Archive pour la catégorie ‘Coquin’
Une journée d’anniversaire bien remplie (partie III)
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Missdactari semble impatiente d’arriver au terme de cette journée, ma foi fort bien commencée. Je ne connais pas les détails de l’endroit où elle nous emmène, mais je sais que c’est un lieu qui devrait sortir du commun.
Nous descendons la rue de Clichy, chose qui m’étonne car ce quartier n’est pas nécessairement réputé pour ses hébergements luxueux 1.
En quelques minutes pourtant, nous arrivons à l’angle de la rue de Parme, et une lumière violacée attire mon regard.
C’est là qu’est niché l’Hôtel Design Secret de Paris, un établissement récent qui cède à la mode (bien agréable) des petits hôtels intimistes et hauts de gamme. En pénétrant à l’intérieur, on passe dans un autre monde. Oubliée la banalité de la rue de Clichy, le bruit des voitures… Ici tout est fait pour émerveiller le regard et apaiser les oreilles.
Le hall d’accueil donne le ton : ici, on soigne les détails et on ne fait pas dans l’approximation.
Nous sommes accueillis avec beaucoup d’attention, et l’on prend le temps de nous présenter les installations de l’établissement et de nous donner toutes les informations utiles pour notre séjour.
On nous demande aussi combien de nuits nous avons réservé… Question qui peut vite agacer, on se sent déjà bien et l’on évoque sans aucune précaution la possibilité que tout cela doive se terminer !
J’apprends que les chambres ont différentes thèmes, et je me rappelle alors un commentaire que m’avait fait la miss il y a un certain temps sur un hôtel qui proposait diverses chambres, dont une sur le thème de l’Opéra, qui lui est cher.
Il semble qu’elle avait préparé sa surprise depuis longtemps, c’est pourtant SON anniversaire !
Notre hôtesse nous mène à notre chambre et nous laisse ensuite tous les deux.
L’impression de cocon est très forte, la chambre n’est ni trop grande ni trop petite, la décoration et les finissions sont travaillées. Même les mitigeurs sont signés du nom de l’hôtel.
Le thème reprend l’image d’une lucarne avec des photos des toits de l’Opéra Garnier. Une barre de danse sur laquelle sont lacés des chaussons fait office de tête de lit.
Les commandes d’éclairages sont tellement élaborées qu’elles en seraient presque complexes, mais permettent de donner à la chambre de multiples ambiances, plus ou moins tamisées.
La pièce maitresse, hormis le lit, est dans la pièce à côté : une grande baignoire d’angle qui propose la fonction jacuzzi, et un éclairage de l’eau dans différentes couleurs.
Je suis surpris par un point : notre chambre donne dans la rue, et pourtant il y règne un calme olympien.
Un rapide coup d’œil aux fenêtres donne l’explication : un double vitrage extérieur auquel on a ajouté un autre niveau de double vitrage, le résultat est imbattable !
Nous nous déposons rapidement nos affaires et je suis chargé de faire couler l’eau. Très chaude bien sûr, connaissant la frilosité de la miss.
Bien qu’habitués aux grands jacuzzis, avoir sa baignoire balnéo dans un cadre aussi intime est une toute autre expérience.
Et nous n’avons jamais eu cette opportunité auparavant… nous voilà donc à tester les différentes possibilités de l’engin 2
Une fois trouvés la meilleure combinaison bulles / couleur, nous nous relaxons et laissons aller nos mains. Mes mains glissent dans l’eau et suivent les formes de ma délicieuse maitresse, dessinés par l’éclairage inhabituel.
Difficile de rester de marbre dans ces conditions, cependant la baignoire n’est pas non plus gigantesque, et l’on ne peut guerre s’y ébattre sauvagement.
L’assise qui est dessinée dans l’angle en revanche, pourrait bien receler un potentiel coquin. Il nous faut impérativement tester cette configuration inédite !
Nous expérimentons donc alternativement la “balnéo-gâterie”, tout en rajoutant régulièrement de l’eau chaude pour nous maintenir dans les meilleures dispositions.
Je ne saurai dire ce qui a ma préférence entre le plaisir d’une fellation appliquée, calé dans l’angle de la baignoire, caressé par la vapeur d’eau et la double sensation de chaleur humide dispensée tant par la baignoire que par le délicat fruit que je butine.
Quoi qu’il en soit les bienfaits en sont incontestables 3.
A la fois relaxés et électrisés nous prenons le lit d’assaut, laissant derrière nous une salle de bain toute embuée.
La literie est à l’image du reste de la chambre, parfaitement agréable. Du moins pour dormir… mais il n’en est pas encore question !
Nous avons à cœur de finir la soirée en apothéose, ce n’est pas un jour comme les autres !
Et nous ne pouvons fêter cet anniversaire sans une levrette dans les règles de l’art.
Si l’absence de grincement est bien appréciable, le mieux s’avère parfois l’ennemi du bien : la douce texture de la couette n’est pas des plus adaptée à un accouplement musclé.
Il en faut plus pour nous décourager, et nous réglons bien vite le risque de dérapage en adoptant un positionnement plus adapté (bénie soit la souplesse de Missdactari, en même temps on n’est pas dans la chambre “Opéra” pour rien !).
Après tant de plaisirs qui se sont additionnés tout au long de la journée, je m’abandonne à un orgasme long et intense, dévastateur.
Malgré l’épuisement, il est hors de question de s’endormir sans avoir mis à profit le cadeau de l’an dernier : le Fairy.
Ce dernier est mis à contribution et bien vite il confirme sa redoutable efficacité ! C’en est presque désarmant de voir de quelle manière implacable il peut conduire, en bien peu de temps, une femme à l’orgasme.
Mais il eut été trop simple de s’arrêter là, et je décide d’ajouter ma cerise sur le gâteau.
Je suis bien décidé non seulement à avoir le dernier mot, mais également à ne laisser aucune bribe d’énergie à Missdactari, qui ne soit transformée en jouissance.
Après m’être assuré qu’elle capitule, visiblement terrassée, nous nous accordons un repos des guerriers bien mérité, et je tombe bien vite dans un profond sommeil…
… sommeil dont je suis très agréablement sorti par une très douce et très agréable sensation.
Avec beaucoup de délicatesse la miss cajole ma hampe fièrement érigée, et n’accélère le rythme que lorsque je me montre aussi bien réveillé.
C’est donc une journée qui commence bien, très bien même !
Malgré mes envies de “petit déjeuner au lit” la tête enfouie entre ses jambes, Missdactari m’enjoint de me préparer pour un repas plus nourrissant.
L’effet cumulé des différents traitements de la veille ne semble pas s’être encore dissipé, nous prenons donc le chemin du buffet.
Confortablement installés dans les fauteuils club violet, nous profitons de la variété des mets proposés.
Nous observons le personnel, la décoration… nous faisons des commentaires sur le lieu, sur notre journée mémorable.
Nous devisons sur les autres clients. Sont-ils venus eux aussi profiter d’un si bel écrin pour s’ébattre ?
Ou ne sont-ce que des voyageurs blasés, habitués des lieux, n’ayant trouvé que le repos à défaut de fougue ?
Le soleil nous accompagne sur le chemin qui nous ramène vers une vie “normale”, et nous commençons déjà à élaborer des plans pour le prochain opus.
Crédits photos : première, deuxième et dernière photo viennent du site officiel de L’Hôtel Design Secret de Paris, la troisième et quatrième de tripadvisor.
- d’ailleurs si vous regardez l’adresse de l’hôtel sur Google Street View, vous verrez que l’endroit était pour le moins délabré il y a encore quelques années[↩]
- la baignoire, dans un premier temps… what did you expect ?[↩]
- note à moi-même : tenter d’intégrer une baignoire balnéo dans ma future lapinière[↩]
Une journée d’anniversaire bien remplie (partie II)
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De retour dans le dédale du métro parisien, après de nombreux trajets celui-ci nous amène à notre première étape libertine, destination Pyramides.
Nous remontons rapidement la rue Thérèse et passons le hall discret des Chandelles.
Nous sommes comme à l’habitude très bien accueillis, à savoir tapis rouge pour missdactari, erreur volontaire sur le prénom en ce qui me concerne… que voulez-vous ici les femmes sont reines, il faut l’accepter ou changer d’établissement.
Ce qui tombe bien puisque, pour cet anniversaire, j’ai à cœur d’ouvrir les hostilités coquines de la meilleure façon qui soit. Je ne suis pas encore fixé sur les détails : gang bang endiablé, concours de cunnilingus allongée sur le bar, autres délices ?
C’est aussi l’ambiance du jour, les hommes présents, et surtout les envies de la principale intéressée qui donneront le ton.
Après notre périple “love shops” nous avons grand besoin de nous désaltérer, et le passage au bar permet de s’habituer à la faible luminosité du club.
C’est même l’endroit idéal pour se préparer à la semi obscurité des espaces de débauche.
Requinqués, nous ne perdons pas une seconde pour nous diriger vers notre zone préférée : le grand matelas à la forme incurvée à l’angle du club, motif en toile de Jouy, murs rougeoyants…
Comme souvent nous “ouvrons le bal”, sans trop préjuger de la suite, il s’agit simplement de démarrer le jeu, et de voir ou la suite nous portera.
Evidemment nous pouvons (enfin, surtout missdactari en l’occurrence) refuser ou accepter certaines approches, pour influencer sur la teneur des ébats.
Un premier homme s’approche, qui ne m’est pas inconnu… nous avons déjà batifolé avec lui et je sais que la miss l’apprécie. Il n’est pas accompagné comme il l’était lors de notre précédente rencontre, mais ce n’est finalement pas si mal car cela m’évitera de me disperser.
Le trio commence, d’abord en douceur. Notre invité sait-y faire, on le sent habitué des clubs et expérimenté, à l’écoute.
Ce n’est donc qu’une demi surprise lorsque missdactari refuse poliment les propositions d’autres hommes, à l’évidence elle a déjà tout ce qu’il faut pour être comblée. Pas de Gang-Bang endiablé pour cette fois.
Je ne sais pas si notre complice est au courant qu’il s’agit d’un jour spécial, je me plais à penser qu’il ne l’est pas, mais que c’est tout simplement un gentleman qui a tout comme moi à cœur de combler sa partenaire.
Chose rare et ô combien précieuse, nous sommes lui et moi sur la même longueur d’onde. Sans nous parler, chacun trouve sa place, les bons gestes.
Nous sommes totalement complémentaires et servons un but unique : donner à la belle un maximum de plaisir.
Je la sens particulièrement excitée lorsqu’il la pénètre avec assurance dans une magnifique levrette, pendant que je suis allongé et gratifié d’une délicieuse fellation.
Il saisit fermement la miss par les hanches, sait-il à quel point elle apprécie ce geste ? Voyant le trouble dans ses yeux, je n’hésite pas une seconde à ajouter le petit plus qui l’amènera à l’extase.
Humectant deux doigts de salive, je passe la main entre les cuisses de notre consentante victime et je m’applique à caresser son clitoris de la meilleure façon.
C’est que je commence à savoir comment elle fonctionne !
L’effet ne se fait pas attendre : un soupir, un léger gémissement… il m’a semblé que son corps s’est raidit pendant une fraction de seconde.
Mon semblable a de toute évidence perçu lui-aussi ces signaux. Il me jette un rapide regard, j’y réponds par un sourire motivé et un œil pervers dirigé vers l’entrejambe de missdactari.
Pendant que je m’assure que mes doigts restent suffisamment humides, il augmente légèrement l’amplitude de ses mouvements, ressert ses mains et maintient la cadence.
L’ascension vers l’orgasme semble bien engagée, voir inéluctable… je le perçois dans les yeux de missdactari, l’explosion est proche… il s’agit de ne rien lâcher.
Arrive alors ce moment délicieux, juste avant la jouissance, lorsqu’elle se laisse submerger, lorsque le retour en arrière n’est plus possible, lorsque pendant quelques secondes elle ne peut qu’attendre impuissante cette petite mort.
Un gémissement un peu rauque vient couronner notre entreprise, mais nous ne laisserons aucune échappatoire à notre victime et elle ne perdra pas un fragment de son plaisir.
C’est seulement une fois assurés que l’orgasme est complet que nous croisons à nouveau notre regard, satisfaits d’avoir si bien coordonné nos efforts.
Et tout cela sans échanger un seul mot…
Est-ce lié à ce jour particulier ? Je me plais plutôt à croire que le hasard a bien fait les choses.
Les jeux se poursuivent encore quelques temps, même si nous avons atteint un sommet pour le moment.
Le mieux étant l’ennemi du bien, nous ne tenterons pas de renouveler tel exploit dans l’immédiat.
Ayant rendu les armes, récupéré nos vêtements respectifs et repris nos esprits sous une douche bienfaisante, nous retournons vers le bar, le cœur léger.
Lumière feutrée, ambiance joviale et détendue… comme à l’accoutumée, les Chandelles est un club où l’on se sent bien et où le temps passe évidemment trop vite.
Je suggère à missdactari un second round, abondance de bien ne nuit pas dit-on…
Mais elle préfère en rester là et garder des forces pour le soir, et puis nous avons un agenda à tenir !
Nous prenons donc congé, et remontons au vestiaire. La miss revient à une tenue plus adaptée pour la suite de la journée pendant que nous échangeons quelques mots ironiques avec Bernard, le maître des déjeuners scandaleux et des after-work coquins.
Notre prochaine étape nous amène vers la place Clichy, mais cette fois ce ne sera pas pour s’y garer à la faveur d’une sortie dans le quartier de Pigalle.
Il est temps de reprendre des forces, et après le plaisirs des corps, nous allons laisser place aux plaisirs de la table.
Le choix était vaste, mais nous parlions de partager un grand plateau de fruits de mer depuis quelques temps déjà… quelle meilleure occasion pour assouvir cette envie ?
Nous prenons place à la table de la brasserie Wepler. Soutenant le prix littéraire du même nom et faisant face à la statue de Moncey, l’établissement propose à sa carte quelques plateaux forts appétissants.
La décoration vintage et ses photos de cinéastes nous font changer d’époque, alors que notre goût pour les conversations détendues autour du sexe contraste largement avec la bienséance du lieu.
Ce côté provocateur que nous partageons nous amuse toujours autant, et nous nous demandons ce que les autres convives ont fait de leur journée, ce qu’ils feront de leur soirée…
Probablement leur programme est-il différent du nôtre, et je ne manque pas de me sentir privilégié.
Alors que le plateau de fruit de mer est servi sur une table attenante compte tenu de sa taille, nous nous entendons sur un plan d’attaque infaillible, qui va le mener à sa perte.
Lentement mais surement, gâtant nos palets, nous faisons honneur à l’assortiment et marquons notre victoire en nous accordant un dessert.
Je ne sais pas encore précisément quel établissement nous accueillera pour la nuit. Missdactari a gardé le secret, mais à voir ses yeux briller et une certaine impatience, il est évident qu’elle a porté son dévolu sur un établissement d’exception.
La nuit est tombée pendant notre dîner, et nous retrouvons l’agitation nocturne du quartier qui nous est coutumière. Il n’est point besoin de s’engouffrer dans une bouche de métro cette fois-ci. Car l’établissement mystère est à quelques pas…
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Crédits photos : L’ancien blog de Valérie H (des Chandelles), Love MMF threesome pic’s & fantasies, Candaulismes, WikiPedia, Yelp (ex Qype).
Un agréable piège
J’accompagne assez régulièrement (autant que raisonnablement possible) missdactari dans des sorties plutôt orientées “pluralité masculine”…
Cependant il arrive, histoire de varier les plaisirs (et de se focaliser un peu plus sur les miens) que nous sortions dans des environnements moins pluraux.
Voir même en après-midi ou soirée couple 1.
Prétextant la proximité de mon anniversaire, nous nous sommes retrouvés il y a quelques temps en après-midi “couple” au Moon-City, célèbre sauna libertin parisien.
Les précédentes sorties étant principalement en “club sec”, nous ne boudons pas notre plaisir de retrouver les bulles du jacuzzi.
A cette heure, le Moon n’est pas pris d’assaut, il est encore trop tôt pour les 5 à 7, et les couples légitimes sont généralement plutôt du soir.
Nous ne nous interdisons pas de coquiner avec un couple, bien que nos récentes expériences soient assez inégales.
Qu’importe, sans trop y croire, nous n’hésitons pas à commenter sur ceux qui pourraient nous convenir…
Pas de gros enjeu toutefois, nous sommes aussi venus pour nous détendre, et les bulles sont déjà une bénédiction en elles-mêmes.
Et même si plus on est de fous plus on jouit, nous pouvons nous suffire à nous même 2.
Alors que le désir se fait plus présent, nous décidons de monter dans la partie interactive, à la recherche d’un coin confortable, et qui nous permette de laisser venir au moins un autre couple.
Alors que nous portons notre choix sur le premier espace, celui à plusieurs niveaux de matelas, nous constatons que personne dans le couloir ne semble nous avoir suivi ni repéré.
Nous nous installons donc tous les deux, en prenant soin de laisser la porte ouverte.
Missdactari décide de démarrer les hostilités et entame une très agréable fellation.
Et c’est alors que le piège se referme…
Alors qu’elle me suce, un couple apparait dans mon champ de vision, comme venu de nulle part.
Je ne pense pas les avoir repéré avant dans le club, ni vu passer par l’ouverture de notre coin câlin.
En fait c’est surtout la femme du couple, me faisant face, que je vois, son compagnon étant resté un peu en retrait.
Ils nous proposent dans détour de se joindre à nous, et j’ai à peine le temps d’exprimer mon approbation que déjà la femme s’approche de moi.
Ou plutôt de mon entrejambe… car elle semble décidée à gouter elle aussi à ma queue, que missdactari a l’air de tant apprécier.
Je n’ai pas vraiment eu le temps de vérifier si l’homme était du goût de missdactari et si elle était vraiment partante, mais son regard semble dire “profite, le mec j’en fais mon affaire”.
Peu adepte des fellations en duo avec des inconnues, elle propose à la femme de lui passer le relais, pour pouvoir s’occuper de monsieur.
Elle me prend en bouche de façon très assurée, et est très douée.
C’est fou comme ça peut être agréable de ne pas avoir à se poser de questions lorsqu’une partenaire prend autant les choses en main (ou en l’occurrence… en bouche) !
Sachant que missdactari n’en sera pas offusquée, je me focalise sur ma nouvelle partenaire.
Le moment ne semble pas être en faveur d’un jeu à 4…
La difficulté de trouver une réelle harmonie à deux couples est un sujet qui vaudrait à lui seul un long débat.
Pour cette raison nous sommes aussi adeptes du “2+2”.
Tout en profitant de ses talents, je m’attarde un peu plus à la détailler du regard, car malgré un apriori positif, tout est allé très vite.
Ses cheveux mi-longs et frisottés d’une couleur châtain, ont probablement contribué à cette bonne première impression.
Son visage est en partie caché par ses cheveux, et je ne le vois pas très bien.
Je crois deviner qu’elle est méditerranéenne, ce que sa peau légèrement matte semble confirmer.
Sa silhouette est assez élancée et harmonieuse sa taille marquée, sa poitrine à l’évidence naturelle est magnifique, plutôt généreuse sans être opulente…
Je me redresse et caresse son épaule, son bras, puis descend sur ses seins, ses hanches et ses fesses.
Sa peau est incroyablement douce et soyeuse, j’en frissonne de plaisir.
Sans aucun doute, elle prend grand soin de sa peau.
Son visage souriant n’est pas marqué, mais ses traits ne sont pas ceux d’une jeune fille non plus…
De fait, son âge est indéfinissable et tout pronostic serait futile.
Sans être un top-modèle, sans avoir un physique sur lequel “n’importe quel homme se retourne dans la rue”, elle est belle, tout simplement.
Magnifique même… plus je la regarde et plus j’en suis frappé.
Le contact de sa peau m’électrise littéralement, je suis subjugué par cette beauté à la fois simple et profonde, comme je les aime.
Je poursuis mes caresses, et elle se relève tandis que je me redresse, nos corps se rapprochent et nous sommes comme attirés.
Nous nous enlaçons, je la découvre très tactile. Sa peau contre la mienne me met dans un état second, me donne des envies de fusion.
J’ai très envie de lui montrer qu’à mon tour, je ne suis pas un avare de caresses buccales, et l’invite à s’allonger et à se détendre.
Elle apprécie mon initiative et m’ouvre la voie vers son intimité, que je ne tarde pas à déguster…
… tout d’abord en douceur, de la pointe de ma langue, et progressivement de façon plus appuyée.
Je promène mes doigts à proximité de sa fente, sondant sa réaction, afin de déterminer si elle souhaite ce complément dans mes caresses.
Elle n’a pas l’air opposée à l’intromission délicate d’un doigt, puis deux.
Ils sont accueillis chaleureusement et avec gourmandise, son entrejambe est déjà d’une humidité très avancée.
Attentif, je m’efforce d’optimiser mes caresses, scrute ses réactions… je me délecte déjà face à la perspective de lui donner un premier orgasme.
Mais elle en décide autrement, et me fait clairement comprendre qu’elle a envie d’être pénétrée là tout de suite, en s’allongeant sur le dos.
Un peu étonné qu’elle ne profite pas de mes caresses jusqu’au bout, je me dis qu’elle a peut-être l’orgasme clitoridien “radical” et le garde pour le bouquet final.
Ou bien elle a tout simplement envie d’accélérer les choses ?
Cette fois, je suis décidé à ne pas me poser mes éternelles question, ni à essayer de tout comprendre, de tout interpréter.
Cette fois, je vais profiter du moment présent, et faire preuve de cette petite touche d’égoïsme que je me refusais jusque-là avec une inconnue.
J’ai envie d’elle, très envie d’elle, et je vais accéder à sa demande sans arrière-pensée.
Je me prépare à la pénétrer pendant qu’elle use de mots crus pour me témoigner de son impatience d’être prise.
Alors que je prends possession de son corps, elle se cambre légèrement et son regard s’agrandit… sa bouche s’ouvre.
A l’évidence son envie de ma queue n’est pas désintéressée… en tout cas elle le verbalise avec moult compliments.
Encouragé, j’accentue chacun de mes coups de bassin… Je suis décidé à la baiser sans retenue.
Qu’importe la sincérité de ses râles, si elle veut ma queue autant qu’elle le prétend, elle va être servie !
L’étreinte est intense, ses cuisses grandes ouvertes, elle parcourt tout mon corps de ses mains, appelle un baiser indécent.
Son air sauvage, ses mots dépravés font sauter mes réserves habituelles.
Va-t-elle jouir ? Aime-t-elle ce que je lui fais ?
Peu importe, je lui donne ce qu’elle me demande, elle en fera ce qu’elle voudra.
A cet instant présent je savoure cet assaut bestial de manière totale.
Toujours aussi crûment, elle demande à être honorée.
Ce genre d’injonction est d’un résultat assez incertain chez moi, mais le ton qu’elle a employé est d’une rare perversité.
Je lâche prise progressivement, et laisse venir le plaisir à moi, j’attends le coup de grâce.
Un violent orgasme me transperce le bassin… et j’éjacule dans un dernier coup de rein, lent et ample, jusqu’à avoir empalé ma belle inconnue jusqu’à la garde.
J’ai la sensation de m’être totalement répandu en elle, malgré le préservatif.
Je profite de cet état de plénitude, béat et échange un regard bienveillant à l’égard de celle qui a su me faire prendre autant de plaisir.
J’ai chaud, je suis essoufflé, sans avoir eu l’impression de faire le moindre effort… comme si mon instinct avait décidé pour moi.
Il ne semble pas qu’elle soit parvenue à l’orgasme… alors que de mon côté ça ne fait aucun doute.
Elle décline pourtant ma proposition de cunnilingus, à ma grande surprise.
Je ne saurai dire, de son plaisir ou de la satisfaction de m’en avoir donné, ce qui la rend aussi souriante.
Mais elle a l’air bien, apaisée et satisfaite, elle aussi.
Le piège se rouvre peu à peu…
De nouveau nos corps se rapprochent alors que nous nous redressons en reprenant nos esprits.
Les caresses sont plus lentes, plus douces.
Je cherche des mots pour exprimer ma gratitude, mais me contente d’un sourire qui finalement exprime mieux ce que je ressens.
Nous retournons à la civilisation, et le langage se fait plus poli…
Je n’ai pas suivi ce que missdactari a fait avec monsieur, et je me sens un peu démuni, presque honteux, de ne m’être pas assuré qu’elle avait passé un bon moment.
A l’évidence, pas aussi bon que moi… mais je sais que si cela ne lui avait pas convenu, elle me l’aurait fait savoir.
Nous discutons tous les quatre, leur curiosité a été attisée par mes préservatifs en format “carte de crédit”.
Mais il semble que l’heure du départ est déjà dépassée pour eux, et ils prennent congé rapidement, nous ne les recroiserons pas…
C’est peut être mieux ainsi, laisser planer le mystère et ne garder en souvenir de ma belle inconnue, de ce piège délicieux, que ce moment de fougue.
Crédits photos : Sexeviolence†, Javelins Arc, Black and White Sex†.
† Ce site a disparu depuis la publication du billet
Triathlon (étape III)
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Après un trajet sans histoires, nous abordons la rue du Cherche-Midi et surveillons les numéros afin de nous approcher au mieux de la Galerie Le Sevrien.
Nous voici aux abords du club, sachant qu’il n’est pas évident de trouver une place dans la rue, nous avons convenu de faire appel aux services du voiturier.
Nous stationnons devant une porte cochère, le cherchant du regard…
Soudain la porte passager s’ouvre d’un coup, nous faisant bondir sur nos sièges. Le voiturier a surgi de nulle part et nous prend en charge… presque trop efficace.
Après ce petit coup d’adrénaline, nous nous dirigeons vers la galerie.
Je n’ai jamais visité l’Overside auparavant, c’est donc une première pour moi. Mon accompagnatrice a déjà fait une visite des lieux auparavant.
Le moins que l’on ne puisse dire, c’est que l’on n’imaginerait pas trouver un club libertin à cet endroit.
En descendant une large rampe d’escalier, nous abordons une galerie souterraine. Tout de suite sur notre droite, une porte discrète marque l’entrée de l’établissement.
Nous nous débarrassons de nos manteaux au vestiaire, et discutons un peu avec le personnel… puis il est temps pour moi de faire le tour des lieux.
C’est toujours avec intérêt que je découvre un nouveau club. En ayant fréquenté plus ou moins assidument un nombre qui commence à être raisonnable, je dispose d’éléments de comparaison qui permettent d’apprécier tel ou tel point, ou de voir quelles améliorations pourraient être apportées 1.
En passant le vestiaire, nous débouchons sur le bar immédiatement sur notre droite. De là, nous pouvons soit continuer vers les coins câlins sur notre gauche, soit la zone dancefloor / restauration sur notre droite.
Nous commençons par cette dernière. La piste est grande et bien aménagée, le matériel de sonorisation et d’éclairage sont à la hauteur. On m’a souvent vanté les mérites de la partie discothèque de ce club, en tout cas les moyens y sont.
Nous montons quelques marches et nous voici sur une sorte de demi-étage où le buffet est dressé. Le choix est pléthorique, la présentation agréable, les aliments de qualité.
C’est un buffet qui sort du lot, loin devant ce que j’ai pu voir dans d’autres établissements.
Mais nous nous restaurerons plus tard, car la visite n’est pas terminée.
Dans l’enfilade du buffet, sont disposées quelques tables basses rondes autour de banquettes, le tout est disséminé sur différents niveaux.
Ces “plateformes” de restauration sont articulées autour de la cabine du DJ. Un rapide coup d’œil me confirme que le matériel n’est pas le choix d’un amateur, sinon éclairé.
Sous le plus haut étage, se trouve l’entrée discrète d’une blackroom, relativement vaste… idéale pour les amateurs d’inconnu.
Taquin, j’y entraine missdactari au prétexte de voir la taille de la pièce… dans l’obscurité, je la plaque contre un mur et laisse aller mes mains à l’exploration. S’il se trouve que la pièce est assez vaste, je me sens malgré tout à l’étroit dans mon boxer…
Mais l’heure n’est pas encore aux effusions de libido…
Nous rebroussons chemin et passons du côté ludique des installations. A l’entrée de cette zone trône un tabouret de bar. Il est inoccupé pour l’instant mais c’est le domaine du videur.
Sur notre gauche s’ouvre une première salle hexagonale à la décoration romaine. Au centre figure un matelas surélevé, hexagonal lui aussi.
Chaque pan de mur possède une petite banquette en regard de ce coin central. Prometteur !
Face à cette salle, un autre coin, plus simple avec un matelas en longueur, est le seul muni d’une porte.
A l’angle un petit coin SM avec un peu de matériel. Rien de bien méchant, mais il y a le nécessaire de base pour attacher son ou sa partenaire.
Nous poursuivons dans les couloirs, passant un renfoncement, avec ce qui pourrait ressembler à un confessionnal 2, puis un espace d’accès étroit, où l’on ne tient guerre à plus de 4.
Nous arrivons enfin sur 2 grands coins à l’enfilade, un premier assez grand muni d’une sorte de cage qui peut facilement faire tenir une personne allongée.
A la suite un second espace, le plus grand du club, permet d’accueillir de nombreuses personnes, avec des murs parés de miroirs.
Le tour du propriétaire achevé, nous retournons vers le bar.
C’est une soirée mixte, la formule prévoit que seuls les couples peuvent accéder au club dans un premier temps, et en profitent pour se restaurer.
Les hommes seuls ne sont acceptés que dans un second temps, et ne profitent pas du buffet.
Nous goutons donc les nourritures terrestres avant de passer à celles de la chair.
Petit défaut : les tables style “discothèque” sont petites et assez basses, plus adaptées pour poser un verre qu’une assiette.
Nous profitons de ce moment de détente pour commenter les deux étapes précédentes, échanger nos impressions sur le club.
Il me semble à un moment apercevoir une femme vêtue de dentelle blanche, et qui me semble être enceinte.
C’est chose rare en club, mais ce n’est pas pour déplaire à mon côté maïeusophile, bien au contraire.
Mais la soirée est à peine commencée, il serait prématuré de lui sauter dessus entre le fromage et le dessert.
Nous finissons donc notre repas et descendons vers le bar.
Le volume sonore est monté et le dancefloor a déjà commencé à se remplir.
Les danseurs sont peu nombreux, mais quelques femmes ondulent déjà sur la piste, ou sur la barre de pole-dance.
Ce spectacle me fait craindre que le club ne soit plus orienté sur l’exhib’ que sur le jeu, comme j’ai déjà pu le constater dans certains club où l’on danse beaucoup, surtout pour se montrer.
Un rapide coup d’œil vers les coins câlins montrent que les ébats n’ont pas encore commencé… cela confirmerait-il mes doutes ?
Nous décidons de ne pas attendre pour voir, et de profiter à deux, pendant que la place est libre, et investissons donc le coin hexagonal.
Quelques couples jettent un œil ou bien passent à côté pendant que nous nous installons.
Pour l’instant je suis concentré sur ma partenaire, nous faisons monter le désir et la température de la pièce… jusqu’à ce que je ne puisse résister à l’envie de la pénétrer.
Je m’équipe donc d’un préservatif (Unique bien sûr) et nous optons pour un missionnaire.
Le coin hexagonal a juste la bonne taille pour accueillir nos ébats, et il serait difficile de partager notre matelas avec d’autres personnes.
Le passage des couples autour de nous s’intensifie. Certains s’arrêtent, et commencent à se toucher sur les banquettes disposées autour de notre coin.
D’autres s’approchent et nous frôlent, tentent une main baladeuse. Quelques hommes confient leur intimité aux bons soins de missdactari
Alors que je suis en train de la besogner, bras tendus, je sens une main venir me caresser le dos, puis venir caresser mes cheveux.
Le mouvement est très doux, sensuel, câlin même.
Je ne vois pas bien celle qui me le prodigue car elle est restée sur ma droite, légèrement en retrait. Je me demande même si cette caresse ne vient pas d’un homme…
Les effluves de parfum qui me parviennent me confirment cependant qu’il s’agit très certainement d’une attention féminine.
Comme je suis appuyé à bout de bras, je ne peux rendre la caresse qui m’est offerte. Je cherche donc le contact en me décalant légèrement sur le côté, toujours attentif à ma partenaire.
Coup de chance, ou manœuvre volontaire de la part de ma tendre inconnue, ma joue se positionne directement contre sa poitrine.
L’ambiance est plutôt silencieuse, et ne voulant pas rompre cet état de fait, je tente de faire comprendre par mon attitude que j’apprécie ce contact.
Pas évident lorsque la parole n’est pas dans les options, et que le regard fait défaut.
Le message doit passer cependant, car les caresses et la présence presque maternelle de la poitrine de l’inconnue persistent un bon moment.
Ils ne seront toutefois pas suivis d’une proposition plus osée, et elle prend congé, avec son accompagnateur.
Ce n’est peut-être que partie remise.
Toujours est-il que je n’ai pas réellement pu identifier celle qui m’a prodigué autant de douceur.
Aujourd’hui encore, l’extrême douceur et la bienveillance de ce contact demeurent très présentes dans mon esprit.
Comme toutes les bonnes choses ont une fin, nous finissons missdactari et moi par reprendre nos esprits et nous rhabiller.
Il est grand temps de prendre une boisson fraiche salvatrice, nous nous dirigeons donc vers le bar.
Pendant ce temps je tente de repérer ma caressante inconnue, sans grand succès puisque je ne l’ai pas vraiment vue, je ne fais donc que des suppositions.
Nous partons nous assoir au bord de la piste avec nos verres. Nous profitons d’un instant de détente, assis côte à côte sur une banquette, sirotant nos boissons.
Nos commentaires vont bon train, sur le club, sur ce qui vient de se passer, ou échangeant nos avis sur tel ou tel couple.
Les verres vidés, nous allons nous dégourdir sur la piste.
La bonne réputation du club concernant la partie dansante n’est pas usurpée.
Sans être totalement parfaite, elle fait clairement partie de ce que j’ai vu de mieux en club.
Il y a de la place pour danser, les éclairages sont efficaces et nombreux, bien dosés.
Le son est bon et ne vrille pas les oreilles, tout en assurant un volume soutenu mais pas assourdissant.
La sélection du DJ est pertinente et les titres sont enchainés avec soin. Que demander de plus ?
Un peu d’action horizontale peut être ?
L’heure avance, et nous ne pourrions certainement pas terminer notre journée “anniversaire marathon” sans un dernier round.
Nous partons donc refaire un tour de l’espace interactif.
La fréquentation est cette fois ci bien plus élevée.
Nous parcourons tous les coins… en passant devant la cage, nous apercevons la jolie brunette qui se trémoussait sur la piste quelques temps auparavant.
Elle semble aussi joueuse que bonne danseuse, et ne manque pas de prétendants… que la cage permet de canaliser un peu.
Dans le dernier coin, nous trouvons des matelas bien occupés, la situation étant pour le moins “partouzesque”.
Nous trouvons une place sur un des matelas, nous nous hâtons d’ôter nos vêtements et de bien faire en sorte de pouvoir tous les retrouver au milieu de la mêlée une fois le match terminé.
Alors que le jeu devient de plus en plus chaud, quelques hommes profitent des formes de missdactari
J’en profite pour la gratifier d’un cunnilingus dont elle raffole, tout autant que j’aime lui prodiguer, m’efforçant de faire de mon mieux.
L’effet escompté ne tarde pas à se produire… l’entrejambe trempé, le visage basculé, elle jouit dans un râle alors qu’elle me repousse pour signifier son abdication.
Il faut dire que j’ai cette (mauvaise ?) habitude de continuer à gamahucher tant que je ne suis pas certain d’avoir mené l’assaut à son terme, afin de m’assurer que je ne lâche pas ma partenaire avant la fin de son ascension vers l’orgasme.
Dans certains cas, les dames supportent tout à fait d’être léchées alors qu’elles ont jouit, mais d’autres ne supportent plus aucune stimulation, et se dégagent plus ou moins violement.
Je me permets donc parfois de préciser avec des partenaires inconnues : “quand tu n’en peux plus tu me dis stop ou bien tu tapes“.
Chose prévisible… missdactari ne compte pas laisser mon forfait impuni.
Alors que deux couples, qui visiblement se connaissent, sont venus réduire notre espace vital au strict minimum, elle me prend en bouche, et entame une fellation dans un regard tout à la fois indécent et provocateur.
Je suis recroquevillé contre un miroir qui ruisselle de buée, en effet l’espace est saturé, et les jeux vont bon train.
La position est peu confortable et ne m’aide pas à lâcher prise, d’autant que la journée a été bien remplie… je me fais donc désirer un moment.
Je finis par me concentrer sur mon environnement immédiat, et je contemple cette salle remplie de corps nus, de femmes haletantes, gaillardement chevauchées par les amants d’un soir ou d’une vie, je balaye le panorama pour ne voir que plaisir et débauche tout autour de moi. Les gémissements se mêlent en un bruit de fond saccadé et décadent.
La chaleur de la pièce et les odeurs presque imperceptibles mais inavouables complètent cet éveil de mes sens.
Submergé par le plaisir, je finis par rendre les armes, me répandant dans la bouche de missdactari
Je peine à reprendre mes esprits, mais me retrouve finalement debout, rassemblant mes vêtements, vérifiant que je n’embarque pas la chemise d’un congénère.
Le club s’est un peu vidé, et la nuit est déjà bien avancée.
A notre sortie de la galerie, le voiturier a anticipé notre arrivée, et le cabriolet nous attend déjà, moteur tournant.
En chemin pour ma tanière, la route est calme, le trafic quasiment nul et la nuit sombre. Nous faisons un premier bilan, positif, de cette journée “Anniversaire Marathon”.
Cette nuit, ou ce qu’il en reste, le sommeil ne sera pas long à trouver…
Cet anniversaire n’aura pas été de tout repos, et alors que j’achève la fin de cette trilogie, je suis à seulement 5 semaines de l’édition 2012.
Le programme n’est pas encore décidé, mais j’ai déjà débuté la préparation physique, car le programme risque d’être olympique.
Les photos viennent du site officiel de l’Overside.
Triathlon (étape II)
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La prochaine étape de la visite, pour terminer l’après-midi est le club humide.
Notre choix s’est porté sur l’Eclipse, qui vient d’ouvrir et que n’avons visité qu’une seule fois, une semaine après son ouverture.
Il nous a laissé une bonne impression et nous profitons de cette opportunité pour y retourner, en mixte cette fois 1 .
Il fait chaud en ce dernier jour d’Août, et nous profitons du cabriolet dans les rues de Paris. La circulation est en demi-teinte, car la capitale a déjà récupéré l’essentiel des vacanciers…
Une fois garés, nous nous présentons devant le club, et sommes accueillis par un homme qui, pensons-nous, travaille habituellement juste à côté (à savoir au Sun-City).
Nous enfilons les sur chaussures et passons nos paréos.
En passant nous visualisons le bouton d’ouverture d’urgence du sas… nous avons appris qu’un couple de notre connaissance l’a activé par mégarde quelques jours avant, provoquant l’ouverture de la double porte, et exposant les clients en paréo à la vue des passants !
Il est encore relativement tôt et le club n’a pas l’air très animé… nous mettons cela sur le compte de son ouverture encore récente. Et puis nous sommes un après-midi en semaine, ce sont les grandes vacances…
C’est le créneau habituel des couples illégitimes, qui ont probablement déjà leurs petites habitudes et ne changent pas de club facilement.
Compte tenu de la chaleur, nous ne boudons pas notre plaisir en filant directement dans les bulles du jacuzzi, toujours aussi agréables !
Nous batifolons dans l’eau, et croisons peu de monde : un couple, un homme seul… il est clair que cela ne tournera pas à la grosse orgie, du moins pas tout de suite.
Peu importe, nous sommes là pour le coté feutré et calme du club, et ainsi nous détendre entre 2 autres sorties.
Le manque de confort du Beverley m’a laissé quelque peu sur ma faim, et l’envie se fait sentir de profiter des coins câlins.
Nous grimpons l’escalier, passons nous sécher au sauna, puis nous installons sur le grand coin tout en longueur situé au fond de la “zone interactive”.
L’endroit semble tout à nous, les seuls bruits alentours sont ceux de la ventilation et des télés qui diffusent des vidéos pour adulte (très cliché, mais assez esthétiques).
Un couple finit toutefois par s’approcher, avec une grande discrétion. Ils ont l’air de manquer d’assurance et sont probablement débutants, ou bien ils ne se connaissent pas depuis longtemps.
L’air intéressés et curieux, ils nous tournent un peu autour malgré tout, et finissent par s’asseoir sur une des banquettes à coté de notre grand matelas.
Un regard rapide me permet de vérifier l’avis de missdactari. Visiblement elle n’a rien contre le Monsieur, mais n’est pas prête à lui sauter dessus non plus.
La Femme a un physique agréable, même si elle manque un peu de formes à mon goût, elle est souriante même si elle ne semble pas très à l’aise.
Je leur souris et j’imagine que missdactari en fait de même. Ils nous regardent furtivement mais ne répondent pas. Ils ne semblent pas savoir comment s’y prendre, ni comment communiquer entre eux.
En fin de compte, la Femme entame une fellation qui donne envie… son partenaire est plutôt bien monté et semble épilé. Je regarde si missdactari l’a remarqué, son regard complice semble vouloir dire que oui.
Pour autant, difficile de savoir si leur geste est une façon de s’approcher et de nouer le contact, ou juste la petite échappée exhib’ de deux grands débutants.
Ils demeurent assez éloignés de nous, et les regards restent très furtifs, presque gênés. Finalement ils vont s’isoler dans un autre coin.
Peut-être que nous ne leur convenons pas, peut-être ne sont-ils pas prêts à franchir le pas.
Nous continuons donc à nous amuser tous les deux, remarqués par les hommes seuls, qui pour le moment gardent leurs distances.
Nous faisons un break, pour aller boire un verre, varier les plaisirs en descendant au Hammam, puis décidons de retourner à l’étage.
Même si nous avons le temps, nous jetons un œil à la pendule de temps à autre, car nous avons un emploi du temps à tenir !
Pour changer, nous nous installons dans le grand coin, un peu isolé, qui peut facilement accueillir 6 à 8 personnes.
Cette fois un homme seul “passe à l’attaque” : il s’approche et s’il ne semble pas tout à fait sûr du comportement à adopter, il tente néanmoins à obtenir les faveurs de missdactari tout en veillant à mes réactions. Je lui laisse le champ libre pour éviter tout quiproquo.
Il est assez silencieux, mais maintenant rassuré il apparaît nettement plus aguerri. Rien de très original toutefois, après s’être assuré que missdactari est prête, il se contente de la prendre en levrette, puis une fois son affaire terminée, nous remercie poliment et prend congé.
Le second homme seul qui a surveillé le début de la scène de loin, s’est approché de nous discrètement… d’un regard interrogateur il chercher mon approbation.
Je m’efforce d’être clair, car il parait que je suis parfois intimidant et que je ferai fuir les hommes seuls 2.
Après quelques caresses, il s’installe derrière missdactari, se saisit d’un préservatif qu’il commence à poser.
Je le vois soudain se figer, peut être une seconde. Son regard semble dépité… il baisse la tête, puis se tourne et s’enfuit sans rien dire. Nous ne le recroiserons pas, et supposons qu’il a probablement quitté les lieux juste après.
Nous faisons des pronostics sur ce qui vient de se passer…. Ejaculation précoce ? Changement d’avis de dernière minute ? Remord ?
Je penche pour la première solution, sans certitude.
Étrange après-midi que celui-ci, même si nous avons un peu plus interagis avec les autres clients de l’Eclipse que lors de notre première visite, les échanges sont assez loin de ceux auxquels nous sommes habitués.
Qu’importe, l’heure avance et après un dernier verre et quelques bulles revigorantes, nous allons rejoindre le vestiaire et passer nos tenues de soirée, car la troisième étape nous attend.
Nous récupérons la voiture et mettons le cap sur la rue du Cherche Midi pour notre troisième et dernière étape.
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Les photos viennent du site officiel de l’Eclipse.
Un club pour s’envoyer en l’air (en action)
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Arrivés sur le pont supérieur nous nous dirigeons donc vers l’avant de l’appareil, dans le cockpit que nous avons précédemment repéré.
Le coin est assez grand et toute sa surface est recouverte d’un épais matelas en skaï noir.
Nous nous installons donc tranquillement en ôtant nos vêtements. De mon côté je m’ébahis de la vue panoramique offerte par le pare-brise, ce qui visiblement n’émeut pas mon accompagnatrice outre mesure.
En revanche il lui semble que le sol est légèrement en pente ici aussi, ce qui ne m’avait pas paru évident au premier abord.
Rien de bien gênant toutefois.
Nous passons donc aux choses sérieuses et je me fais sauter dessus, ce qui me met d’encore meilleure humeur.
La vue de missdactari qui me chevauche, le fait de savoir que je suis dans le cockpit d’un authentique et mythique avion de ligne, décidément, je me dis que la situation est unique, et que je suis un privilégié…
Comme à mon habitude, le fait de ne pouvoir m’activer me manque, il faut croire que le coup de rein fait partie d’un rituel qui m’est quasi-indispensable pour atteindre le nirvana.
C’est un fait : les rares fois où j’atteins l’orgasme en Andromaque sont lorsque ma partenaire se déchaîne et que je sens qu’elle le fait principalement pour elle, et je sais que ce n’est pas le cas ici.
Je demande donc à changer de position pour pouvoir bouger mes fesses, et nous entamons une levrette endiablée.
Je suis décidément très en forme ce soir, et la vue de la croupe de missdactari fait monter en moi l’envie de m’immiscer dans le plus étroit de ses orifices.
Mais c’est une envie à double tranchant… en effet la sodomie demande une certaine délicatesse, son succès n’est pas garanti car il dépend de beaucoup de facteurs.
Par ailleurs, même si elle m’excite beaucoup, cette pratique m’amène rarement au point de non-retour.
En effet je ne me lâche pas totalement, devant contrôler un minimum l’amplitude et la vitesse de la pénétration, sous peine de représailles de ma partenaire.
Du moins je n’ai encore jamais rencontrée de partenaire de jeux qui soit à l’aise avec cette pratique au point que je me permette d’y aller aussi gaiement que lors d’un coït plus classique.
Et puis il faut avant tout que l’envie soit commune… je fais donc une allusion à mon désir soudain et lubrique.
L’allusion trouvant un écho positif, je me retire délicatement et remonte de quelques centimètres. Je me tiens là à l’entrée, et ne bouge plus. Dans une telle situation, il vaut mieux la laisser faire. La pénétration est lente et régulière, mais tout se passe bien.
Je peux très vite reprendre mes va et vient, en douceur.
La sensation est très agréable, et mon cerveau est en ébullition. Ne serait-ce que de réaliser que je suis en train de sodomiser missdactari m’excite au moins autant que les sensations physiques qui en découlent.
L’excitation est intense, autant cérébrale que physique… je profite au maximum de l’instant présent.
Après un moment, missdactari m’indique qu’elle ne pourra pas tenir d’avantage, et je me retire donc avec précaution.
Je m’en voudrais beaucoup de la dégoûter de ces moments rares et je suis donc particulièrement attentif.
Furieusement excité, j’accepte la proposition de missdactari, et je me mets sur le dos pour recevoir une délicieuse fellation.
Mon regard se perd sur le plafond du cockpit et vagabonde… j’aperçois quelque chose dans mon champ de vision…
J’ai la tête placée vers la porte et en basculant la nuque je distingue “à l’envers” un couple qui nous regarde. Je me dis qu’ils pourraient bien venir nous rejoindre… il y a de la place et nous avons encore pas mal d’énergie pour des ébats pluriels.
Mais le temps que j’essaye d’évaluer s’ils peuvent nous plaire, ils sont déjà repartis… leur expression étonnée me faisant penser qu’ils sont plutôt débutants…
Je me concentre donc d’avantage sur mes sensations, je m’abandonne et je sens mon plaisir monter lentement mais surement.
Au point que je finis par exploser dans la bouche de ma charmante partenaire, dont le regard montre toute la satisfaction qu’elle a de m’avoir fait éjaculer.
Hors de question que je n’ai point ma revanche… je m’accorde donc quelques moments pour reprendre mes esprits et inverse les rôles.
Bien vite j’ai la tête entre les cuisses de la belle, ma langue s’appliquant autant que mes doigts, jouant tous deux de concert pour ne laisser aucune chance à missdactari
Sentant son excitation monter, je change de position avant de libérer mes coudes de façon à pouvoir accélérer le mouvement de mes doigts en toute liberté.
J’avance un genou pour pouvoir plaquer stratégiquement ma bouche et activer ma langue avec autant plus de précision.
Dans un rythme soutenu cadencé et sans faille, je l’emmène “doublement” au 7ème ciel.
Elle finit par me repousser d’une main, signe qu’elle n’en peut recevoir d’avantage…
Je remonte vers elle pour un atterrissage en douceur, repos des corps et moment de tendresse après la tempête.
Nous discutons quelques moments, j’ai le regard vide, et il me faut du temps pour reprendre (presque) totalement mes esprits.
Enfin remis sur pied, je suis impatient de tester ces magnifiques douches… Il se pourrait d’ailleurs que je sois le premier client du club à en faire usage.
En sortant du cockpit, nous notons l’absence de corbeille pour jeter les préservatifs et autres déchets.
Le staff me prévient que l’eau peut être assez chaude, je me méfie donc.
La remarque n’est pas inutile, et le premier jet aurait pu avoir de quoi surprendre désagréablement… les douches sont effectivement plutôt chaudes, mais on finit par s’y habituer, et en profiter.
Au sortir de la douche, 2 petits problèmes se présentent : pour commencer l’absence de serviette pose un gros souci.
Et ensuite il n’y a pas d’endroit vraiment commode pour se poser et se rhabiller.
On me ramène bien vite des serviettes, mais il faudra bien trouver à l’avenir un endroit pour les mettre à disposition… une chaise placée près des douches pourrait faire l’affaire, mais dans ce cas on ne peut pas s’y asseoir lors du rhabillage. Bref, il faudra corriger ce petit détail, chose que nous gardons en mémoire pour le signaler lors de notre départ.
Nous redescendons nous rafraichie au bar. A l’occasion de l’inauguration, une coupe gratuite nous est proposée, ce qui fait toujours plaisir.
Quelques personnes sont accoudées au bar ou assises sur la banquette à côté de nous. Peut-être 8 au total.
Pour une inauguration cela nous parait peu, mais c’est toujours mieux que les 2 femmes seules de notre arrivée.
Nous discutons et partageons nos impressions sur le club en sirotant notre Champagne…
Nos coupes ne sont pas tout à fait vide, mais l’envie nous prend déjà de tester un nouveau coin, et si possible d’avoir un peu de compagnie.
Nous remontons donc et portons notre dévolu sur le premier coin après la douche, sur notre droite.
Une petite ouverture est présente dans le mur, et une étroite entrée est présente en sens inverse, nous faisons donc le tour, montons sur le matelas après nous être déchaussés, et découvrons le reste du coin, assez grand pour 4 / 5 personnes, menu de quelques coussins rectangulaires.
Nous nous titillons gentiment pour voir si d’autres personnes se manifestent… assez vite un homme regarde par l’ouverture. Son expression est assez neutre, au moins il n’a pas un air de mort de faim impoli.
Nous lui sourions avec insistance, pour montrer que nous sommes prêts à jouer d’avantage.
Il a l’air de ne pas trop savoir quoi faire… je m’attends à ce qu’il passe un bras pour caresser missdactari et tenter un rapprochement. Mais il poursuit finalement son chemin plus avant dans le couloir.
Étonnée missdactari me dit “Et alors ? Tu crois que si je lui montre mes fesses il comprendra ?“.
Elle se tourne donc pour présenter sa croupe en direction de l’entrée du coin câlin.
Après quelques minutes le même homme s’arrête et commence à caresser les fesses si joliment offertes.
Je souris à missdactari qui me regarde avec complicité, comme pour dire “ah oui, ça marche, là au moins il a compris“.
Ce qui vient se produire ne manque pas de me rappeler une scène du film “la Guerre du Feu”. 1
Il semble que notre invité est plutôt débutant, il ne savait trop comment s’y prendre. C’est agréable de voir qu’il a préféré prendre son temps que d’avoir un comportement déplacé. Et l’exposition sans équivoque de la croupe de missdactari a permis de dissiper ses doutes. (Rien de tel qu’une paire de fesses tendues pour briser la glace).
Faisant face à missdactari je lui tends un coussin, accessoire d’un grand secours pour se caler lors d’une levrette digne de ce nom. Un second coussin s’avère ne pas être superflu.
Pendant que nous jouons tous les trois, un groupe de 5 ou 6 personnes, qui visiblement se connaissent déjà, s’engouffre dans le coin câlin suivant.
Nous poursuivons les jeux un moment avec notre invité, puis nous nous accordons une nouvelle pause sur le pont inférieur.
Bien que le choix musical soit entraînant, l’étroitesse de la piste, et son horizontalité questionnable 2 nous dissuadent.
Dans un dernier élan d’énergie, nous nous accordons un moment un peu plus calme dans le dernier coin câlin sur la gauche, juste avant la banquette et la télé.
Histoire notamment, d’avoir testé un maximum de coins câlins. Celui-ci, plus petit, est plus adapté à un duo et demeure très confortable, comme les deux précédents.
L’heure est avancée, nous décidons finalement de débarquer, et avant de quitter le bord nous discutons à la caisse avec le staff.
Nous faisons part de notre inquiétude, face à une soirée d’inauguration qui a dû voir pas loin de … 12 clients !
Pas étonnant que nous n’ayons trouvé qu’une seul partenaire pour nos ébats, point de couple pour jouer, encore moins d’orgie !
Le boss nous explique qu’ils ont préféré travailler sur les derniers travaux avant ouverture, et ont négligé la communication.
Ils ne savent à l’évidence pas encore tout à fait comment s’y prendre, et nous avouent assez vite ne pas être libertins eux-mêmes.
Nous faisons part des petits manques que nous avons identifié (mise à disposition des serviettes, logistique du rhabillage, corbeilles pour les préservatifs usagés etc…)
Nous partons avec l’assurance que ces détails seront bien vite réglés.
Cette fois-ci je ne laisse pas missdactari s’enfoncer avec ses talons dans la pelouse, et j’avance la voiture auprès du chemin en dur qui prolonge la descente de la passerelle.
Nous prenons le chemin du retour, au cœur de la nuit. La route est longue, mais nous sommes presque seuls.
Cela nous laisse le temps de deviser sur les aspects positifs et négatifs de ce nouveau club.
L’absence de communication pour l’ouverture nous laisse perplexe, mais le lieu est unique et l’accueil est bon.
L’aménagement de l’avion est une réussite, et malgré l’exiguïté apparente du lieu, les coins sont bien aménagés et confortables.
Pour nous ce club est loin d’être proche, mais nous pensons y retourner de temps à autres, attendant notamment l’ouverture de la partie balnéo.
Comme pour tous les clubs, son succès dépendra aussi, et surtout, le la clientèle d’habitués qu’il saura ou non convaincre.
Il y a assurément du potentiel.
Crédits Photos : site Internet du 7ème ciel et leur page facebook pour les photos du club, première illustration via jasonmillet, la seconde via 7 fetishes.
- Scène dans laquelle un sauvage est capturé par une tribu plus avancée, en compagnie d’une femme d’une autre tribu. Ils souhaitent les voir s’accoupler mais le sauvage ne comprend pas ce que l’on attend de lui. Ses geôliers intiment alors à la femme de se mettre à 4 pattes, pour qu’enfin il s’exécute.[↩]
- c’est que c’est important en libertinage, l’horizontalité[↩]
Un après-midi aux Chandelles (suite et fin)
Prenant place dans un petit recoin proche du comptoir, les dames profitent des canapés.
Nous devisons sur nos diverses sorties et expériences.
Bernard n’a pas son pareil pour inciter J*** à nous montrer ses bas et la complimenter sous notre regard amusé.
L’ambiance chauffe rapidement, les mains se font baladeuses, et les doigts fouineurs… bientôt le lieu n’est plus adapté à la fougue qui nous envahit.
Souhaitant profiter juste nous quatre dans un premier temps, nous nous installons logiquement dans la pièce aux miroirs.
Les caresses commencent gentiment, J*** avec H*** et missdactari avec moi.
Vêtement par vêtement, les corps sont effeuillés, les regards se font complices, les mains plus aventureuses.
Les dames sont décidemment toutes deux très belles, et leur regard traduit une certaine gourmandise…
J’ai une irrépressible envie de gouter leurs fruits défendus, de m’y abandonner en lapant de plus belle, de les sentir jouir sous ma langue et mes doigts.
Les filles ne sont pas en reste et nous font la démonstration de leur grande maitrise de la fellation.
Je n’ai pas souvent eu l’occasion de jouer avec J*** mais cela reste un excellent souvenir, et il me tarde de découvrir à nouveau son corps et sa peau douce.
A l’entrée du coin aux miroirs, quelques hommes observent tour à tour, certains osent une main pour caresser une fesse ou un sein, sans empressement déplacé.
Aucun n’essaye de nous rejoindre cependant, de toute façon l’espace est compté et ce serait particulièrement ambitieux.
Le peu de surface encore visible est jonché de chemises, robes, pantalons, boxers…
Bientôt nos deux partenaires féminines se retrouvent côte à côte, croupes offertes, cuisse contre cuisse, deux levrettes à la symétrie charmeuse.
Elles ne manquent pas de relever la situation…
Je m’assure que missdactari est comblée, lentement mais surement J*** se retrouve entre mes mains attentionnées.
A mesure que l’ambiance devient torride, J*** semble particulièrement motivée à l’idée d’avoir 2 hommes pour elle, et missdactari s’éclipse…
… mais elle ne reste pas bien longtemps seule, à en juger par les gémissements qui arrivent assez vite à mes oreilles et que j’identifie avec certitude.
Alors que je libère l’entrejambe de J*** de mon étreinte, H*** se rapproche d’elle ne lui laissant aucun répit, il s’enfonce en elle.
Ils échangent un regard complice, H*** se retire alors, bascule son bassin, et la sodomise sans difficulté aucune.
La douche est salvatrice… celle des Chandelles est à l’italienne, l’eau toujours chaude, de nombreux produits sont à disposition, et les serviettes ne viennent jamais à manquer.
La déco en carrelage noir, sobre et moderne, me plait tout particulièrement. L’endroit est apaisant, tout ce qu’il faut pour récupérer après des nos ébats ravageurs.
Nous nous retrouvons tous les quatre devant la douche, missdactari nous rejoint à demi nue, sourire aux lèvres…
Les seins à l’air, les filles discutent de tout et de rien, après s’être assurées que tout le monde a bien profité. C’est le cas.
Vêtements retrouvés, voilant pudiquement nos longs moments de débauche… nous nous installons au bar, repus.
Le temps d’un dernier verre, J*** et H*** ont des obligations et vont devoir nous quitter. Missdactari et moi avons encore un peu de temps devant nous.
Je ne résiste pas à une envie qui me titille depuis longtemps…
Faisant retirer ses escarpins à missdactari je l’aide à relever sa robe et elle se hisse sur un des hauts tabourets.
Bernard, qui a saisi nos intentions exhibitionnistes, se hâte de débarrasser le bar.
Prenant garde (un peu trop tard) aux lustres qui surmontent le bar, j’aide missdactari à s’allonger…
Tandis que je commence à la butiner, je jette un œil par-dessus son mont de vénus et j’aperçois les regards, curieux ou amusés, converger vers nous.
Je m’applique autant que possible, c’est que j’ai à cœur de démontrer mes aptitudes cunnilinguesques à l’assemblée !
Son clitoris roule sous ma langue et à chaque passage il me semble se gonfler un peu plus… mes doigts l’explorent sans ménagement, elle est trempée.
Je fais jouer ma langue en cadence avec mes doigts, augmentant très lentement le rythme au fur et à mesure que je sens la tension monter.
A force de ce petit jeu, le plaisir la submerge et je me repais du magnifique spectacle de son orgasme dans un écrin glamour.
Nous prenons quelques temps pour nous remettre (enfin, surtout missdactari) et je l’aide à redescendre sur terre.
Il est temps de quitter à notre tour les lieux, à regret… mais je suis déjà bien en retard.
Bravant le froid, nous rejoignons le parking et la voiture de missdactari.
Nous réchauffant peu à peu, nous faisons route commune, et discutons de ces précieuses heures que nous venons de vivre, hors du temps, la tête dans les étoiles.
Quelques jours après J*** me recontacte… il faudra, à coup sûr, nous retrouver de nouveau, tous les quatre aux Chandelles !
Les photos viennent de la page Facebook du club.
Triathlon (étape I)
Vous avez pu lire il y a quelques mois que la fin Août est synonyme d’anniversaire pour missdactari.
Comme je le relatais dans ces quelques lignes, le programme de l’après-midi était chargé.
Pour célébrer ce jour comme il se doit, il nous fallait faire plus qu’une simple sortie… et en enchainer plusieurs !
L’idée était de commencer par une sortie atypique dans un lieu inconnu, puis enchainer sur deux lieux libertins distincts, un club humide et un club sec.
Pour le début de ce périple, cela faisait un certain temps que nous parlions du cinéma “Le Beverley (Wiki)“, suite à l’expérience des LiberTango.
Le Beverley est un cinéma porno, l’un des derniers de Paris, probablement le plus ancien encore ouvert.
Notre sortie atypique était toute trouvée.
Rares sont les clubs secs ouverts en après-midi, de plus nous voulions diner dans un lieu libertin pour profiter au maximum, et les buffets des clubs humides sont spartiates.
Il nous fallait donc choisir un sauna libertin en seconde partie de journée.
Le choix était assez simple : Moon City ou Eclipse… notre choix s’est porté sur le second, qui était mixte ce jour-là.
De plus nous ne nous y étions rendu qu’une seule fois auparavant.
Pour le soir, l’Overside eut notre préférence, d’une part pour son grand buffet, d’autre part pour la bonne réputation de l’établissement, que ce soit en termes de clientèle, de qualité des installations ou de programmation musicale.
Planning établi, jour J enfin arrivé, nous arrivons non sans mal sur les lieux de notre première étape.
Première difficulté : après avoir repéré l’emplacement exact du cinéma, il faut se garer.
Le quartier est très fréquenté, et nous devons nous résoudre à choisir un parking public au tarif anti-libido.
Qu’à cela ne tienne, il nous en faut plus pour se décourager, nous voilà gambadant sur le boulevard Bonne Nouvelle… le son des talons de ma complice m’enthousiasmant déjà.
Nous arrivons finalement devant l’établissement, l’entrée est assez petite et plutôt discrète, rien à voir avec ce dont nous avons l’habitude du coté de Pigalle.
Notre modeste contribution payée, nous recevons 2 tickets numérotés “à l’ancienne”. Ici il n’y a pas de notion de séance, l’entrée est valable pour la journée, toute sortie étant définitive.
La personne qui nous accueille est très (trop ?) bienveillante, et nous indique que si nous sommes trop dérangés à l’intérieur, nous pouvons venir nous réfugier à l’accueil et prendre un café 😉
Nous poussons donc la double porte qui mène vers la salle.
Première surprise : l’organisation des lieux.
En effet la salle est toute en longueur. Il y a beaucoup de rangs et peu de sièges sur chacun, le seul accès se faisant par un unique couloir sur la droite.
L’écran est assez bas, car l’endroit est bas de plafond.
Je m’attendais à une salle plus petite, et dont la disposition serait en largeur, le sol légèrement en pente, comme dans un cinéma traditionnel.
Il faut dire que je n’avais pas regardé de photos du lieu avant notre sortie, et que j’ai été “influencé” par la disposition d’un tout petit théâtre fréquenté quelques temps avant.
Etonnamment, pour un mercredi après-midi, la salle est plutôt bien remplie.
Sans trop de surprise, il s’agit pour la quasi-totalité d’hommes, plutôt âgés.
Une ou deux femmes sont dans la salle, dont une peu attirante à mes yeux, est accompagnée.
Ils ont l’air “sages” du moins pour le moment, sachant que l’on nous a expliqué qu’il y avait parfois de l’action dans la salle (mais principalement le soir, aux horaires réservés aux couples).
Ne voyant pas de place dans les premiers rangs, je repère de la place au dernier, place que mon accompagnatrice n’avait pas remarquée.
Les sièges libres y donnant directement sur le couloir, il sera facile de s’en extirper si la situation devenait ingérable.
Evidemment, notre entrée a été remarquée, j’imagine que ce n’est pas tous les jours qu’une jeune demoiselle passe les portes de l’établissement, et d’autant plus en dehors des créneaux “couples”.
Quelques hommes se retournent, complimentent tout bas missdactari, et le murmure généré éveille la curiosité des autres spectateurs si bien qu’au bout d’un moment presque tous se sont tordus le cou pour nous dévisager.
Nous nous asseyons… les sièges sont un peu durs, loin du confort des récents multiplexes.
Le film qui est projeté est, tout comme la salle, éloigné de ce à quoi je m’attendais.
Je pensais voir du cinéma porno des années 70, avec moult poils, acteurs barbus au verbe léger et filmés avec amateurisme.
Au lieu de cela le film qui est projeté est visiblement récent, très esthétique, sorte de “cinéma d’auteur du porno”.
Les acteurs sont franchement bien foutus, ce qui est plutôt rare, et les héroïnes montrées dans les scènes (une à la fois) ne sont pas réduites à l’état d’objet voué à un limage dans les règles.
Commentant discrètement les images, nous nous faisons part de ce qui nous plait plus ou moins au fur et à mesure que les scènes se succèdent.
Je ne manque pas de signaler la présence de nombreux cunnilingus (décidemment ce film sort des clichés) et missdactari semble enjouée par les scènes de trios.
Nous commençons à nous effleurer de plus en plus sérieusement, le but étant également de faire un peu d’exhibitionnisme, pour marquer le coup (compte tenu des forces en présence, une orgie générale n’est pas envisageable).
Nos mains se faufilent dans le pantalon ou sous la robe, ce qui ne manque pas de rapprocher d’avantage les hommes à proximité, histoire de glaner quelques centimètres carrés de bras, de cuisse ou de sein.
Ce petit jeu dure un moment, et nous commençons à nous échauffer, mais il faut reconnaitre que l’espacement entre les sièges et leur configuration est franchement handicapante.
Missdactari parvient toutefois à se pencher sur mon cas et à me gratifier d’une de ces fellations dont elle a le secret.
De mon côté, à moitié tordu et affalé dans mon siège, je tente de profiter au mieux.
Il va sans dire que la situation intéresse notre entourage au plus haut point, les caresses se font plus hardies, certains messieurs déballent la marchandise espérant bénéficier du même traitement que moi.
Restant attaché à contrôler l’environnement immédiat, je surveille de toute part, ce qui m’empêche de profiter des talents de missdactari.
J’ai beau savoir qu’elle est très bien capable de repousser les assauts qui ne lui conviennent pas, je me sens tout de même partiellement “responsable” de ce qui pourrait arriver, même si cet attroupement, nous l’avons souhaité et provoqué.
Ne pouvant profiter plus avant de ses délicatesses, je renverse la situation et m’applique avec mes doigts du mieux que je peux.
Conjuguant des caresses tant superficielles que profondes, je la sens se raidir sous l’effet du plaisir.
Ma bouche n’est pas en reste et s’aventure sur les magnifiques courbes de sa poitrine.
Tout autour, des mains (surtout) et des sexes (quelques-uns) tentent de se frayer un chemin.
Les hommes épars tentent de trouver un juste équilibre entre l’envie d’écraser son voisin pour être aux premières loges, et un minimum de savoir vivre afin éviter que la situation ne se transforme en pugilat (ce qui signifierai assurément la fin du jeu)
Ceux qui sont plus éloignés se contentent de regarder, ou d’ignorer la situation…
Les mouvements, discrets (dans toute la mesure du possible) que l’on perçoit à hauteur de ceinture montrent que bien peu sont totalement inactifs, que ce soit sous l’effet du film ou de notre petit manège.
Curiosité des lieux, les toilettes sont “à l’avant” et sur la gauche, il faut donc remonter tout le couloir et passer devant l’écran pour y accéder.
La plupart des spectateurs se retrouvent donc, à un moment ou à un autre, contraints de passer devant l’assemblée, le regard souvent baissé, afin d’aller se toiletter quelque peu (ce qui doit malgré tout rester moins humiliant que de sortir en l’état).
Dans le couloir, quelques hommes se tiennent debout, deux d’entre eux se tiennent si proches qu’ils éveillent ma curiosité.
En y regardant de plus près, celui situé derrière a passé le bras sous l’épaule de son comparse, et le branle doucement.
La situation est amusante, ni vraiment cachée, ni vraiment affirmée, comme un pis-aller ou une homosexualité non assumée.
Encore un fait auquel je ne m’attendais pas en ce lieu, dont la visite est décidemment riche en surprises.
De mon côté, n’y tenant plus, je propose de m’agenouiller afin de faire migrer ma langue entre les cuisses de la belle.
Malgré mon enthousiasme, elle me ramène à la raison: la configuration des lieux va rendre l’exercice peu commode pour ne pas dire périlleux.
Je me ravise donc et continue le ballet de mes doigts de plus belle.
Nous prolongeons ces ébats quelques instants, puis décidons qu’il est temps de quitter les lieux pour nous rendre à notre prochaine étape.
En sortant, le gérant nous propose à nouveau de venir prendre un café avec lui, ce que missdactari décline poliment.
Sur le chemin qui nous mène au parking nous échangeons nos impressions sur le lieu.
Nous nous accordons sur le fait qu’il faudra revenir au Beverley, lors de ces soirées réservées aux couples.
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Courrier des lecteurs…
Un lecteur (preuve qu’il y en a, au moins quelques uns) m’a fait part récemment d’une image glanée sur un blog. Celle-ci lui a fait penser à la peluche qui me sert de mascotte.
Comme la photo me plait beaucoup, quoi de plus normal que de vous en faire profiter ?
Photo via Ambidextrously Erotic (merci matou !).
De l’origine … à l’orgie (V)
Suite à cette deuxième sortie globalement positive, nous décidons de retourner de façon régulière à l’hyppocampe.
Nous commençons à nous habituer au lieu, aux usages, aux codes.
Et aussi plus aguerris en ce qui concerne les approches, les attentes des uns et des autres, et nos propres envies.
Mes pannes répétées sont agaçantes mais ne me démotivent pas pour sortir, je me dis qu’à force de persévérer, les choses devraient rentrer dans l’ordre.
Et puis j’ai toujours une langue et des doigts, qui ne me font jamais défaut.
Au cours d’une de ces sorties, peut-être la 4ème, passe furtivement au bar, une femme qui attire aussitôt mon regard.
Elle est petite, assez menue, d’âge indéfinissable… mais surtout elle a la peau noire.
Sans pouvoir vraiment en donner les raisons, j’ai une forte attirance pour les peaux mattes et encore plus pour les peaux noires.
Goût pour l’exotisme ? Simple envie de quelque chose de différent ?
Qu’importe, elle me fait de l’effet, elle est souriante, respire la bonne humeur…
Manquant d’expérience pour l’aborder et ne sachant si elle est accompagnée, je me contente du plaisir de l’avoir vue passer, comme une parenthèse dans la soirée.
La petite séance de hammam qui nous sert de rituel pour démarrer étant terminée, nous faisons le tour des coins câlins.
L’ambiance est plutôt calme pour le moment.
Nous décidons donc de nous installer tous les deux dans un coin câlin relativement grand et ouvert, dont l’ouverture est située entre une série d’arches.
Assez rapidement, un couple vient s’installer non loin de nous, puis un autre.
L’ambiance devient plus chaude à mesure que les mains deviennent exploratrices et commencent à s’aventurer au-delà du couple.
Les caresses s’échangent en tous sens dans un mélange langoureux et sensuel.
Les affinités ne faisant plus de doutes, les corps se réorganisent et Madame se retrouve bientôt gâtée par mes soins pendant qu’un homme goûte à ses faveurs.
Je migre à mon tour entre les jambes d’une autre femme, visiblement satisfaite mais malgré tout absente.
Elle a l’air sinon de subir, du moins d’être indifférente à la situation.
C’est alors que du coin de l’œil je vois une silhouette arriver sur ma droite, d’un pas rapide mais discret, s’approchant du petit groupe.
C’est elle, la jolie black que j’ai repéré tout à l’heure !
Je n’ose y croire, et crains de la voir bientôt repartir si la situation ne lui convient pas.
J’essaye de lui faire comprendre, sans trop insister, le ravissement que j’ai de la voir se joindre à nous.
Pour le moment, elle semble plutôt aborder le reste du groupe de façon légère et frivole, comme un jeu… une caresse par ici, un sourire par là.
Je suis impressionné par une telle facilité, un tel naturel.
Se délestant de son paréo, elle approche, ce qui me permet d’apprécier combien son corps et son visage me plaisent et m’attirent.
Elle est assez menue, mais avec de jolies courbes et surtout, une cambrure et des fesses à se pâmer.
Il m’est toujours difficile de lui donner un âge, tant son comportement laisse paraitre une grande expérience et à la seconde d’après des réactions dignes d’une adolescente.
Dans un dernier sursaut contre ma timidité, je délaisse ma partenaire du moment et m’approche d’elle.
Un coup d’œil à Madame me rassure sur le fait que je ne la néglige pas: elle a l’air bien occupée pour sa part.
Je me retourne pour approcher la belle à la peau d’ébène et oser une caresse sur son bras, la gorge nouée.
Elle tourne la tête pour me regarder et répond par un sourire, je déstresse un peu.
Je prolonge donc ma caresse vers son épaule et redescend le long de son corps en frôlant un sein.
Son grain de peau si différent m’est tellement agréable que je suis parcouru de vagues de frissons successives.
Je suis aux anges, si tout devait s’arrêter là j’aurai au moins eu la satisfaction d’avoir pu toucher sa peau dont la texture me transporte littéralement.
Mais je suis bientôt sorti de cet état de grâce par une vision périphérique, celle d’une autre main sur le corps de la belle.
Un autre homme la caresse également, ce qui ne me gêne pas, mais sème le doute…
Elle semble apprécier les caresses, mais lesquelles ?
Est-ce à lui ? À moi ? Ou à nous deux qu’elle sourit ainsi ?
Je trouve le style de mon semblable assez expéditif, ses caresses son rapides, appuyées, désordonnées et sans aucune sensualité.
Il est pressant, et approche rapidement de zones plus intimes.
Et si c’est là ce qu’elle attend ? Et que je suis éconduit pour avoir été (une fois de plus) trop respectueux ?
Alors que je me désole d’avoir à choisir, un peu comme à la loterie, le “bon” comportement, mon comparse accélère le mouvement, son regard témoignant d’un appétit féroce.
Mes questions trouvent une réponse lorsque d’un mouvement franc et sans équivoque elle le repousse.
Il se plaint, et pour toute réponse elle l’envoie balader tant et si bien qu’il quitte le coin câlin d’un air grognon.
Je suis étonné, incrédule… finalement c’est moi qu’elle garde ? Ou alors vais-je devoir m’éloigner à mon tour ?
Je réfléchis rapidement à la situation, que faire ? et surtout que NE PAS faire ?
Parler ? Agir ? De quelle manière ?
Elle ne laisse pas le temps à mon pauvre cerveau de s’enfoncer plus avant dans d’inextricables réflexions, et s’empare à pleine main de mon sexe, qui sans être vaillant n’est pas non plus au repos.
Elle le décalotte avec assurance et je vois poindre le bout de sa langue, dont le rose contraste si joliment avec la couleur de sa peau dans la lumière rougeoyante.
Je suis comme paralysé, c’est la première fois qu’une autre que Madame va me prodiguer cette douce caresse, je suis à l’affût de la moindre sensation, ému par cette “première fois”.
Elle apprivoise mon sexe en un rien de temps, le titille puis l’engloutît dans un déluge de sensations plus agréables les unes que les autres.
Le temps n’a plus d’emprise sur moi, pendant un moment tout ce qui est autour de nous n’a plus d’existence tangible.
Je profite au maximum de l’instant, de ce fantasme qui se réalise, de ce plaisir qui m’est offert…
… et finis tout de même par redescendre sur terre.
Satanée panne, elle est encore là !
C’est tout simplement invraisemblable… j’en veux à mon corps tout entier, à mon cerveau, de ne pas être capables de fonctionner comme le ferait n’importe quel animal.
Faisant comprendre à la belle à quel point j’apprécie ses attentions, je commence à la caresser.
J’ai bien l’intention de lui donner autant de plaisir que je le pourrai !
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