, boire un thé, le regarder me sourire…
Mais ma vie n’est qu’une course haletante en ce moment, et de toute façon, il a une réunion..
Il prend une douche rapide, pas moi, j’ai envie de renifler son odeur sur ma peau, ce soir dans mon lit..
Nous repartons, il m’embrasse dans l’ascenseur. Fin de la parenthèse magique.
Je reprends ma voiture, sur la route, je souris comme une quiche.
Je sais que lui aussi.
Je rentre portée par l’adrénaline, quand j’arrive, pas le temps de me poser, on a besoin de moi, on me sollicite, pas le temps d’atterrir en douceur..
Je m’en fous, j’ai son odeur sur moi, le son de sa voix qui me dit que je suis belle, le souvenir de ses mains, de sa langue, de sa queue.
Alors, quand le soir arrive enfin, que je peux aller me coucher, je me caresse doucement là où il y avait sa langue quelques heures plus tôt, et je laisse les souvenirs affluer et grignoter mon cerveau, pendant que je coule sur mes doigts.
Illustrations via BlackLeatherBelt et HotFaceSitting (anciens Tumblr disparus).
Le Plan B
Le libertinage est parfois un moyen de se découvrir, d’explorer des territoires vers lesquels on ne serait peut-être pas allé dans une vie de couple exclusif.
C’est aussi parfois se rendre compte (et accepter – d’autant plus facilement qu’on est de toutes façons sorti des conventions) qu’on ne fonctionne pas exactement tel qu’on l’imaginait, ou qu’on le souhaiterait.
A mes débuts je me suis volontiers laissé aller à imaginer que de nouvelles partenaires, de nouvelles pratiques et le champ des possibles qui s’élargit, seraient une source de jouissances faciles et intenses.
Après tout, quel homme pourrait résister au plaisir de nouveaux corps, de situations licencieuses, à des pratiques interdites et délicieuses ?
Et pourtant, les choses ne sont pas si simples… ni automatiques.
Quelles qu’en soient les causes, j’ai dû me résoudre à une réalité : chez moi l’orgasme est loin d’être mécanique.
Surtout lorsque je me retrouve en duo avec une partenaire que je ne connais pas ou peu…
Ce n’est pas sans poser quelques petits soucis, entre autres celui de finir par lasser ces dames qui goûtent assez peu d’être limées au-delà du raisonnable (et de l’agréable).
… ou qui s’évertuent (souvent avec un entrain qui force l’admiration et la reconnaissance) à chercher sans grand succès la clé de ma jouissance.
Je me suis pourtant aperçu qu’il y avait une pratique, certes futile, qui me permettait d’atteindre le nirvana de façon quasi assurée.
Pas une pratique totalement délirante ni d’extrême.
Cela amuse même (ou cela stupéfie, c’est selon) les demoiselles à qui je propose cette alternative.
je l’ai appelé le “Plan B” : celui qui marche à tous les coups quand on semble dans l’impasse.
De quoi s’agit-il donc pour être aussi infaillible ?
Tout simplement : un cunnilingus… mais pas n’importe comment !
En face-sitting, c’est à dire, moi allongé sur le dos, et ma partenaire qui vient offrir son intimité aux caresses de ma langue, face à moi.
Le “Plan B” est d’autant plus efficace que le fruit de mon désir est offert avec entrain voir insistance et même indécence, ouvert si possible, exposé à tous mes sens.
J’ai alors tout le loisir de profiter d’en profiter et de l’explorer, de contempler les courbes de ma bienfaitrice sous un angle inhabituel, voire d’y aventurer une main.
Ainsi gâté, en me caressant j’atteins généralement l’orgasme en une poignée de minutes, même lorsque la situation de départ semblait désespérée.
Ironiquement, il arrive parfois que ce soit ma partenaire qui atteigne l’orgasme avant moi, du fait de mes caresses buccales et de la situation.
Je me pose souvent la question de savoir si l’efficacité du “Plan B” est une forme de soumission, de par la position tenue par la femme notamment.
Sans pouvoir tout à fait écarter cet aspect des choses, avec le recul il demeure secondaire.
Ma perception est plutôt que je suis excité par plusieurs facteurs :
* Etre pourvoyeur de plaisir pour ces dames, même si le “Plan B” est d’abord pour moi.
* L’absence de questionnement sur le consentement (auquel je suis très – trop ? – attaché) .
* Le confort de la position (pour moi qui suis confortablement allongé du moins).
* L’absence de pression liée à la pénétration, car j’ai parfois tendance à m’oublier si je vois que ma partenaire y réagit bien.
* Et surtout… définitivement, j’adore lécher !
J’ai (j’avais ?) parfois des réticences à proposer le “Plan B” en club par peur de la réaction ou du jugement des autres personnes présentes, ou dans des situations plus intimes si ma partenaire n’y est pas habituée.
Mais le temps et l’expérience se sont montrés globalement bienveillants, même si je ne doute pas que cela puisse étonner ceux qui en sont témoins au détour d’un coin câlin.
Au point de vous livrer ce billet assez personnel…
Nature Sauvage (Panthère Éphémère)
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Les transports parisiens nous amènent à proximité de la rue Thérèse, notre destination pour cette dernière étape.
Nous sommes en terrain connu, en habitués des après-midi aux Chandelles, même si nous avons plutôt pour habitude d’y déjeuner le jeudi.
Bernard nous accueille comme à l’habitude avec charme et humour, et prend notre vestiaire.
Il nous précède alors que nous prenons notre temps pour descendre l’escalier qui nous mène sous les voûtes.
Je descends moi-même les marches nonchalamment, me réjouissant d’être dans ce lieu de débauche qui m’est cher.
Arrivé aux dernière marches, je fais face au long couloir qui mène d’un côté aux espaces récréatifs et de l’autre au bar.
A quelques mètres de moi, je remarque immédiatement une grande et belle jeune femme.
Sa silhouette me séduit immédiatement, tout comme ses gestes… et surtout, elle a la peau noire !
J’ai un gros faible pour les peaux noires, sans en connaitre l’origine…. Un certain attrait pour l’exotisme j’imagine.
Je crois que c’est comme le cunnilingus, j’ai toujours su que cela me plairait avant même d’y avoir goûté…
La belle parle avec Bernard qui m’a devancé, comme à l’accoutumée il est souriant et toujours charmant avec les dames.
Je suis trop éloigné pour comprendre leur conversation, et quand la jeune fille tourne le visage vers moi, la lumière rouge tamisée ne me permet pas de distinguer son expression.
J’esquisse un large sourire, la demoiselle m’attire…
Elle se tourne à nouveau vers Bernard, sans que je n’ai pu déceler de signe d’intérêt.
On ne peut pas plaire à tout le monde…
Bernard lui, a vu quelque chose… il me regarde, sourit et lance à la cantonade “toi, tu as un ticket !!!”
Je suis à la fois surpris, et bien évidemment ravi !
Je m’approche en souriant pour faire connaissance…
“Fais lui un bisou !” lance notre hôte, amusé.
Je m’accomplis bien volontiers… nos lèvres se touchent, je frémis.
J’ai très envie que la situation dérape et que le bisou se transforme en baiser langoureux, mais la belle semble avoir une légère réticence.
Nous sommes encore de parfaits inconnus, je me contente donc de passer ma main sur sa hanche pour lui montrer mon intérêt.
Nous rejoignons le bar, il y a du monde cet après-midi et nous nous retrouvons assez vite séparés.
Je reste néanmoins décidé à aborder la somptueuse black avant la fin de notre visite.
R., un des habitués du club que je vois régulièrement et avec qui j’ai sympathisé, semble également sous le charme.
Très vite il a une attitude et un discours non équivoque envers la demoiselle, elle ne semble que vaguement réceptive, mais néanmoins décidée à s’amuser avec lui.
Je me dis que l’après-midi est encore longue, et puis j’ai très envie de passer du temps avec missdactari.
Nous nous installons à distance, je vois la belle et R. de loin, lorsque qu’il n’y a pas d’attroupement dans le coin câlin pour me masquer la vue.
Je ne suis probablement pas objectif, mais il me semble que la demoiselle n’est pas très enthousiasmée par leurs ébats…
Quelques messieurs bien élevés viennent rapidement à notre rencontre (surtout celle de missdactari, à vrai dire) et souhaitent visiblement se joindre à nous.
Voilà qui va combler le goût de missdactari pour la pluralité masculine…
Les jeux commencent, chacun trouve sa place et tout ce petit monde profite d’un moment torride.
Gémissements, coups de bassins, langues exploratrices, bouche gourmande, tout est en symbiose pour une parenthèse réussie.
Nous décidons de nous rafraîchir avec la miss, et alors que j’attends que la douche se libère, la jolie black passe dans le couloir voûté et s’adresse à missdactari.
Je ne saisis pas tout à fait ce qu’elle lui dit, mais ça ressemble à “il parait qu’il est bien, tu crois que je peux te l’emprunter” ?
Enthousiaste, missdactari acquiesce immédiatement, me mettant en avant et vantant mes mérites.
En moins de temps qu’il ne me faut pour le dire, je me retrouve dans les bras de cette grande et plantureuse jeune femme, diablement attirante.
Nos bras se frôlent et la texture de sa peau m’électrise totalement, cela fait bien longtemps que je n’ai pas ressenti cette sensation si particulière, ce grain de peau qui me fait tant réagir… je suis totalement envoûté.
Nous nous allongeons et échangeons quelques baisers, j’aide la belle à faire tomber sa jolie robe, pendant que mes mains caressent son corps à la peau d’ébène et me délecte de chaque centimètre carré.
Sa poitrine est arrondie et proportionnée, la chaleur de ses seins me donne envie de les cueillir du bout de la langue, de les caresser délicatement.
Je parcours tout son corps de mes mains, je suis littéralement en transe… je n’ai qu’une idée en tête : lui donner du plaisir, intensément.
Mes caresses et mon exploration me mènent petit à petit entre ses cuisses, et j’approche lentement mais surement mes lèvres de sa chatte.
J’observe et admire son anatomie, la couleur foncée de ses grandes lèvres, qui contraste avec le rose de la partie la plus intime.
J’embrasse ses cuisses puis le pli de l’aine et je me rapproche de son clitoris, passant ma bouche de plus en plus prêt, effleurant, titillant…
Je finis par le prendre sous ma langue et l’entourer de ma bouche. Elle a un goût délicieux, je suis aux anges.
Ma langue commence à laper avec nonchalance, en petits mouvements verticaux, bientôt entrecoupés de passages plus amples.
Je joue de plus en plus avec son intimité, au gré de mes envies ma langue s’aventure de plus en plus loin, tantôt frôlant sa rose, tantôt emprisonnant toute sa vulve.
R. qui rôde dans les parages passe vers nous et fait une remarque qui me semble assez malvenue… ça ne lui ressemble pas mais qu’importe, je fais abstraction, et je reste concentré sur ce que je suis en train de faire.
Ma victime se détend également, elle gémit et bredouille quelques encouragements et compliments, je m’assure de faire monter la tension de façon graduelle, sans me précipiter, mais sans la faire trop languir non plus.
A force de ce petit jeu, je la sens au bord d’un premier orgasme. Ce que je lui fais à ce moment précis semble particulièrement agréable… je décide donc de m’en tenir là et de garder le même rythme, l’atteinte du nirvana ne devrait être qu’une question de secondes.
Elle semble désemparée et un peu absente, agrippe de ses mains l’épais tissu du coin câlin, son corps se tend, elle ferme les yeux… elle est comme un animal paniqué face à un sort inéluctable. Dans un tremblement elle rend les armes et laisse éclater un long gémissement.
Elle demeure absente quelques secondes puis caresse mes cheveux. “On ne m’a jamais léché comme ça !” me souffle-t-elle.
Je reste entre ses cuisses, sans la stimuler, afin qu’elle puisse reprendre ses esprits. Mais je n’ai pas l’intention de lui laisser trop de répit, recommencer ce petit jeu serait tout à fait à mon goût.
Pourtant elle me fait signe de revenir vers elle… je m’allonge alors à ses côtés, frôlant tout son corps, profitant de la sensation totalement grisante que me procure le contact de sa peau.
Elle me remercie à nouveau, j’en suis flatté et presque gêné, elle se rallonge et ouvre grand ses jambes… “Prends-moi !”.
Plutôt que de m’exécuter immédiatement, je me demande si elle souhaite juste me renvoyer l’ascenseur, ou si elle en a réellement envie.
Je chasse ce questionnement futile et m’équipe d’un préservatif, j’ai envie d’être en elle depuis que j’ai croisé son regard.
Je me délecte de chaque centimètre à mesure que je coulisse en elle, et observe chacune de ses réactions pour m’assurer qu’elle est à l’aise.
Surexcité par la situation proche d’un certain idéal, je me crispe et ne parvient pas à profiter au mieux…
Reprenant mon souffle, je propose à la belle de se retourner… j’ai très envie d’une levrette !
Ses fesses avaient l’air magnifiques et les considérations sur les “culs de blacks’ sont à mon humble avis tout à fait justifiées.
Mes impressions sont confirmées : la vision que j’ai est un enchantement, je suis au comble de la félicité.
La forme de son fessier, sa rondeur, son grain de peau, sa teinte, tout concours à la fois à m’exciter comme rarement je ne l’ai été, et à me faire perdre mes moyens.
Je m’introduis en elle et la saisis par la taille, la magie tactile opère de nouveau lorsque mes paumes entrent en contact avec ses hanches, je suis transporté par des vagues de frissonnements.
L’excitation est tellement forte que j’atteins une sorte de plafond de verre et ne trouve pas la jouissance.
La belle se redresse alors et “s’ouvre” littéralement avec une de ses mains, offrant à ma vue ses orifices aux couleurs sombres et roses à la fois.
Je dois certainement avoir les yeux exorbités, le geste est inattendu, excitant, invitant…
Elle est totalement offerte à ma vue et à ma queue.
Je contemple le spectacle de sa chatte m’avalant goulûment, presque incrédule.
Totalement surexcité, j’accélère la cadence, mon esprit est un véritable orage, je suis dans un état second.
La cadence commence à avoir raison de mes capacités… je calme donc le jeu, et reprends mes esprits pour profiter du moment et laisser le plaisir m’envahir.
C’est alors que R. revient à la charge, il est inhabituellement malpoli et fais montre de propos désobligeants envers nous deux.
Nous tentons de calmer le jeu, mais il n’en démord pas… je reste perplexe, ne l’ayant jamais vu sous ce jour.
Ma partenaire est décontenancée, mal à l’aise, elle prend une attitude défensive. Tout en désamorçant l’inconfortable situation, je m’assure que tout va bien pour elle.
Nous échangeons quelques mots, je lui demande son prénom : “Sandra”.
R. tente grossièrement de s’attirer une nouvelle fois les faveurs de Sandra, elle refuse poliment, ne semble pas dans son assiette.
Il insiste et franchit de mon point de vue la limite de l’acceptable.
Sandra indique qu’elle doit rentrer, qu’elle va prendre congé.
R. ne change pas d’attitude et propose de la raccompagner. Proposition bien vite déclinée avec fermeté.
Sandra disparaît et quitte les lieux, sans que nous ayons eu le temps d’échanger quelques mots autour d’un verre.
Sans non plus, avoir pu se donner l’occasion de nous contacter ou de nous revoir.
Déçu de l’attitude de R., j’échange quelques mots avec missdactari qui revient d’une autre zone de jeu. Elle semble avoir passé également un bon moment.
Comme moi, elle est étonnée de voir R. aussi “mauvais perdant”.
L’horaire est bien avancé, notre épopée touche à sa fin : nous décidons d’aller boire un verre pour nous remettre de nos émotions.
La fraîcheur de nos boissons est la bienvenue, nos discussions tournent autour de Sandra et du comportement décevant de R.
Bernard nous indique qu’il n’a jamais vu Sandra en ces lieux, mais qu’il aimerait beaucoup l’y accueillir à nouveau.
Je formule le même souhait, avec un goût d’inachevé à l’esprit 1.
Pour autant, j’ai passé une très agréable après-midi laquelle vient clore notre programme avec bonheur.
Cette année encore, nous avons passé de magnifiques et précieux moments, faits de surprises, de cadre exceptionnel, de plaisirs et d’insouciance.
La rencontre de Sandra est une cerise inattendue sur le somptueux gâteau.
Alors que nous devisons en nous rappelant ces dernières 48 heures, nous nous demandons s’il sera possible de faire encore mieux l’année suivante !
La barre est haute, mais des événements à venir pourraient bien changer la donne.
- il semblerait qu’elle soit retournée depuis aux Chandelles, une fois au moins… je n’étais pas présent[↩]
Nature Sauvage (Ébats Crépusculaires)
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La luminosité du sous-bois déclinante nous permet de trouver, un peu hésitants, notre chemin.
Mon sens assuré de l’orientation, aidé du plan du parc nous permettent de nous en sortir sans faux pas.
Missdactari constate avec une légère inquiétude qu’il n’y a effectivement aucun balisage lumineux pour notre retour.
Je sais sa nature plus ou moins aventureuse selon les domaines.
Aussi je cède volontiers à sa demande de vérifier que le matériel d’éclairage qu’on nous a confié fonctionne.
Nous croisons ça et là quelques installations hébergeant oiseaux, batraciens et rongeurs, ainsi que des reproductions géantes d’animaux disposées sur le parcours.
Notre chemin nous ramène à la civilisation, via la ferme puis le grand bâtiment ou nous prendrons le dîner.
Celui-ci jouxte une immense plaine se prolongeant d’une vaste étendue d’eau. On distingue juste sous l’horizon la lisière d’un bois.
D’après le plan cette partie du parc abrite des ours, mais nous n’aurons pas l’occasion de les voir durant notre séjour.
Semblable à un documentaire animalier sur la savane, la plaine qui nous fait face grouille du mouvement de nombreux animaux, principalement des cervidés.
Le dîner étant à heure fixe, nous rejoignons la salle de restaurant sans tarder, et constatons avec plaisir que nous pouvons de notre table continuer nos contemplations.
Les cerfs, daims et mouflons sont habitués à la présence de l’homme, n’hésitant pas à approcher les promeneurs, ou venir sous nos fenêtres.
La carte nous rappelle que nous sommes dans le pays de la mirabelle, y compris en ce qui concerne l’apéro.
Le menu qui nous est proposé, à défaut d’être typique de la région lorraine, est bien agréable.
Nous profitons tranquillement de notre repas, la grande salle de restaurant n’étant occupée que part les quelques couples ou familles qui occupent un logement pour la nuit.
D’ailleurs, le jour décline à mesure que nos estomacs se remplissent, et nous ne voyons bientôt plus rien de la grande plaine aux cervidés…
Sans hâte, mais impatients de regagner notre repaire, nous finissons notre repas et vérifions que notre éclairage de fortune fonctionne, avant de nous lancer sur les traces du chemin du retour.
Celui-ci s’avère être une véritable expédition… en effet aucune partie du parc n’est éclairée ni balisée la nuit.
Je fais appel à ma mémoire topographique et à l’image de la carte du parc pour nous orienter.
Missdactari ne semble pas du tout à l’aise et je tente de la rassurer de mon mieux, tout en restant attentif au moindre détail qui pourrait indiquer que nous faisons fausse route.
Les bruits de la forêt mêlés à la faible lumière dont nous disposons donnent une ambiance pesante digne d’un film d’horreur.
Sans faux pas, et soulagés d’arriver à bon port, nous regagnons notre antre, illuminé par les éclairage intégrés au sol extérieur.
Nous prenons rapidement nos quartiers, et nous débarrassons de nos manteaux, lanternes et lampes torches.
Je suis tenté d’essayer l’éclairage led dont on nous a vanté les mérites, et me saisis de la télécommande.
Celle ci pilote plusieurs bandeaux lumineux dont on peut changer les couleurs à loisir… 1.
Après quelques minutes à jouer avec les ambiances lumineuses dans divers endroits du lodge, je propose de profiter de l’ambiance nocturne avec un éclairage rose tamisé dans un le jacuzzi.
Frileuse, Missdactari propose une autre alternative : nous avons un beau lit double avec une épaisse descente de lit à tester, d’autant qu’elle a amené quelques accessoires.
Ayant choisi un éclairage adapté, nous tournons autour du lit quelques minutes, et procédons à un effeuillage sans hâte.
Nous nous apercevons que notre accessoire principal, qui n’est autre que l’indétrônable Fairy, n’est pas suffisamment chargé et risque de nous lâcher en pleine action.
Devant cette inacceptable perspective, nous le branchons sur secteur en vérifiant que la longueur de câble ne sera pas un obstacle (merci les prises sous les tables de nuit).
Une fois nus sur le lit, la miss me donne sa vision des choses : une préparation comme je sais les lui prodiguer, ensuite il s’agira d’aller droit au but pour un maximum de plaisir en en minimum de temps…
Séduit par l’enchaînement, j’allonge la belle en travers du lit, m’assure de son confort, et je prend place entre ses cuisses.
Je commence par embrasser puis titiller du bout de ma langue son clitoris encore sage. Je donne quelques coups de langue brefs et appuyés, ce qui ne tarde pas à le faire réagir avec vigueur.
Relâchant mon étreinte buccale, je commence à laper, nonchalant, partant de son œillet jusqu’à son clitoris, dessinant tous les reliefs de son intimité au plus près de ma langue.
Chaque passage révèle plus encore le gout délicat de la cyprine qui commence à imprégner tout le fruit défendu.
Il me vient alors une idée : elle m’avait parlé il y a quelques temps d’un homme qui l’avait léchée en posant sa langue à plat tout le long de son intimité.
Cela lui avait fait beaucoup d’effet, mais il manquait quelque chose pour que ce soit totalement satisfaisant.
Aussi je m’aventure à plaquer le centre de ma langue sur son clitoris bien dégagé, pendant que le bout titille juste au dessus de l’entrée du vagin.
C’est à croire que ma langue a exactement la forme et la longueur requises… je parviens à la faire onduler assez facilement de façon à produire de lentes caresses appuyées sur son bouton.
Je m’interroge sur les sensations produites, mais un vif soupir emplit de surprise ne me laisse aucun doute.
Ce n’est qu’une question de secondes avant que la miss ne réclame son dû… mes “Uniques” sont à portée de main, et je m’assure d’être prêt à l’assaillir à tout moment.
Suspendu à sa voix encore quelques secondes, le “prends moi” vient sonner l’heure de la chevauchée.
Je libère pour un bref instant mon étreinte polymorphe : mes mains qui étaient encore à l’instant enroulées fermement entre ses cuisses, vont bientôt enserrer sa taille.
Alors que Missdactari m’offre la plus belle vue sur sa croupe, je m’approche et m’équipe de la coiffe phallique Unique de rigueur.
Le jeu est clair : pas de quartier… je m’enfonce donc d’un trait au plus profond d’elle et perçois son gémissement dans un souffle.
Je me tiens immobile, elle se saisit alors du Fairy et le rapproche de son entrejambe.
Mains entre les cuisses, épaules à plat sur le lit, sa cambrure est à se pâmer.
Mon bas ventre ajusté contre ses fesses, je me sens l’emplir de bien belle manière.
Elle plaque le jouet rose et blanc sur son intimité, et enclenche de suite la vitesse maximum.
J’assène immédiatement les premiers coups de boutoirs, réguliers et vigoureux, ne prenant aucune précaution pour ménager ma partenaire.
Plutôt que la cadence, je privilégie l’amplitude du mouvement, et la force de chaque coup de rein.
J’accélère progressivement le mouvement… je veux que son plaisir soit maximal, absolu et inévitable.
Sa voix se fait rapidement entendre, laissant deviner avec quel galop s’approche l’orgasme
Ses cris de plus en plus enlevés, sa lubrification abondante m’encouragent, je ne m’autorise aucun répit et me dévoue tout entier à ma noble entreprise.
Serrant ses hanches avec force, pilonnant son intimité avec détermination, je me sens tel une fucking machine prête à la transpercer.
Un dernier gémissement rauque, teinté d’étonnement, d’émerveillement même, précède le bouquet final.
Ses cris emplissent le lodge, tandis que je maintiens l’effort tel le sprinter qui vient à peine de franchir la ligne d’arrivée.
Sa longue plainte m’évoque celle des loups qui sont juste là, dehors.
Elle se relâche, terrassée par notre accouplement animal, laisse aller le jouet et semble à demi-absente, le souffle court.
Son expression est à la frontière entre le fou rire et les larmes… elle se tourne lentement sur le côté, comme si elle était blessée.
Dans le mouvement, j’aperçois son intimité indécente, outragée et outrageante, trempée par l’excitation aussi subite qu’intense.
Je profite de l’accalmie pour reprendre mon souffle, mon érection revient demander son reste.
La belle récupère vite, et je sais qu’il ne faudra pas attendre bien longtemps pour que je ne puisse à nouveau coulisser en elle, et atteindre à mon tour le nirvana.
Le regard vague mais bienveillant, elle se tourne sur le dos.
“Bon lapin 2 et après dodo” me souffle t-elle, pour me faire comprendre qu’à ce régime là, il n’y aura pas de second round, victoire par KO.
L’assaut l’a laissée accueillante, et je ne prends, une fois de plus, aucune précaution particulière pour la pénétrer.
Enthousiasmé par nos effusions précédentes, je me focalise sur mon propre plaisir.
Ma langue va à la rencontre de ses seins, qu’elle saisit et me présente, pendant que j’ondule sur elle et profite des sensations voluptueuses de la pénétration, dont j’adapte la cadence à ma guise.
Je m’abandonne et laisse monter cette sensation qui pointe sur la couronne de mon gland, presque imperceptible… elle s’étend progressivement, comme par petits cercles concentriques, à toute la verge.
Cette sensation, par je ne sais quelles circonvolutions m’emmène, grandissante, vers un délicieux plaisir.
Le plaisir me gagne tout entier et se transforme en ras de marée, je suis au paroxysme de la rigidité.
La jouissance me submerge tandis que j’assène à la belle tel un baroud d’honneur, quelques derniers vigoureux coups de bassin.
Je sens ma semence s’écouler et tenter de la rejoindre.
Immobile pour quelques instants, terrassé, je profite de ces quelques secondes de grâce post-orgasmique, celles où la plénitude prend tous ses droits.
Ma tête se pose au creux de son épaule, je bredouille quelques mots.
Nos corps s’éloignent un peu, je m’allonge à demi sur elle, me positionnant de façon à accéder à sa poitrine, pour la caresser et en jouer avec la pointe de ma langue, mes mains la parcourent.
La nuit est déjà bien avancée, il n’y aura effectivement pas de combattants pour un second assaut ce soir.
L’appel de la couette nous fait sortir de notre tendre torpeur, nous avons envie de nous mettre au chaud, de profiter du confortable lit pour un repos bien mérité.
Le contraste entre le confort de notre lodge, et l’isolement du sous-bois est plaisant.
Je profite à plein de cet environnement loin du tumulte des hommes, proche de la nature, parmi les loups, fatigué et béat.
Le sommeil ne tarde pas à m’emporter avec douceur…
Jusqu’à ce qu’un bruit métallique et sourd m’en sorte en sursaut.
je suis vite en éveil… nous sommes en forêt, nos plus proche voisins sont loin, personne n’a rien à faire ici.
Alors d’où vient ce bruit, qu’est ce qui peut bien cogner à ce point ?
De nouveau, ce bruit inquiétant… se pourrait-il que quelqu’un rode et tente d’accéder au lodge ?
N’étant pas sujet au stress, surtout la nuit, je tente de réfléchir et de déterminer la cause de ce bruit.
Ca cogne, encore… fort, sourd. Y a t-il un souci dans le parc, vient-on nous évacuer ?
Un autre hôte qui se serait trompé de logement ?
Ou… quelqu’un sur le toit ? En tendant l’oreille il me semble que c’est de là que vient le bruit.
J’entends le vent souffler fort dehors, alors qu’il était quasiment inexistant dans la soirée.
Nous sommes en pleine forêt, l’explication est fort simple : quelque chose tombe des arbres et vient percuter le toit métallique.
Les bruit se poursuivront ainsi un moment, et à mon grand étonnement, ils ne semblent pas perturber missdactari.
Son sommeil est d’ordinaire léger, mais pas ce soir… je retombe moi aussi dans les bras de Morphée, songeant au programme du lendemain.
[ suivant ]
- avec le recul je me rends compte que c’est la deuxième fois qu’une sortie d’anniversaire m’inspire une installation électrique personnelle, la gamme utilisée au Secret de Paris ayant trouvé grâce dans ma nouvelle demeure[↩]
- dans notre vocable : Vas-y, profite ![↩]
Nature Sauvage (mise en route)
La fin Août sonne souvent la fin des vacances et la rentrée toute proche.
Mais c’est aussi la période à laquelle Missdactari fête son anniversaire, événement que nous célébrons dignement depuis quelques années déjà.
Après le cinéma porno suivi du marathon des clubs, après le shopping coquin suivi de l’hôtel de charme parisien, après le voyage en avion à Deauville et les belles tables, se renouveler sans tomber dans la banalité devient, chaque année un peu plus, un challenge.
Nous avons définitivement mis de côté le défi d’une journée “du glauque” (love hôtel bas de gamme, “rue des branleurs” et clubs de mauvaise réputation) pourtant longuement évoquée à une époque.
Missdactari a cette année décidé de laisser une grande part de mystère sur le lieu et les activités, ne confirmant (plusieurs mois à l’avance) que la date, la région et le moyen de transport.
De plus, j’ai été avisé de “prendre aussi une tenue qui ne craint rien”.
Compte tenu des anniversaires précédents, cette mise en garde pour le moins inattendue n’était pas de nature très rassurante. Mais j’ai joué le jeu et n’ai pas fait preuve d’une curiosité débordante, malgré la tentation.
Confus du fait qu’elle organise les détails et la surprise pour SON anniversaire d’une part, et soucieux de m’absenter deux jours de la maison d’autre part, je me réjouissait toutefois de voir la date fatidique se rapprocher.
Les détails avaient été donnés au compte-goutte au fur et à mesure que se rapprochait le jour J :
“Ce sera en Alsace…“, “Nous prendrons le train“, “N’oublie pas ton maillot de bain“, “Dès qu’on arrive, tu fonces mettre en route le jacuzzi“, “prends aussi de quoi bien t’habiller pour le retour sur Paris“.
Signe des temps ? Cette année le cadeau prévu n’est ni un sextoy 1, ni même un objet ou produit “glamour”.
Le cadeau retenu, bien que d’une grande utilité, n’était pas adapté à notre escapade… la date approchant je me mis en quête d’un petit quelque chose qui puisse être offert le jour J.
L’acquisition d’un nouveau modèle de smartphone quelques temps auparavant laissait la place à quelques accessoires pour ce dernier (roses si possibles) que je ne manquais pas d’ajouter à ma valise.
Jour J…
Valise parée de ces présents, des tenues plus ou moins décontractées, du maillot de bain et d’une quantité de “Unique” significative (pour ne pas dire démesurée) me voilà donc en chemin vers notre point de rendez-vous, le tout avec une ponctualité tout à fait honorable compte tenu de ma relative performance dans ce domaine.
C’est le début d’un long périple ferroviaire qui va nous amener en gare de l’Est, dans un TGV a l’ambiance feutrée vers Nancy, et à la suite le TER.
Ce dernier trajet est l’occasion de constater quelques différences dans le paysage : nous passons le long de nombreuses usines de ciment, aux énormes canalisations oxydées (et dont l’esthétisme est fort discutable), croisons quelques églises dont le clocher est affublé d’un bulbe …
Arrivés à bon port, un taxi nous fait parcourir les derniers kilomètres dans la campagne mosellane.
Oui, c’est bien en Moselle que nous sommes et non en Alsace voisine… qu’importe.
Missdactari m’enjoint de ne pas regarder la signalisation pour garder l’effet de surprise.
Je ne tiens pas à le gâcher si près du but et je m’exécute, le pare soleil du taxi faisant office de cache.
Une quinzaine de minutes de route plus tard, nous descendons sur un parking en pleine campagne.
Une grande enseigne en bois me donne enfin l’information manquante, car nous sommes à l’entrée d’un…
Parc animalier ?
Perplexe, j’essaie pendant quelques instants de trouver la cohésion entre le parc animalier et le jaccuzi.
Est-ce pour plus tard, est-ce un leurre ? Je reste silencieux…
Tout devient évident lorsque Missdactari m’indique que ce parc animalier propose des hébergements en pleine nature, au sein même du parc.
Certains sont de simples cabanes dans les arbres 2, dans un confort rudimentaire.
D’autres sont nettement plus évolués, comme celui dans lequel nous allons passer la nuit…
Nous avons une réservation dans un lodge dont la construction est toute récente.
Nous prenons connaissance des consignes liées à notre logement, aux usages du parc, aux horaires et au déroulement de notre séjour. On nous remet également deux lampes pour nous éclairer le soir afin de regagner notre hébergement après le dîner.
En effet, la nuit le parc n’est pas éclairé, et il faut le traverser, en partie en sous-bois pour retourner au lodge.
Nous prenons place à bord du club-car qui nous amène vers notre demeure d’un soir.
Nous faisons connaissance avec le lieu. Le lodge est isolé sur un bord du parc: nous disposons d’une grande zone arborée et privatisée. Le bâtiment affiche des lignes droites, et des matériaux au goût du jour : beaucoup de bois, de la pierre, du béton effet ciré couleur anthracite, une grande baie vitrée…
Singularité : celle ci est au contact d’une meute de loups noirs, dont nous ne sommes séparés que par une clôture.
Les finitions sont soignées, les équipements nombreux : cheminée, cafetière expresso, éclairage led multicolore télécommandé, chauffage au sol…
Le genre de logement que l’on garderait bien pour le reste de l’année !
La disposition est étonnante : la pièce principale est séparée d’une petite dépendance constituant la seconde chambre, un autre bloc héberge les toilettes et la salle de bain. Ils n’ont en commun qu’une terrasse en bois et un pan de plafond…
En bonne place, au milieu de cette terrasse centrale, figure le jacuzzi tant convoité, caché sous sa grande housse.
On nous montre le fonctionnement du logement, les précautions d’usage, ainsi qu’un rappel des différents horaires, dont celui du dîner.
Enfin seuls !
Malgré l’absence de rideaux et l’importante surface vitrée, nous bravons les rares vis-à-vis et faisons tomber nos vêtements, impatients.
Nous débarrassons le précieux équipement balnéo de sa lourde housse, prenons une douche rapide, et nous voilà barbotant dans l’eau chaude, testant les différents réglages et mécanismes d’agrément.
le jacuzzi est encastré dans la terrasse, nous avons les yeux à hauteur du sol, et notre point de vue donne sur le grand enclot voisin, celui qui abrite les loups noirs. Nous tentons de les repérer mais ils se tiennent à distance dans l’immédiat.
Le mélange de confort et de proximité avec la nature est quelque peu paradoxal, mais particulièrement agréable.
Nous nous délassons ainsi un long moment, tentant de repérer les loups, jouant à cache-cache avec les jets, les mains deviennent baladeuses et nos corps se frôlent.
Fatalement, la poitrine de Missdactari ne manque pas de me narguer, mes mains et ma langue ne résistent pas bien longtemps à l’appel de la nature.
Mes érections sont autant de prétextes à de douces caresses sous-marines.
Nous nous amusons à faire monter la tension sexuelle pendant un bon moment, jouant avec notre désir.
Jusqu’à ce que n’y tenant plus, et bien que frileuse (au sens premier du terme uniquement) la miss sorte de l’eau jusqu’à son entrejambe, sans dire un mot.
Le message est clair, et à mesure que j’approche de son intimité, elle fait en sorte d’adapter sa position pour me l’offrir du mieux possible.
Resté dans l’eau chaude, je prends un malin plaisir à m’appliquer dans un cunnilingus d’abord lent et appuyé, lascif.
Sentant la cyprine remplacer avantageusement le côté rugueux et insipide de l’eau j’accélère progressivement le mouvement, tout en observant l’effet produit sur la belle demoiselle.
Son souffle se fait audible et plus rapide, j’agrippe ses fesses et je poursuis mes explorations linguales de plus belle.
Pendant que son plaisir prend forme, qu’elle me guide et m’encourage de quelques mots, je maintiens la pression ainsi que le mouvement, de manière à ne plus laisser d’échappatoire.
Un gémissement rauque me ravit intérieurement, et je ne lâche ma proie que lorsque qu’une main sur mon front m’éloigne du fruit défendu mais ô combien apprécié.
Il est temps de se remettre dans l’eau chaude, l’orgasme n’ayant rien arrangé côté frilosité, pour quelques minutes de récupération, enlacés.
Une main descend délicatement mais avec assurance et se saisit de mon sexe, vaguement remué dans l’apparente l’apesanteur.
Tant et si bien qu’il ne va bientôt plus y être assujetti, dressé tel un fier soldat…
Ah… quelle agilité dans les gestes, quel talent !
Je m’interroge sur la marche à suivre pour éviter les effusions dans l’eau que nous tenons à garder propre pour ces deux jours.
Missdactari me propose alors de passer dans la salle de bain…
Nous sortons de l’eau en prenant garde à ne pas être observés (hormis par les loups) et filons dans la pièce attenante.
L’efficacité du plancher chauffant un sol en pierre volcanique est appréciable. La douce chaleur qui s’en dégage est tout à fait propice à des ébats improvisés.
Après s’être assuré que j’étais toujours en forme, la miss se tourne et offre à ma vue l’une des plus belles invitations à l’indécence.
Ne pouvant refréner un coup de langue en enfilant un Unique, je me dresse et lui saisit fermement les hanches avant de m’enfoncer avec vigueur.
Je me délecte des vagues de sensations énergiques provoquées par une pénétration qui ne l’est pas moins.
N’étant pas un grand amateur de la position debout, et la pièce ne permettant pas de se mettre confortablement à genoux, je ne tente pas d’atteindre à tout prix l’orgasme.
Je me contente du plaisir lubrique de la situation, pour quelques minutes encore : je tiens à m’économiser pour le soir.
L’heure du dîner approche… il est temps d’interrompre nos ébats temporairement.
Nous revêtons une tenue appropriée et sortons rejoindre la salle de restaurant en nous faufilant dans les sous-bois.
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Une journée d’anniversaire bien remplie (partie III)
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Missdactari semble impatiente d’arriver au terme de cette journée, ma foi fort bien commencée. Je ne connais pas les détails de l’endroit où elle nous emmène, mais je sais que c’est un lieu qui devrait sortir du commun.
Nous descendons la rue de Clichy, chose qui m’étonne car ce quartier n’est pas nécessairement réputé pour ses hébergements luxueux 1.
En quelques minutes pourtant, nous arrivons à l’angle de la rue de Parme, et une lumière violacée attire mon regard.
C’est là qu’est niché l’Hôtel Design Secret de Paris, un établissement récent qui cède à la mode (bien agréable) des petits hôtels intimistes et hauts de gamme. En pénétrant à l’intérieur, on passe dans un autre monde. Oubliée la banalité de la rue de Clichy, le bruit des voitures… Ici tout est fait pour émerveiller le regard et apaiser les oreilles.
Le hall d’accueil donne le ton : ici, on soigne les détails et on ne fait pas dans l’approximation.
Nous sommes accueillis avec beaucoup d’attention, et l’on prend le temps de nous présenter les installations de l’établissement et de nous donner toutes les informations utiles pour notre séjour.
On nous demande aussi combien de nuits nous avons réservé… Question qui peut vite agacer, on se sent déjà bien et l’on évoque sans aucune précaution la possibilité que tout cela doive se terminer !
J’apprends que les chambres ont différentes thèmes, et je me rappelle alors un commentaire que m’avait fait la miss il y a un certain temps sur un hôtel qui proposait diverses chambres, dont une sur le thème de l’Opéra, qui lui est cher.
Il semble qu’elle avait préparé sa surprise depuis longtemps, c’est pourtant SON anniversaire !
Notre hôtesse nous mène à notre chambre et nous laisse ensuite tous les deux.
L’impression de cocon est très forte, la chambre n’est ni trop grande ni trop petite, la décoration et les finissions sont travaillées. Même les mitigeurs sont signés du nom de l’hôtel.
Le thème reprend l’image d’une lucarne avec des photos des toits de l’Opéra Garnier. Une barre de danse sur laquelle sont lacés des chaussons fait office de tête de lit.
Les commandes d’éclairages sont tellement élaborées qu’elles en seraient presque complexes, mais permettent de donner à la chambre de multiples ambiances, plus ou moins tamisées.
La pièce maitresse, hormis le lit, est dans la pièce à côté : une grande baignoire d’angle qui propose la fonction jacuzzi, et un éclairage de l’eau dans différentes couleurs.
Je suis surpris par un point : notre chambre donne dans la rue, et pourtant il y règne un calme olympien.
Un rapide coup d’œil aux fenêtres donne l’explication : un double vitrage extérieur auquel on a ajouté un autre niveau de double vitrage, le résultat est imbattable !
Nous nous déposons rapidement nos affaires et je suis chargé de faire couler l’eau. Très chaude bien sûr, connaissant la frilosité de la miss.
Bien qu’habitués aux grands jacuzzis, avoir sa baignoire balnéo dans un cadre aussi intime est une toute autre expérience.
Et nous n’avons jamais eu cette opportunité auparavant… nous voilà donc à tester les différentes possibilités de l’engin 2
Une fois trouvés la meilleure combinaison bulles / couleur, nous nous relaxons et laissons aller nos mains. Mes mains glissent dans l’eau et suivent les formes de ma délicieuse maitresse, dessinés par l’éclairage inhabituel.
Difficile de rester de marbre dans ces conditions, cependant la baignoire n’est pas non plus gigantesque, et l’on ne peut guerre s’y ébattre sauvagement.
L’assise qui est dessinée dans l’angle en revanche, pourrait bien receler un potentiel coquin. Il nous faut impérativement tester cette configuration inédite !
Nous expérimentons donc alternativement la “balnéo-gâterie”, tout en rajoutant régulièrement de l’eau chaude pour nous maintenir dans les meilleures dispositions.
Je ne saurai dire ce qui a ma préférence entre le plaisir d’une fellation appliquée, calé dans l’angle de la baignoire, caressé par la vapeur d’eau et la double sensation de chaleur humide dispensée tant par la baignoire que par le délicat fruit que je butine.
Quoi qu’il en soit les bienfaits en sont incontestables 3.
A la fois relaxés et électrisés nous prenons le lit d’assaut, laissant derrière nous une salle de bain toute embuée.
La literie est à l’image du reste de la chambre, parfaitement agréable. Du moins pour dormir… mais il n’en est pas encore question !
Nous avons à cœur de finir la soirée en apothéose, ce n’est pas un jour comme les autres !
Et nous ne pouvons fêter cet anniversaire sans une levrette dans les règles de l’art.
Si l’absence de grincement est bien appréciable, le mieux s’avère parfois l’ennemi du bien : la douce texture de la couette n’est pas des plus adaptée à un accouplement musclé.
Il en faut plus pour nous décourager, et nous réglons bien vite le risque de dérapage en adoptant un positionnement plus adapté (bénie soit la souplesse de Missdactari, en même temps on n’est pas dans la chambre “Opéra” pour rien !).
Après tant de plaisirs qui se sont additionnés tout au long de la journée, je m’abandonne à un orgasme long et intense, dévastateur.
Malgré l’épuisement, il est hors de question de s’endormir sans avoir mis à profit le cadeau de l’an dernier : le Fairy.
Ce dernier est mis à contribution et bien vite il confirme sa redoutable efficacité ! C’en est presque désarmant de voir de quelle manière implacable il peut conduire, en bien peu de temps, une femme à l’orgasme.
Mais il eut été trop simple de s’arrêter là, et je décide d’ajouter ma cerise sur le gâteau.
Je suis bien décidé non seulement à avoir le dernier mot, mais également à ne laisser aucune bribe d’énergie à Missdactari, qui ne soit transformée en jouissance.
Après m’être assuré qu’elle capitule, visiblement terrassée, nous nous accordons un repos des guerriers bien mérité, et je tombe bien vite dans un profond sommeil…
… sommeil dont je suis très agréablement sorti par une très douce et très agréable sensation.
Avec beaucoup de délicatesse la miss cajole ma hampe fièrement érigée, et n’accélère le rythme que lorsque je me montre aussi bien réveillé.
C’est donc une journée qui commence bien, très bien même !
Malgré mes envies de “petit déjeuner au lit” la tête enfouie entre ses jambes, Missdactari m’enjoint de me préparer pour un repas plus nourrissant.
L’effet cumulé des différents traitements de la veille ne semble pas s’être encore dissipé, nous prenons donc le chemin du buffet.
Confortablement installés dans les fauteuils club violet, nous profitons de la variété des mets proposés.
Nous observons le personnel, la décoration… nous faisons des commentaires sur le lieu, sur notre journée mémorable.
Nous devisons sur les autres clients. Sont-ils venus eux aussi profiter d’un si bel écrin pour s’ébattre ?
Ou ne sont-ce que des voyageurs blasés, habitués des lieux, n’ayant trouvé que le repos à défaut de fougue ?
Le soleil nous accompagne sur le chemin qui nous ramène vers une vie “normale”, et nous commençons déjà à élaborer des plans pour le prochain opus.
Crédits photos : première, deuxième et dernière photo viennent du site officiel de L’Hôtel Design Secret de Paris, la troisième et quatrième de tripadvisor.
- d’ailleurs si vous regardez l’adresse de l’hôtel sur Google Street View, vous verrez que l’endroit était pour le moins délabré il y a encore quelques années[↩]
- la baignoire, dans un premier temps… what did you expect ?[↩]
- note à moi-même : tenter d’intégrer une baignoire balnéo dans ma future lapinière[↩]
Triathlon (étape III)
[ précédent ]
Après un trajet sans histoires, nous abordons la rue du Cherche-Midi et surveillons les numéros afin de nous approcher au mieux de la Galerie Le Sevrien.
Nous voici aux abords du club, sachant qu’il n’est pas évident de trouver une place dans la rue, nous avons convenu de faire appel aux services du voiturier.
Nous stationnons devant une porte cochère, le cherchant du regard…
Soudain la porte passager s’ouvre d’un coup, nous faisant bondir sur nos sièges. Le voiturier a surgi de nulle part et nous prend en charge… presque trop efficace.
Après ce petit coup d’adrénaline, nous nous dirigeons vers la galerie.
Je n’ai jamais visité l’Overside auparavant, c’est donc une première pour moi. Mon accompagnatrice a déjà fait une visite des lieux auparavant.
Le moins que l’on ne puisse dire, c’est que l’on n’imaginerait pas trouver un club libertin à cet endroit.
En descendant une large rampe d’escalier, nous abordons une galerie souterraine. Tout de suite sur notre droite, une porte discrète marque l’entrée de l’établissement.
Nous nous débarrassons de nos manteaux au vestiaire, et discutons un peu avec le personnel… puis il est temps pour moi de faire le tour des lieux.
C’est toujours avec intérêt que je découvre un nouveau club. En ayant fréquenté plus ou moins assidument un nombre qui commence à être raisonnable, je dispose d’éléments de comparaison qui permettent d’apprécier tel ou tel point, ou de voir quelles améliorations pourraient être apportées 1.
En passant le vestiaire, nous débouchons sur le bar immédiatement sur notre droite. De là, nous pouvons soit continuer vers les coins câlins sur notre gauche, soit la zone dancefloor / restauration sur notre droite.
Nous commençons par cette dernière. La piste est grande et bien aménagée, le matériel de sonorisation et d’éclairage sont à la hauteur. On m’a souvent vanté les mérites de la partie discothèque de ce club, en tout cas les moyens y sont.
Nous montons quelques marches et nous voici sur une sorte de demi-étage où le buffet est dressé. Le choix est pléthorique, la présentation agréable, les aliments de qualité.
C’est un buffet qui sort du lot, loin devant ce que j’ai pu voir dans d’autres établissements.
Mais nous nous restaurerons plus tard, car la visite n’est pas terminée.
Dans l’enfilade du buffet, sont disposées quelques tables basses rondes autour de banquettes, le tout est disséminé sur différents niveaux.
Ces “plateformes” de restauration sont articulées autour de la cabine du DJ. Un rapide coup d’œil me confirme que le matériel n’est pas le choix d’un amateur, sinon éclairé.
Sous le plus haut étage, se trouve l’entrée discrète d’une blackroom, relativement vaste… idéale pour les amateurs d’inconnu.
Taquin, j’y entraine missdactari au prétexte de voir la taille de la pièce… dans l’obscurité, je la plaque contre un mur et laisse aller mes mains à l’exploration. S’il se trouve que la pièce est assez vaste, je me sens malgré tout à l’étroit dans mon boxer…
Mais l’heure n’est pas encore aux effusions de libido…
Nous rebroussons chemin et passons du côté ludique des installations. A l’entrée de cette zone trône un tabouret de bar. Il est inoccupé pour l’instant mais c’est le domaine du videur.
Sur notre gauche s’ouvre une première salle hexagonale à la décoration romaine. Au centre figure un matelas surélevé, hexagonal lui aussi.
Chaque pan de mur possède une petite banquette en regard de ce coin central. Prometteur !
Face à cette salle, un autre coin, plus simple avec un matelas en longueur, est le seul muni d’une porte.
A l’angle un petit coin SM avec un peu de matériel. Rien de bien méchant, mais il y a le nécessaire de base pour attacher son ou sa partenaire.
Nous poursuivons dans les couloirs, passant un renfoncement, avec ce qui pourrait ressembler à un confessionnal 2, puis un espace d’accès étroit, où l’on ne tient guerre à plus de 4.
Nous arrivons enfin sur 2 grands coins à l’enfilade, un premier assez grand muni d’une sorte de cage qui peut facilement faire tenir une personne allongée.
A la suite un second espace, le plus grand du club, permet d’accueillir de nombreuses personnes, avec des murs parés de miroirs.
Le tour du propriétaire achevé, nous retournons vers le bar.
C’est une soirée mixte, la formule prévoit que seuls les couples peuvent accéder au club dans un premier temps, et en profitent pour se restaurer.
Les hommes seuls ne sont acceptés que dans un second temps, et ne profitent pas du buffet.
Nous goutons donc les nourritures terrestres avant de passer à celles de la chair.
Petit défaut : les tables style “discothèque” sont petites et assez basses, plus adaptées pour poser un verre qu’une assiette.
Nous profitons de ce moment de détente pour commenter les deux étapes précédentes, échanger nos impressions sur le club.
Il me semble à un moment apercevoir une femme vêtue de dentelle blanche, et qui me semble être enceinte.
C’est chose rare en club, mais ce n’est pas pour déplaire à mon côté maïeusophile, bien au contraire.
Mais la soirée est à peine commencée, il serait prématuré de lui sauter dessus entre le fromage et le dessert.
Nous finissons donc notre repas et descendons vers le bar.
Le volume sonore est monté et le dancefloor a déjà commencé à se remplir.
Les danseurs sont peu nombreux, mais quelques femmes ondulent déjà sur la piste, ou sur la barre de pole-dance.
Ce spectacle me fait craindre que le club ne soit plus orienté sur l’exhib’ que sur le jeu, comme j’ai déjà pu le constater dans certains club où l’on danse beaucoup, surtout pour se montrer.
Un rapide coup d’œil vers les coins câlins montrent que les ébats n’ont pas encore commencé… cela confirmerait-il mes doutes ?
Nous décidons de ne pas attendre pour voir, et de profiter à deux, pendant que la place est libre, et investissons donc le coin hexagonal.
Quelques couples jettent un œil ou bien passent à côté pendant que nous nous installons.
Pour l’instant je suis concentré sur ma partenaire, nous faisons monter le désir et la température de la pièce… jusqu’à ce que je ne puisse résister à l’envie de la pénétrer.
Je m’équipe donc d’un préservatif (Unique bien sûr) et nous optons pour un missionnaire.
Le coin hexagonal a juste la bonne taille pour accueillir nos ébats, et il serait difficile de partager notre matelas avec d’autres personnes.
Le passage des couples autour de nous s’intensifie. Certains s’arrêtent, et commencent à se toucher sur les banquettes disposées autour de notre coin.
D’autres s’approchent et nous frôlent, tentent une main baladeuse. Quelques hommes confient leur intimité aux bons soins de missdactari
Alors que je suis en train de la besogner, bras tendus, je sens une main venir me caresser le dos, puis venir caresser mes cheveux.
Le mouvement est très doux, sensuel, câlin même.
Je ne vois pas bien celle qui me le prodigue car elle est restée sur ma droite, légèrement en retrait. Je me demande même si cette caresse ne vient pas d’un homme…
Les effluves de parfum qui me parviennent me confirment cependant qu’il s’agit très certainement d’une attention féminine.
Comme je suis appuyé à bout de bras, je ne peux rendre la caresse qui m’est offerte. Je cherche donc le contact en me décalant légèrement sur le côté, toujours attentif à ma partenaire.
Coup de chance, ou manœuvre volontaire de la part de ma tendre inconnue, ma joue se positionne directement contre sa poitrine.
L’ambiance est plutôt silencieuse, et ne voulant pas rompre cet état de fait, je tente de faire comprendre par mon attitude que j’apprécie ce contact.
Pas évident lorsque la parole n’est pas dans les options, et que le regard fait défaut.
Le message doit passer cependant, car les caresses et la présence presque maternelle de la poitrine de l’inconnue persistent un bon moment.
Ils ne seront toutefois pas suivis d’une proposition plus osée, et elle prend congé, avec son accompagnateur.
Ce n’est peut-être que partie remise.
Toujours est-il que je n’ai pas réellement pu identifier celle qui m’a prodigué autant de douceur.
Aujourd’hui encore, l’extrême douceur et la bienveillance de ce contact demeurent très présentes dans mon esprit.
Comme toutes les bonnes choses ont une fin, nous finissons missdactari et moi par reprendre nos esprits et nous rhabiller.
Il est grand temps de prendre une boisson fraiche salvatrice, nous nous dirigeons donc vers le bar.
Pendant ce temps je tente de repérer ma caressante inconnue, sans grand succès puisque je ne l’ai pas vraiment vue, je ne fais donc que des suppositions.
Nous partons nous assoir au bord de la piste avec nos verres. Nous profitons d’un instant de détente, assis côte à côte sur une banquette, sirotant nos boissons.
Nos commentaires vont bon train, sur le club, sur ce qui vient de se passer, ou échangeant nos avis sur tel ou tel couple.
Les verres vidés, nous allons nous dégourdir sur la piste.
La bonne réputation du club concernant la partie dansante n’est pas usurpée.
Sans être totalement parfaite, elle fait clairement partie de ce que j’ai vu de mieux en club.
Il y a de la place pour danser, les éclairages sont efficaces et nombreux, bien dosés.
Le son est bon et ne vrille pas les oreilles, tout en assurant un volume soutenu mais pas assourdissant.
La sélection du DJ est pertinente et les titres sont enchainés avec soin. Que demander de plus ?
Un peu d’action horizontale peut être ?
L’heure avance, et nous ne pourrions certainement pas terminer notre journée “anniversaire marathon” sans un dernier round.
Nous partons donc refaire un tour de l’espace interactif.
La fréquentation est cette fois ci bien plus élevée.
Nous parcourons tous les coins… en passant devant la cage, nous apercevons la jolie brunette qui se trémoussait sur la piste quelques temps auparavant.
Elle semble aussi joueuse que bonne danseuse, et ne manque pas de prétendants… que la cage permet de canaliser un peu.
Dans le dernier coin, nous trouvons des matelas bien occupés, la situation étant pour le moins “partouzesque”.
Nous trouvons une place sur un des matelas, nous nous hâtons d’ôter nos vêtements et de bien faire en sorte de pouvoir tous les retrouver au milieu de la mêlée une fois le match terminé.
Alors que le jeu devient de plus en plus chaud, quelques hommes profitent des formes de missdactari
J’en profite pour la gratifier d’un cunnilingus dont elle raffole, tout autant que j’aime lui prodiguer, m’efforçant de faire de mon mieux.
L’effet escompté ne tarde pas à se produire… l’entrejambe trempé, le visage basculé, elle jouit dans un râle alors qu’elle me repousse pour signifier son abdication.
Il faut dire que j’ai cette (mauvaise ?) habitude de continuer à gamahucher tant que je ne suis pas certain d’avoir mené l’assaut à son terme, afin de m’assurer que je ne lâche pas ma partenaire avant la fin de son ascension vers l’orgasme.
Dans certains cas, les dames supportent tout à fait d’être léchées alors qu’elles ont jouit, mais d’autres ne supportent plus aucune stimulation, et se dégagent plus ou moins violement.
Je me permets donc parfois de préciser avec des partenaires inconnues : “quand tu n’en peux plus tu me dis stop ou bien tu tapes“.
Chose prévisible… missdactari ne compte pas laisser mon forfait impuni.
Alors que deux couples, qui visiblement se connaissent, sont venus réduire notre espace vital au strict minimum, elle me prend en bouche, et entame une fellation dans un regard tout à la fois indécent et provocateur.
Je suis recroquevillé contre un miroir qui ruisselle de buée, en effet l’espace est saturé, et les jeux vont bon train.
La position est peu confortable et ne m’aide pas à lâcher prise, d’autant que la journée a été bien remplie… je me fais donc désirer un moment.
Je finis par me concentrer sur mon environnement immédiat, et je contemple cette salle remplie de corps nus, de femmes haletantes, gaillardement chevauchées par les amants d’un soir ou d’une vie, je balaye le panorama pour ne voir que plaisir et débauche tout autour de moi. Les gémissements se mêlent en un bruit de fond saccadé et décadent.
La chaleur de la pièce et les odeurs presque imperceptibles mais inavouables complètent cet éveil de mes sens.
Submergé par le plaisir, je finis par rendre les armes, me répandant dans la bouche de missdactari
Je peine à reprendre mes esprits, mais me retrouve finalement debout, rassemblant mes vêtements, vérifiant que je n’embarque pas la chemise d’un congénère.
Le club s’est un peu vidé, et la nuit est déjà bien avancée.
A notre sortie de la galerie, le voiturier a anticipé notre arrivée, et le cabriolet nous attend déjà, moteur tournant.
En chemin pour ma tanière, la route est calme, le trafic quasiment nul et la nuit sombre. Nous faisons un premier bilan, positif, de cette journée “Anniversaire Marathon”.
Cette nuit, ou ce qu’il en reste, le sommeil ne sera pas long à trouver…
Cet anniversaire n’aura pas été de tout repos, et alors que j’achève la fin de cette trilogie, je suis à seulement 5 semaines de l’édition 2012.
Le programme n’est pas encore décidé, mais j’ai déjà débuté la préparation physique, car le programme risque d’être olympique.
Les photos viennent du site officiel de l’Overside.
Un club pour s’envoyer en l’air (en action)
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Arrivés sur le pont supérieur nous nous dirigeons donc vers l’avant de l’appareil, dans le cockpit que nous avons précédemment repéré.
Le coin est assez grand et toute sa surface est recouverte d’un épais matelas en skaï noir.
Nous nous installons donc tranquillement en ôtant nos vêtements. De mon côté je m’ébahis de la vue panoramique offerte par le pare-brise, ce qui visiblement n’émeut pas mon accompagnatrice outre mesure.
En revanche il lui semble que le sol est légèrement en pente ici aussi, ce qui ne m’avait pas paru évident au premier abord.
Rien de bien gênant toutefois.
Nous passons donc aux choses sérieuses et je me fais sauter dessus, ce qui me met d’encore meilleure humeur.
La vue de missdactari qui me chevauche, le fait de savoir que je suis dans le cockpit d’un authentique et mythique avion de ligne, décidément, je me dis que la situation est unique, et que je suis un privilégié…
Comme à mon habitude, le fait de ne pouvoir m’activer me manque, il faut croire que le coup de rein fait partie d’un rituel qui m’est quasi-indispensable pour atteindre le nirvana.
C’est un fait : les rares fois où j’atteins l’orgasme en Andromaque sont lorsque ma partenaire se déchaîne et que je sens qu’elle le fait principalement pour elle, et je sais que ce n’est pas le cas ici.
Je demande donc à changer de position pour pouvoir bouger mes fesses, et nous entamons une levrette endiablée.
Je suis décidément très en forme ce soir, et la vue de la croupe de missdactari fait monter en moi l’envie de m’immiscer dans le plus étroit de ses orifices.
Mais c’est une envie à double tranchant… en effet la sodomie demande une certaine délicatesse, son succès n’est pas garanti car il dépend de beaucoup de facteurs.
Par ailleurs, même si elle m’excite beaucoup, cette pratique m’amène rarement au point de non-retour.
En effet je ne me lâche pas totalement, devant contrôler un minimum l’amplitude et la vitesse de la pénétration, sous peine de représailles de ma partenaire.
Du moins je n’ai encore jamais rencontrée de partenaire de jeux qui soit à l’aise avec cette pratique au point que je me permette d’y aller aussi gaiement que lors d’un coït plus classique.
Et puis il faut avant tout que l’envie soit commune… je fais donc une allusion à mon désir soudain et lubrique.
L’allusion trouvant un écho positif, je me retire délicatement et remonte de quelques centimètres. Je me tiens là à l’entrée, et ne bouge plus. Dans une telle situation, il vaut mieux la laisser faire. La pénétration est lente et régulière, mais tout se passe bien.
Je peux très vite reprendre mes va et vient, en douceur.
La sensation est très agréable, et mon cerveau est en ébullition. Ne serait-ce que de réaliser que je suis en train de sodomiser missdactari m’excite au moins autant que les sensations physiques qui en découlent.
L’excitation est intense, autant cérébrale que physique… je profite au maximum de l’instant présent.
Après un moment, missdactari m’indique qu’elle ne pourra pas tenir d’avantage, et je me retire donc avec précaution.
Je m’en voudrais beaucoup de la dégoûter de ces moments rares et je suis donc particulièrement attentif.
Furieusement excité, j’accepte la proposition de missdactari, et je me mets sur le dos pour recevoir une délicieuse fellation.
Mon regard se perd sur le plafond du cockpit et vagabonde… j’aperçois quelque chose dans mon champ de vision…
J’ai la tête placée vers la porte et en basculant la nuque je distingue “à l’envers” un couple qui nous regarde. Je me dis qu’ils pourraient bien venir nous rejoindre… il y a de la place et nous avons encore pas mal d’énergie pour des ébats pluriels.
Mais le temps que j’essaye d’évaluer s’ils peuvent nous plaire, ils sont déjà repartis… leur expression étonnée me faisant penser qu’ils sont plutôt débutants…
Je me concentre donc d’avantage sur mes sensations, je m’abandonne et je sens mon plaisir monter lentement mais surement.
Au point que je finis par exploser dans la bouche de ma charmante partenaire, dont le regard montre toute la satisfaction qu’elle a de m’avoir fait éjaculer.
Hors de question que je n’ai point ma revanche… je m’accorde donc quelques moments pour reprendre mes esprits et inverse les rôles.
Bien vite j’ai la tête entre les cuisses de la belle, ma langue s’appliquant autant que mes doigts, jouant tous deux de concert pour ne laisser aucune chance à missdactari
Sentant son excitation monter, je change de position avant de libérer mes coudes de façon à pouvoir accélérer le mouvement de mes doigts en toute liberté.
J’avance un genou pour pouvoir plaquer stratégiquement ma bouche et activer ma langue avec autant plus de précision.
Dans un rythme soutenu cadencé et sans faille, je l’emmène “doublement” au 7ème ciel.
Elle finit par me repousser d’une main, signe qu’elle n’en peut recevoir d’avantage…
Je remonte vers elle pour un atterrissage en douceur, repos des corps et moment de tendresse après la tempête.
Nous discutons quelques moments, j’ai le regard vide, et il me faut du temps pour reprendre (presque) totalement mes esprits.
Enfin remis sur pied, je suis impatient de tester ces magnifiques douches… Il se pourrait d’ailleurs que je sois le premier client du club à en faire usage.
En sortant du cockpit, nous notons l’absence de corbeille pour jeter les préservatifs et autres déchets.
Le staff me prévient que l’eau peut être assez chaude, je me méfie donc.
La remarque n’est pas inutile, et le premier jet aurait pu avoir de quoi surprendre désagréablement… les douches sont effectivement plutôt chaudes, mais on finit par s’y habituer, et en profiter.
Au sortir de la douche, 2 petits problèmes se présentent : pour commencer l’absence de serviette pose un gros souci.
Et ensuite il n’y a pas d’endroit vraiment commode pour se poser et se rhabiller.
On me ramène bien vite des serviettes, mais il faudra bien trouver à l’avenir un endroit pour les mettre à disposition… une chaise placée près des douches pourrait faire l’affaire, mais dans ce cas on ne peut pas s’y asseoir lors du rhabillage. Bref, il faudra corriger ce petit détail, chose que nous gardons en mémoire pour le signaler lors de notre départ.
Nous redescendons nous rafraichie au bar. A l’occasion de l’inauguration, une coupe gratuite nous est proposée, ce qui fait toujours plaisir.
Quelques personnes sont accoudées au bar ou assises sur la banquette à côté de nous. Peut-être 8 au total.
Pour une inauguration cela nous parait peu, mais c’est toujours mieux que les 2 femmes seules de notre arrivée.
Nous discutons et partageons nos impressions sur le club en sirotant notre Champagne…
Nos coupes ne sont pas tout à fait vide, mais l’envie nous prend déjà de tester un nouveau coin, et si possible d’avoir un peu de compagnie.
Nous remontons donc et portons notre dévolu sur le premier coin après la douche, sur notre droite.
Une petite ouverture est présente dans le mur, et une étroite entrée est présente en sens inverse, nous faisons donc le tour, montons sur le matelas après nous être déchaussés, et découvrons le reste du coin, assez grand pour 4 / 5 personnes, menu de quelques coussins rectangulaires.
Nous nous titillons gentiment pour voir si d’autres personnes se manifestent… assez vite un homme regarde par l’ouverture. Son expression est assez neutre, au moins il n’a pas un air de mort de faim impoli.
Nous lui sourions avec insistance, pour montrer que nous sommes prêts à jouer d’avantage.
Il a l’air de ne pas trop savoir quoi faire… je m’attends à ce qu’il passe un bras pour caresser missdactari et tenter un rapprochement. Mais il poursuit finalement son chemin plus avant dans le couloir.
Étonnée missdactari me dit “Et alors ? Tu crois que si je lui montre mes fesses il comprendra ?“.
Elle se tourne donc pour présenter sa croupe en direction de l’entrée du coin câlin.
Après quelques minutes le même homme s’arrête et commence à caresser les fesses si joliment offertes.
Je souris à missdactari qui me regarde avec complicité, comme pour dire “ah oui, ça marche, là au moins il a compris“.
Ce qui vient se produire ne manque pas de me rappeler une scène du film “la Guerre du Feu”. 1
Il semble que notre invité est plutôt débutant, il ne savait trop comment s’y prendre. C’est agréable de voir qu’il a préféré prendre son temps que d’avoir un comportement déplacé. Et l’exposition sans équivoque de la croupe de missdactari a permis de dissiper ses doutes. (Rien de tel qu’une paire de fesses tendues pour briser la glace).
Faisant face à missdactari je lui tends un coussin, accessoire d’un grand secours pour se caler lors d’une levrette digne de ce nom. Un second coussin s’avère ne pas être superflu.
Pendant que nous jouons tous les trois, un groupe de 5 ou 6 personnes, qui visiblement se connaissent déjà, s’engouffre dans le coin câlin suivant.
Nous poursuivons les jeux un moment avec notre invité, puis nous nous accordons une nouvelle pause sur le pont inférieur.
Bien que le choix musical soit entraînant, l’étroitesse de la piste, et son horizontalité questionnable 2 nous dissuadent.
Dans un dernier élan d’énergie, nous nous accordons un moment un peu plus calme dans le dernier coin câlin sur la gauche, juste avant la banquette et la télé.
Histoire notamment, d’avoir testé un maximum de coins câlins. Celui-ci, plus petit, est plus adapté à un duo et demeure très confortable, comme les deux précédents.
L’heure est avancée, nous décidons finalement de débarquer, et avant de quitter le bord nous discutons à la caisse avec le staff.
Nous faisons part de notre inquiétude, face à une soirée d’inauguration qui a dû voir pas loin de … 12 clients !
Pas étonnant que nous n’ayons trouvé qu’une seul partenaire pour nos ébats, point de couple pour jouer, encore moins d’orgie !
Le boss nous explique qu’ils ont préféré travailler sur les derniers travaux avant ouverture, et ont négligé la communication.
Ils ne savent à l’évidence pas encore tout à fait comment s’y prendre, et nous avouent assez vite ne pas être libertins eux-mêmes.
Nous faisons part des petits manques que nous avons identifié (mise à disposition des serviettes, logistique du rhabillage, corbeilles pour les préservatifs usagés etc…)
Nous partons avec l’assurance que ces détails seront bien vite réglés.
Cette fois-ci je ne laisse pas missdactari s’enfoncer avec ses talons dans la pelouse, et j’avance la voiture auprès du chemin en dur qui prolonge la descente de la passerelle.
Nous prenons le chemin du retour, au cœur de la nuit. La route est longue, mais nous sommes presque seuls.
Cela nous laisse le temps de deviser sur les aspects positifs et négatifs de ce nouveau club.
L’absence de communication pour l’ouverture nous laisse perplexe, mais le lieu est unique et l’accueil est bon.
L’aménagement de l’avion est une réussite, et malgré l’exiguïté apparente du lieu, les coins sont bien aménagés et confortables.
Pour nous ce club est loin d’être proche, mais nous pensons y retourner de temps à autres, attendant notamment l’ouverture de la partie balnéo.
Comme pour tous les clubs, son succès dépendra aussi, et surtout, le la clientèle d’habitués qu’il saura ou non convaincre.
Il y a assurément du potentiel.
Crédits Photos : site Internet du 7ème ciel et leur page facebook pour les photos du club, première illustration via jasonmillet, la seconde via 7 fetishes.
- Scène dans laquelle un sauvage est capturé par une tribu plus avancée, en compagnie d’une femme d’une autre tribu. Ils souhaitent les voir s’accoupler mais le sauvage ne comprend pas ce que l’on attend de lui. Ses geôliers intiment alors à la femme de se mettre à 4 pattes, pour qu’enfin il s’exécute.[↩]
- c’est que c’est important en libertinage, l’horizontalité[↩]
Un après-midi aux Chandelles (suite et fin)
Prenant place dans un petit recoin proche du comptoir, les dames profitent des canapés.
Nous devisons sur nos diverses sorties et expériences.
Bernard n’a pas son pareil pour inciter J*** à nous montrer ses bas et la complimenter sous notre regard amusé.
L’ambiance chauffe rapidement, les mains se font baladeuses, et les doigts fouineurs… bientôt le lieu n’est plus adapté à la fougue qui nous envahit.
Souhaitant profiter juste nous quatre dans un premier temps, nous nous installons logiquement dans la pièce aux miroirs.
Les caresses commencent gentiment, J*** avec H*** et missdactari avec moi.
Vêtement par vêtement, les corps sont effeuillés, les regards se font complices, les mains plus aventureuses.
Les dames sont décidemment toutes deux très belles, et leur regard traduit une certaine gourmandise…
J’ai une irrépressible envie de gouter leurs fruits défendus, de m’y abandonner en lapant de plus belle, de les sentir jouir sous ma langue et mes doigts.
Les filles ne sont pas en reste et nous font la démonstration de leur grande maitrise de la fellation.
Je n’ai pas souvent eu l’occasion de jouer avec J*** mais cela reste un excellent souvenir, et il me tarde de découvrir à nouveau son corps et sa peau douce.
A l’entrée du coin aux miroirs, quelques hommes observent tour à tour, certains osent une main pour caresser une fesse ou un sein, sans empressement déplacé.
Aucun n’essaye de nous rejoindre cependant, de toute façon l’espace est compté et ce serait particulièrement ambitieux.
Le peu de surface encore visible est jonché de chemises, robes, pantalons, boxers…
Bientôt nos deux partenaires féminines se retrouvent côte à côte, croupes offertes, cuisse contre cuisse, deux levrettes à la symétrie charmeuse.
Elles ne manquent pas de relever la situation…
Je m’assure que missdactari est comblée, lentement mais surement J*** se retrouve entre mes mains attentionnées.
A mesure que l’ambiance devient torride, J*** semble particulièrement motivée à l’idée d’avoir 2 hommes pour elle, et missdactari s’éclipse…
… mais elle ne reste pas bien longtemps seule, à en juger par les gémissements qui arrivent assez vite à mes oreilles et que j’identifie avec certitude.
Alors que je libère l’entrejambe de J*** de mon étreinte, H*** se rapproche d’elle ne lui laissant aucun répit, il s’enfonce en elle.
Ils échangent un regard complice, H*** se retire alors, bascule son bassin, et la sodomise sans difficulté aucune.
La douche est salvatrice… celle des Chandelles est à l’italienne, l’eau toujours chaude, de nombreux produits sont à disposition, et les serviettes ne viennent jamais à manquer.
La déco en carrelage noir, sobre et moderne, me plait tout particulièrement. L’endroit est apaisant, tout ce qu’il faut pour récupérer après des nos ébats ravageurs.
Nous nous retrouvons tous les quatre devant la douche, missdactari nous rejoint à demi nue, sourire aux lèvres…
Les seins à l’air, les filles discutent de tout et de rien, après s’être assurées que tout le monde a bien profité. C’est le cas.
Vêtements retrouvés, voilant pudiquement nos longs moments de débauche… nous nous installons au bar, repus.
Le temps d’un dernier verre, J*** et H*** ont des obligations et vont devoir nous quitter. Missdactari et moi avons encore un peu de temps devant nous.
Je ne résiste pas à une envie qui me titille depuis longtemps…
Faisant retirer ses escarpins à missdactari je l’aide à relever sa robe et elle se hisse sur un des hauts tabourets.
Bernard, qui a saisi nos intentions exhibitionnistes, se hâte de débarrasser le bar.
Prenant garde (un peu trop tard) aux lustres qui surmontent le bar, j’aide missdactari à s’allonger…
Tandis que je commence à la butiner, je jette un œil par-dessus son mont de vénus et j’aperçois les regards, curieux ou amusés, converger vers nous.
Je m’applique autant que possible, c’est que j’ai à cœur de démontrer mes aptitudes cunnilinguesques à l’assemblée !
Son clitoris roule sous ma langue et à chaque passage il me semble se gonfler un peu plus… mes doigts l’explorent sans ménagement, elle est trempée.
Je fais jouer ma langue en cadence avec mes doigts, augmentant très lentement le rythme au fur et à mesure que je sens la tension monter.
A force de ce petit jeu, le plaisir la submerge et je me repais du magnifique spectacle de son orgasme dans un écrin glamour.
Nous prenons quelques temps pour nous remettre (enfin, surtout missdactari) et je l’aide à redescendre sur terre.
Il est temps de quitter à notre tour les lieux, à regret… mais je suis déjà bien en retard.
Bravant le froid, nous rejoignons le parking et la voiture de missdactari.
Nous réchauffant peu à peu, nous faisons route commune, et discutons de ces précieuses heures que nous venons de vivre, hors du temps, la tête dans les étoiles.
Quelques jours après J*** me recontacte… il faudra, à coup sûr, nous retrouver de nouveau, tous les quatre aux Chandelles !