Fred Goormand

AvatarHomme en couple libertin, francilien, jeune quadra dynamique.

Adepte sans borne du cunnilingus, inscrit au don d'orgasmes.

Pour en savoir plus : présentation.

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A venir….

Thèmes qui seront abordés dans de prochains billets :

  • Timeline, la suite
  • To lick or not to lick
  • La loi du silence
  • Suite de la série “de l’origine … à l’orgie”
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Billets avec le mot-clef ‘jacuzzi’

Mar 28
Juin
2016

PostHeaderIcon Timeline (ep. 2)

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21h00 : J’ai le temps de commander un Mojito pour accompagner les autres participants de l’Apéro.

21h10 : CD arrive, nous nous embrassons, elle connait déjà Mr Chapeau et quelques personnes de l’Apéro, pas forcément de visu.
Nous discutons un peu tous les deux et bien vite quelques complices entrent dans la discussion…
Le temps passe, il ne faut pas trop tarder avant de passer à table, nous sommes nombreux et il faudra faire 2 services pour le dîner.

21h20 : Je remarque à nouveau cette jeune fille troublante aux yeux bleus, qui avait déjà attiré mon attention…
Elle semble très complice avec l’homme d’un couple que je connais depuis leurs débuts.

21h35 : Nous sommes installés à table, dans le fond du bistro avec CD, missdactari et d’autres connaissances de l’Apéro.
Les discussions sont légères, les plats copieux, et le temps passe sans que l’on ne s’en aperçoive.
CD a l’air motivée pour faire sa première sortie en sauna, puisque nous prévoyons de faire l’after à l’Eclipse… motivée mais morte de trouille.

22h45 : Les groupes commencent à se former pour l’after, nous essayons de nous organiser pour covoiturer ou partager les taxis.
CD est décidée et elle ne flanchera pas, elle vient donc avec nous à l’Eclipse.
Je me fais un devoir, tout autant qu’un plaisir, d’être son guide pour ce soir, et de lui faire découvrir les lieux, de lui montrer modestement les codes et de l’initier.

Je commande un Uber : CD et missdactari préfèrent laisser leur voiture sur place, elles viennent donc avec moi. Il nous reste une place qui sera utilisée par Eve de Candaulie.
Je la connais un peu à travers son blog, j’ai entendu parler de son livre, mais je n’ai pas trouvé l’occasion de discuter avec elle plus de 30 secondes jusque là. Pourtant, je suis très curieux de mieux la connaitre.

lapin_montre_2

23h03 : Le Uber arrive et nous nous y engouffrons… je ne peux m’empêcher de penser à cet apéro du 13 Novembre, qui s’était terminé de façon prématurée et bien moins joyeuse.
Pendant la course nous discutons avec Eve, CD et missdactari, de façon tout à fait ouverte et sans être particulièrement discrets.
Notre chauffeur est taciturne, missdactari qui est assise à ses côtés nous expliquera après qu’il s’est totalement décomposé pendant la course.

23h20 : Le chauffeur nous dépose Boulevard Sébastopol, juste devant l’entrée de l’Eclipse, ce qui doit totalement confirmer son avis que nous sommes d’irrécupérables pervers.

23h35 : Entrées réglées, sur-chaussures bleues top tendance aux pieds, paréos et serviettes en main, nous nous déshabillons aux vestiaires.
Ils sont plutôt encombrés, et pour cause, près d’une vingtaine de participants de l’apéro se retrouveront ici ce soir, augmentant significativement la fréquentation.
Nous parviendrons même à faire déborder le jacuzzi !

… le reste de la soirée sera rempli d’agréables souvenirs, sensations, plaisirs et échanges. Les bulles du Jacuzzi nous réchaufferons et aiguiseront nos ardeurs. Je garde une visions de 3 filles jouant ensemble, de couples qui s’entremêlent avec fougue, le son d’une voix et des mots crus qui me sont adressés… ma jouissance, l’envie irrépressible de combler ma partenaire jusqu’à la lie, fut-ce possible.
Des souvenirs tactiles aussi, des caresses dans l’eau chaude, d’autres dans la moiteur des coins câlins ou encore debout en paréo, des baisers, des seins pris à pleines mains…
Ce qui se passe à l’after reste à l’after et je n’en dirai pas plus.

3h20 : la soirée commence à toucher à sa fin, nous nous dirigeons vers les vestiaires et échangeons notre tenue rudimentaire contre des vêtements plus adaptés pour l’extérieur.
Nous prenons congé, et je commande le Uber du retour

3h51 : le Uber nous dépose à la voiture de missdactari, puis nous raccompagnons CD à la sienne. Nous nous souhaitons bonne nuit après avoir discuté rapidement et à chaud, de sa première sortie en sauna.

Nous arriverons tard dans la nuit chez missdactari, épuisés de sommeil et nous endormirons dans son lit, trop fatigués pour nous sauter dessus.
Le lendemain matin sera dédié à une grasse matinée (coquine) et un brunch.
Nous nous réjouissons de pouvoir dormir toute la matinée…. le réveil ne sonnera qu’à midi, heure à laquelle je dois contacter SK par SMS, pour organiser notre rencontre du samedi soir et notre sortie.

13h05 : Alors que nous nous prélassons en ce début d’après midi, un des charmants couples de l’Apéro nous appelle pour nous proposer de nous voir.
Nous sommes enthousiasmés, malheureusement nous ne parviendrons pas à composer entre nos agendas et les contraintes logistiques, mais nous nous promettons que ce n’est n’est que partie remise.

[ suivant ]

Mar 21
Octobre
2014

PostHeaderIcon Nature Sauvage (mise en route)

La fin Août sonne souvent la fin des vacances et la rentrée toute proche.
Mais c’est aussi la période à laquelle Missdactari fête son anniversaire, événement que nous célébrons dignement depuis quelques années déjà.

Après le cinéma porno suivi du marathon des clubs, après le shopping coquin suivi de l’hôtel de charme parisien, après le voyage en avion à Deauville et les belles tables, se renouveler sans tomber dans la banalité devient, chaque année un peu plus, un challenge.

Nous avons définitivement mis de côté le défi d’une journée “du glauque” (love hôtel bas de gamme, “rue des branleurs” et clubs de mauvaise réputation) pourtant longuement évoquée à une époque.

Missdactari a cette année décidé de laisser une grande part de mystère sur le lieu et les activités, ne confirmant (plusieurs mois à l’avance) que la date, la région et le moyen de transport.
De plus, j’ai été avisé de “prendre aussi une tenue qui ne craint rien”.

Compte tenu des anniversaires précédents, cette mise en garde pour le moins inattendue n’était pas de nature très rassurante. Mais j’ai joué le jeu et n’ai pas fait preuve d’une curiosité débordante, malgré la tentation.

Confus du fait qu’elle organise les détails et la surprise pour SON anniversaire d’une part, et soucieux de m’absenter deux jours de la maison d’autre part, je me réjouissait toutefois de voir la date fatidique se rapprocher.

Les détails avaient été donnés au compte-goutte au fur et à mesure que se rapprochait le jour J :

Ce sera en Alsace…“, “Nous prendrons le train“, “N’oublie pas ton maillot de bain“, “Dès qu’on arrive, tu fonces mettre en route le jacuzzi“, “prends aussi de quoi bien t’habiller pour le retour sur Paris“.

Signe des temps ? Cette année le cadeau prévu n’est ni un sextoy 1, ni même un objet ou produit “glamour”.
Le cadeau retenu, bien que d’une grande utilité, n’était pas adapté à notre escapade… la date approchant je me mis en quête d’un petit quelque chose qui puisse être offert le jour J.
L’acquisition d’un nouveau modèle de smartphone quelques temps auparavant laissait la place à quelques accessoires pour ce dernier (roses si possibles) que je ne manquais pas d’ajouter à ma valise.

Jour J…

Valise parée de ces présents, des tenues plus ou moins décontractées, du maillot de bain et d’une quantité de “Unique” significative (pour ne pas dire démesurée) me voilà donc en chemin vers notre point de rendez-vous, le tout avec une ponctualité tout à fait honorable compte tenu de ma relative performance dans ce domaine.

C’est le début d’un long périple ferroviaire qui va nous amener en gare de l’Est, dans un TGV a l’ambiance feutrée vers Nancy, et à la suite le TER.
Ce dernier trajet est l’occasion de constater quelques différences dans le paysage : nous passons le long de nombreuses usines de ciment, aux énormes canalisations oxydées (et dont l’esthétisme est fort discutable), croisons quelques églises dont le clocher est affublé d’un bulbe …

Saint Nicolas de Port Clochers à Bulbe

Arrivés à bon port, un taxi nous fait parcourir les derniers kilomètres dans la campagne mosellane.
Oui, c’est bien en Moselle que nous sommes et non en Alsace voisine… qu’importe.

Missdactari m’enjoint de ne pas regarder la signalisation pour garder l’effet de surprise.
Je ne tiens pas à le gâcher si près du but et je m’exécute, le pare soleil du taxi faisant office de cache.

Une quinzaine de minutes de route plus tard, nous descendons sur un parking en pleine campagne.
Une grande enseigne en bois me donne enfin l’information manquante, car nous sommes à l’entrée d’un…

Parc animalier ?

Plan du Parc

Perplexe, j’essaie pendant quelques instants de trouver la cohésion entre le parc animalier et le jaccuzi.
Est-ce pour plus tard, est-ce un leurre ? Je reste silencieux…

Tout devient évident lorsque Missdactari m’indique que ce parc animalier propose des hébergements en pleine nature, au sein même du parc.
Certains sont de simples cabanes dans les arbres 2, dans un confort rudimentaire.
D’autres sont nettement plus évolués, comme celui dans lequel nous allons passer la nuit…
Nous avons une réservation dans un lodge dont la construction est toute récente.

Nous prenons connaissance des consignes liées à notre logement, aux usages du parc, aux horaires et au déroulement de notre séjour. On nous remet également deux lampes pour nous éclairer le soir afin de regagner notre hébergement après le dîner.
En effet, la nuit le parc n’est pas éclairé, et il faut le traverser, en partie en sous-bois pour retourner au lodge.
Nous prenons place à bord du club-car qui nous amène vers notre demeure d’un soir.

Nous faisons connaissance avec le lieu. Le lodge est isolé sur un bord du parc: nous disposons d’une grande zone arborée et privatisée. Le bâtiment affiche des lignes droites, et des matériaux au goût du jour : beaucoup de bois, de la pierre, du béton effet ciré couleur anthracite, une grande baie vitrée…
Singularité : celle ci est au contact d’une meute de loups noirs, dont nous ne sommes séparés que par une clôture.

Lodge : La baie vitrée et un loup
Les finitions sont soignées, les équipements nombreux : cheminée, cafetière expresso, éclairage led multicolore télécommandé, chauffage au sol…
Le genre de logement que l’on garderait bien pour le reste de l’année !

La disposition est étonnante : la pièce principale est séparée d’une petite dépendance constituant la seconde chambre, un autre bloc héberge les toilettes et la salle de bain. Ils n’ont en commun qu’une terrasse en bois et un pan de plafond…
En bonne place, au milieu de cette terrasse centrale, figure le jacuzzi tant convoité, caché sous sa grande housse.

Lodge : le jacuzzi
On nous montre le fonctionnement du logement, les précautions d’usage, ainsi qu’un rappel des différents horaires, dont celui du dîner.

Enfin seuls !

Malgré l’absence de rideaux et l’importante surface vitrée, nous bravons les rares vis-à-vis et faisons tomber nos vêtements, impatients.
Nous débarrassons le précieux équipement balnéo de sa lourde housse, prenons une douche rapide, et nous voilà barbotant dans l’eau chaude, testant les différents réglages et mécanismes d’agrément.
le jacuzzi est encastré dans la terrasse, nous avons les yeux à hauteur du sol, et notre point de vue donne sur le grand enclot voisin, celui qui abrite les loups noirs. Nous tentons de les repérer mais ils se tiennent à distance dans l’immédiat.
Le mélange de confort et de proximité avec la nature est quelque peu paradoxal, mais particulièrement agréable.
Nous nous délassons ainsi un long moment, tentant de repérer les loups, jouant à cache-cache avec les jets, les mains deviennent baladeuses et nos corps se frôlent.

Fatalement, la poitrine de Missdactari ne manque pas de me narguer, mes mains et ma langue ne résistent pas bien longtemps à l’appel de la nature.

Sein : l'appel de la nature.. sauvage !
Mes érections sont autant de prétextes à de douces caresses sous-marines.

Nous nous amusons à faire monter la tension sexuelle pendant un bon moment, jouant avec notre désir.
Jusqu’à ce que n’y tenant plus, et bien que frileuse (au sens premier du terme uniquement) la miss sorte de l’eau jusqu’à son entrejambe, sans dire un mot.

Le message est clair, et à mesure que j’approche de son intimité, elle fait en sorte d’adapter sa position pour me l’offrir du mieux possible.
Resté dans l’eau chaude, je prends un malin plaisir à m’appliquer dans un cunnilingus d’abord lent et appuyé, lascif.
Sentant la cyprine remplacer avantageusement le côté rugueux et insipide de l’eau j’accélère progressivement le mouvement, tout en observant l’effet produit sur la belle demoiselle.
Son souffle se fait audible et plus rapide, j’agrippe ses fesses et je poursuis mes explorations linguales de plus belle.
Pendant que son plaisir prend forme, qu’elle me guide et m’encourage de quelques mots, je maintiens la pression ainsi que le mouvement, de manière à ne plus laisser d’échappatoire.
Un gémissement rauque me ravit intérieurement, et je ne lâche ma proie que lorsque qu’une main sur mon front m’éloigne du fruit défendu mais ô combien apprécié.

Il est temps de se remettre dans l’eau chaude, l’orgasme n’ayant rien arrangé côté frilosité, pour quelques minutes de récupération, enlacés.
Une main descend délicatement mais avec assurance et se saisit de mon sexe, vaguement remué dans l’apparente l’apesanteur.

Tant et si bien qu’il ne va bientôt plus y être assujetti, dressé tel un fier soldat…
Ah…  quelle agilité dans les gestes, quel talent !

Je m’interroge sur la marche à suivre pour éviter les effusions dans l’eau que nous tenons à garder propre pour ces deux jours.
Missdactari me propose alors de passer dans la salle de bain…

Nous sortons de l’eau en prenant garde à ne pas être observés (hormis par les loups) et filons dans la pièce attenante.
L’efficacité du plancher chauffant un sol en pierre volcanique est appréciable. La douce chaleur qui s’en dégage est tout à fait propice à des ébats improvisés.

Après s’être assuré que j’étais toujours en forme, la miss se tourne et offre à ma vue l’une des plus belles invitations à l’indécence.
Ne pouvant refréner un coup de langue en enfilant un Unique, je me dresse et lui saisit fermement les hanches avant de m’enfoncer avec vigueur.
Je me délecte des vagues de sensations énergiques provoquées par une pénétration qui ne l’est pas moins.

N’étant pas un grand amateur de la position debout, et la pièce ne permettant pas de se mettre confortablement à genoux, je ne tente pas d’atteindre à tout prix l’orgasme.
Je me contente du plaisir lubrique de la situation, pour quelques minutes encore : je tiens à m’économiser pour le soir.

L’heure du dîner approche… il est temps d’interrompre nos ébats temporairement.

Nous revêtons une tenue appropriée et sortons rejoindre la salle de restaurant en nous faufilant dans les sous-bois.

[ suivant ]

  1. Je crains de n’avoir visé au plus juste avec le Fairy, les autres jouets n’ayant pas trouvé grâce auprès de Missdactari depuis la “roquette à orgasme”[]
  2. et c’est par ce biais qu’elle en a eu connaissance, puisque c’est ce type d’hébergement qu’elle avait choisit pour mon propre anniversaire[]
Jeu 30
Août
2012

PostHeaderIcon Un agréable piège

J’accompagne assez régulièrement (autant que raisonnablement possible) missdactari dans des sorties plutôt orientées “pluralité masculine”…
Cependant il arrive, histoire de varier les plaisirs (et de se focaliser un peu plus sur les miens) que nous sortions dans des environnements moins pluraux.
Voir même en après-midi ou soirée couple 1.

Prétextant la proximité de mon anniversaire, nous nous sommes retrouvés il y a quelques temps en après-midi “couple” au Moon-City, célèbre sauna libertin parisien.
Les précédentes sorties étant principalement en “club sec”, nous ne boudons pas notre plaisir de retrouver les bulles du jacuzzi.

A cette heure, le Moon n’est pas pris d’assaut, il est encore trop tôt pour les 5 à 7, et les couples légitimes sont généralement plutôt du soir.
Nous ne nous interdisons pas de coquiner avec un couple, bien que nos récentes expériences soient assez inégales.
Qu’importe, sans trop y croire, nous n’hésitons pas à commenter sur ceux qui pourraient nous convenir…

Pas de gros enjeu toutefois, nous sommes aussi venus pour nous détendre, et les bulles sont déjà une bénédiction en elles-mêmes.
Et même si plus on est de fous plus on jouit, nous pouvons nous suffire à nous même 2.

Alors que le désir se fait plus présent, nous décidons de monter dans la partie interactive, à la recherche d’un coin confortable, et qui nous permette de laisser venir au moins un autre couple.
Alors que nous portons notre choix sur le premier espace, celui à plusieurs niveaux de matelas, nous constatons que personne dans le couloir ne semble nous avoir suivi ni repéré.
Nous nous installons donc tous les deux, en prenant soin de laisser la porte ouverte.
Missdactari décide de démarrer les hostilités et entame une très agréable fellation.

Et c’est alors que le piège se referme…
Alors qu’elle me suce, un couple apparait dans mon champ de vision, comme venu de nulle part.
Je ne pense pas les avoir repéré avant dans le club, ni vu passer par l’ouverture de notre coin câlin.
En fait c’est surtout la femme du couple, me faisant face, que je vois, son compagnon étant resté un peu en retrait.
Ils nous proposent dans détour de se joindre à nous, et j’ai à peine le temps d’exprimer mon approbation que déjà la femme s’approche de moi.
Ou plutôt de mon entrejambe… car elle semble décidée à gouter elle aussi à ma queue, que missdactari a l’air de tant apprécier.

 

elle semble décidée à gouter elle aussi à ma queue...

Je n’ai pas vraiment eu le temps de vérifier si l’homme était du goût de missdactari et si elle était vraiment partante, mais son regard semble dire “profite, le mec j’en fais mon affaire”.
Peu adepte des fellations en duo avec des inconnues, elle propose à la femme de lui passer le relais, pour pouvoir s’occuper de monsieur.
Elle me prend en bouche de façon très assurée, et est très douée.
C’est fou comme ça peut être agréable de ne pas avoir à se poser de questions lorsqu’une partenaire prend autant les choses en main (ou en l’occurrence… en bouche) !

Sachant que missdactari n’en sera pas offusquée, je me focalise sur ma nouvelle partenaire.
Le moment ne semble pas être en faveur d’un jeu à 4…
La difficulté de trouver une réelle harmonie à deux couples est un sujet qui vaudrait à lui seul un long débat.
Pour cette raison nous sommes aussi adeptes du “2+2”.

Tout en profitant de ses talents, je m’attarde un peu plus à la détailler du regard, car malgré un apriori positif, tout est allé très vite.
Ses cheveux mi-longs et frisottés d’une couleur châtain, ont probablement contribué à cette bonne première impression.
Son visage est en partie caché par ses cheveux, et je ne le vois pas très bien.
Je crois deviner qu’elle est méditerranéenne, ce que sa peau légèrement matte semble confirmer.
Sa silhouette est assez élancée et harmonieuse sa taille marquée, sa poitrine à l’évidence naturelle est magnifique, plutôt généreuse sans être opulente…
Je me redresse et caresse son épaule, son bras, puis descend sur ses seins, ses hanches et ses fesses.
Sa peau est incroyablement douce et soyeuse, j’en frissonne de plaisir.
Sans aucun doute, elle prend grand soin de sa peau.

Son visage souriant n’est pas marqué, mais ses traits ne sont pas ceux d’une jeune fille non plus…
De fait, son âge est indéfinissable et tout pronostic serait futile.
Sans être un top-modèle, sans avoir un physique sur lequel “n’importe quel homme se retourne dans la rue”, elle est belle, tout simplement.
Magnifique même… plus je la regarde et plus j’en suis frappé.
Le contact de sa peau m’électrise littéralement, je suis subjugué par cette beauté à la fois simple et profonde, comme je les aime.

Je poursuis mes caresses, et elle se relève tandis que je me redresse, nos corps se rapprochent et nous sommes comme attirés.
Nous nous enlaçons, je la découvre très tactile. Sa peau contre la mienne me met dans un état second, me donne des envies de fusion.

 

Enlacés

J’ai très envie de lui montrer qu’à mon tour, je ne suis pas un avare de caresses buccales, et l’invite à s’allonger et à se détendre.
Elle apprécie mon initiative et m’ouvre la voie vers son intimité, que je ne tarde pas à déguster…
… tout d’abord en douceur, de la pointe de ma langue, et progressivement de façon plus appuyée.
Je promène mes doigts à proximité de sa fente, sondant sa réaction, afin de déterminer si elle souhaite ce complément dans mes caresses.

Elle n’a pas l’air opposée à l’intromission délicate d’un doigt, puis deux.
Ils sont accueillis chaleureusement et avec gourmandise, son entrejambe est déjà d’une humidité très avancée.
Attentif, je m’efforce d’optimiser mes caresses, scrute ses réactions… je me délecte déjà face à la perspective de lui donner un premier orgasme.

Mais elle en décide autrement, et me fait clairement comprendre qu’elle a envie d’être pénétrée là tout de suite, en s’allongeant sur le dos.
Un peu étonné qu’elle ne profite pas de mes caresses jusqu’au bout, je me dis qu’elle a peut-être l’orgasme clitoridien “radical” et le garde pour le bouquet final.

Ou bien elle a tout simplement envie d’accélérer les choses ?
Cette fois, je suis décidé à ne pas me poser mes éternelles question, ni à essayer de tout comprendre, de tout interpréter.
Cette fois, je vais profiter du moment présent, et faire preuve de cette petite touche d’égoïsme que je me refusais jusque-là avec une inconnue.
J’ai envie d’elle, très envie d’elle, et je vais accéder à sa demande sans arrière-pensée.

Je me prépare à la pénétrer pendant qu’elle use de mots crus pour me témoigner de son impatience d’être prise.
Alors que je prends possession de son corps, elle se cambre légèrement et son regard s’agrandit… sa bouche s’ouvre.
A l’évidence son envie de ma queue n’est pas désintéressée… en tout cas elle le verbalise avec moult compliments.

Encouragé, j’accentue chacun de mes coups de bassin… Je suis décidé à la baiser sans retenue.
Qu’importe la sincérité de ses râles, si elle veut ma queue autant qu’elle le prétend, elle va être servie !
L’étreinte est intense, ses cuisses grandes ouvertes, elle parcourt tout mon corps de ses mains, appelle un baiser indécent.
Son air sauvage, ses mots dépravés font sauter mes réserves habituelles.

 

Missionnaire...

Va-t-elle jouir ? Aime-t-elle ce que je lui fais ?
Peu importe, je lui donne ce qu’elle me demande, elle en fera ce qu’elle voudra.
A cet instant présent je savoure cet assaut bestial de manière totale.

Toujours aussi crûment, elle demande à être honorée.
Ce genre d’injonction est d’un résultat assez incertain chez moi, mais le ton qu’elle a employé est d’une rare perversité.
Je lâche prise progressivement, et laisse venir le plaisir à moi, j’attends le coup de grâce.
Un violent orgasme me transperce le bassin… et j’éjacule dans un dernier coup de rein, lent et ample, jusqu’à avoir empalé ma belle inconnue jusqu’à la garde.
J’ai la sensation de m’être totalement répandu en elle, malgré le préservatif.
Je profite de cet état de plénitude, béat et échange un regard bienveillant à l’égard de celle qui a su me faire prendre autant de plaisir.
J’ai chaud, je suis essoufflé, sans avoir eu l’impression de faire le moindre effort… comme si mon instinct avait décidé pour moi.

Il ne semble pas qu’elle soit parvenue à l’orgasme… alors que de mon côté ça ne fait aucun doute.
Elle décline pourtant ma proposition de cunnilingus, à ma grande surprise.

Je ne saurai dire, de son plaisir ou de la satisfaction de m’en avoir donné, ce qui la rend aussi souriante.
Mais elle a l’air bien, apaisée et satisfaite, elle aussi.

Le piège se rouvre peu à peu…
De nouveau nos corps se rapprochent alors que nous nous redressons en reprenant nos esprits.
Les caresses sont plus lentes, plus douces.
Je cherche des mots pour exprimer ma gratitude, mais me contente d’un sourire qui finalement exprime mieux ce que je ressens.

Nous retournons à la civilisation, et le langage se fait plus poli…
Je n’ai pas suivi ce que missdactari a fait avec monsieur, et je me sens un peu démuni, presque honteux, de ne m’être pas assuré qu’elle avait passé un bon moment.
A l’évidence, pas aussi bon que moi… mais je sais que si cela ne lui avait pas convenu, elle me l’aurait fait savoir.

Nous discutons tous les quatre, leur curiosité a été attisée par mes préservatifs en format “carte de crédit”.
Mais il semble que l’heure du départ est déjà dépassée pour eux, et ils prennent congé rapidement, nous ne les recroiserons pas…

C’est peut être mieux ainsi, laisser planer le mystère et ne garder en souvenir de ma belle inconnue, de ce piège délicieux, que ce moment de fougue.

 

Crédits photos : Sexeviolence†, Javelins Arc, Black and White Sex†.

† Ce site a disparu depuis la publication du billet

  1. ceux qui connaissent un peu missdactari savent que ce n’est vraiment pas sa tasse de thé, mais que voulez-vous je suis pistonné[]
  2. pas forcément dans les mêmes proportions, je ne suis qu’un homme et je cherche toujours l’imbécile qui a eu le mauvais goût d’inventer la période réfractaire[]
Lun 28
Mai
2012

PostHeaderIcon Triathlon (étape II)

[ précédent ]

La prochaine étape de la visite, pour terminer l’après-midi est le club humide.
Notre choix s’est porté sur l’Eclipse, qui vient d’ouvrir et que n’avons visité qu’une seule fois, une semaine après son ouverture.
Il nous a laissé une bonne impression et nous profitons de cette opportunité pour y retourner, en mixte cette fois 1 .

Il fait chaud en ce dernier jour d’Août, et nous profitons du cabriolet dans les rues de Paris. La circulation est en demi-teinte, car la capitale a déjà récupéré l’essentiel des vacanciers…
Une fois garés, nous nous présentons devant le club, et sommes accueillis par un homme qui, pensons-nous, travaille habituellement juste à côté (à savoir au Sun-City).
Nous enfilons les sur chaussures et passons nos paréos.

En passant nous visualisons le bouton d’ouverture d’urgence du sas… nous avons appris qu’un couple de notre connaissance l’a activé par mégarde quelques jours avant, provoquant l’ouverture de la double porte, et exposant les clients en paréo à la vue des passants !

Il est encore relativement tôt et le club n’a pas l’air très animé… nous mettons cela sur le compte de  son ouverture encore récente. Et puis nous sommes un après-midi en semaine, ce sont les grandes vacances…
C’est le créneau habituel des couples illégitimes, qui ont probablement déjà leurs petites habitudes et ne changent pas de club facilement.

Compte tenu de la chaleur, nous ne boudons pas notre plaisir en filant directement dans les bulles du jacuzzi, toujours aussi agréables !

Eclipse : Le Jacuzzi

Nous batifolons dans l’eau, et croisons peu de monde : un couple,  un homme seul… il est clair que cela ne tournera pas à la grosse orgie, du moins pas tout de suite.
Peu importe, nous sommes là pour le coté feutré et calme du club, et ainsi nous détendre entre 2 autres sorties.

Le manque de confort du Beverley m’a laissé quelque peu sur ma faim, et l’envie se fait sentir de profiter des coins câlins.

Nous grimpons l’escalier, passons nous sécher au sauna, puis nous installons sur le grand coin tout en longueur situé au fond de la “zone interactive”.
L’endroit semble tout à nous, les seuls bruits alentours sont ceux de la ventilation et des télés qui diffusent des vidéos pour adulte (très cliché, mais assez esthétiques).

Un couple finit toutefois par s’approcher, avec une grande discrétion. Ils ont l’air de manquer d’assurance et sont probablement débutants, ou bien ils ne se connaissent pas depuis longtemps.

L’air intéressés et curieux, ils nous tournent un peu autour malgré tout, et finissent par s’asseoir sur une des banquettes à coté de notre grand matelas.
Un regard rapide me permet de vérifier l’avis de missdactari. Visiblement elle n’a rien contre le Monsieur, mais n’est pas prête à lui sauter dessus non plus.
La Femme a un physique agréable, même si elle manque un peu de formes à mon goût, elle est souriante même si elle ne semble pas très à l’aise.

Je leur souris et j’imagine que missdactari en fait de même. Ils nous regardent furtivement mais ne répondent pas. Ils ne semblent pas savoir comment s’y prendre, ni comment communiquer entre eux.

En fin de compte, la Femme entame une fellation qui donne envie… son partenaire est plutôt bien monté et semble épilé. Je regarde si missdactari l’a remarqué, son regard complice semble vouloir dire que oui.
Pour autant, difficile de savoir si leur geste est une façon de s’approcher et de nouer le contact, ou juste la petite échappée exhib’ de deux grands débutants.

Ils demeurent assez éloignés de nous, et les regards restent très furtifs, presque gênés. Finalement ils vont s’isoler dans un autre coin.
Peut-être que nous ne leur convenons pas, peut-être ne sont-ils pas prêts à franchir le pas.

Nous continuons donc à nous amuser tous les deux, remarqués par les hommes seuls, qui pour le moment gardent leurs distances.

Eclipse : Le Bar

Nous faisons un break, pour aller boire un verre, varier les plaisirs en descendant au Hammam, puis décidons de retourner à l’étage.
Même si nous avons le temps, nous jetons un œil à la pendule de temps à autre, car nous avons un emploi du temps à tenir !

Pour changer, nous nous installons dans le grand coin, un peu isolé, qui peut facilement accueillir 6 à 8 personnes.
Cette fois un homme seul “passe à l’attaque” : il s’approche et s’il ne semble pas tout à fait sûr du comportement à adopter, il tente néanmoins à obtenir les faveurs de missdactari tout en veillant à mes réactions. Je lui laisse le champ libre pour éviter tout quiproquo.

Il est assez silencieux, mais maintenant rassuré il apparaît nettement plus aguerri. Rien de très original toutefois, après s’être assuré que missdactari est prête, il se contente de la prendre en levrette, puis une fois son affaire terminée, nous remercie poliment et prend congé.

Le second homme seul qui a surveillé le début de la scène de loin, s’est approché de nous discrètement… d’un regard interrogateur il chercher mon approbation.
Je m’efforce d’être clair, car il parait que je suis parfois intimidant et que je ferai fuir les hommes seuls 2.

Après quelques caresses, il s’installe derrière missdactari, se saisit d’un préservatif qu’il commence à poser.
Je le vois soudain se figer, peut être une seconde. Son regard semble dépité… il baisse la tête, puis se tourne et s’enfuit sans rien dire. Nous ne le recroiserons pas, et supposons qu’il a probablement quitté les lieux juste après.

Nous faisons des pronostics sur ce qui vient de se passer…. Ejaculation précoce ? Changement d’avis de dernière minute ? Remord ?
Je penche pour la première solution, sans certitude.

Étrange après-midi que celui-ci, même si nous avons un peu plus interagis avec les autres clients de l’Eclipse que lors de notre première visite, les échanges sont assez loin de ceux auxquels nous sommes habitués.

Qu’importe, l’heure avance et après un dernier verre et quelques bulles revigorantes, nous allons rejoindre le vestiaire et passer nos tenues de soirée, car la troisième étape nous attend.
Nous récupérons la voiture et mettons le cap sur la rue du Cherche Midi pour notre troisième et dernière étape.

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Les photos viennent du site officiel de l’Eclipse.

  1. A noter, l’Eclipse n’est dorénavant ouvert qu’aux seuls couples et femmes seules[]
  2. parait-il hein, mais bon c’est sacrilège pour missdactari[]
Lun 3
Octobre
2011

PostHeaderIcon Eclipse, petit morceau de lune

Je n’ai jusqu’à présent pas fait de billet spécifique à un club, même si certaines de mes narrations indiquent clairement les lieux dans lesquels se déroule l’action.

En général, je laisse plutôt les tests de club à missdactari (qui en est à son 24ème au moment où j’écris ces lignes !).

Je vais néanmoins faire au moins deux exceptions, pour des clubs qui viennent d’ouvrir et auxquels j’ai envie de donner un (très modeste) coup de pouce.

Commençons donc par l’Eclipse, boulevard Sébastopol à Paris.


Ce club n’est pas totalement nouveau, dans la mesure où il reprend le concept du fameux Moon City.
Ce sauna de Pigalle qui a maintenant quelques années, est vite devenu incontournable en matière de clubs humides parisiens, notamment pour ceux qui font leurs débuts.

Fort de ce succès, le staff a eu l’idée de grignoter une partie du club Gay le “Sun City” (dont le Moon est inspiré), afin de créer une partie hétéro semblable au Moon, en plus petite.
Se voulant plus intimiste, l’Eclipse permet surtout de proposer l’alternance en proposant des horaires couples quand le Moon est mixte et inversement.
Et toujours ce grand avantage d’une plage horaire particulièrement large, 7 jours sur 7, permettant des escapades en après-midi, ce qui est bien pratique.

Exit l’ambiance particulière de Pigalle, nous sommes entre le marais et les halles.
Pourtant il existe d’autres clubs tous proches : le WE, le Club 41, le Dépôt et bien sûr le Sun City (ces deux derniers sont gays).
Arpentant ce grand boulevard donc, de grands palmiers en pots vous indiquent que vous êtes arrivés.
L’entrée du Moon et celle du Sun sont à l’enfilade (ne vous trompez pas).

La sonnette vous permet de vous faire ouvrir la porte coulissante qui vous mène dans un petit sas, afin de régler votre entrée, et de récupérer serviettes, paréos et sur-chaussures.
En effet contrairement au Moon, ici vous devez passer par la zone “nudiste” avant de gagner les vestiaires.

La seconde porte du sas s’ouvre donc sur le bar à votre droite, et le jacuzzi, discrètement placé en hauteur, sur votre gauche.

Au bout de ce premier couloir une table avec banquette et quelques poufs.

Juste avant, un escalier en colimaçon permet soit de descendre vers le hammam et les vestiaires (vous allez pouvoir enlever cet air schtroumpf à vos chaussures), soit de monter vers le sauna et les coins-câlins.

La décoration est quasi à l’identique de son grand frère : déco hindoue, meubles en bois… on y retrouve les mêmes lampes, le même style de statues, les mêmes moulages.
Tout dépend de vos goûts, mais c’est à la fois dépaysant et calme, même apaisant… propre aux chuchotements et aux confidences (coquines bien sûr).

Pour un habitué du Moon on se sent tout de suite en terrain connu, les trois éléments de balnéo (Jacuzzi, Sauna, Hammam) sont là, les couleurs et l’ambiance sont similaires… et l’accueil de Kathleen excellent !

Voyons d’un peu plus près les installations…

Le Jacuzzi tout d’abord, pièce maitresse des clubs de la famille “City”, fait environ le tiers de la taille de son grand frère, et l’on y accède par un escalier d’où ruisselle une eau chaude faisant office de pédiluve.
Je vous rassure, malgré cela l’escalier n’est pas glissant, je le trouve même très agréable à monter 1.
L’eau est chaude, la décoration très sympathique, un peu plus claire que celle du Moon, ce qui n’est pas désagréable.
Cerise sur le gâteau : les couleurs vivent et changeantes de l’éclairage subaquatique, et les jets massants (très massants même).

Passons au Hammam, qui est plongé dans une ambiance bleue très relaxante, sa taille est correcte compte tenu de celle du club et il est propre et efficace.
Le seul reproche que l’on pourrait lui faire est sa situation au sous-sol proche des vestiaires et des douches, mais la configuration des lieux ne laissait vraisemblablement pas d’autre choix.

Le Sauna est d’une taille respectable. Lors de ma première visite il sentait le neuf (odeur de résine relaxante). Une grande partie vitrée permet de voir l’extérieur plutôt que de virer claustrophobe.
Il est propre et bien aménagé.

Les douches enfin, principalement au sous-sol, sont dans le même style que celles du Moon, les murs patinés et façonnés donnent l’impression d’être dans une cave.
De petites sculptures assez explicites sont disséminées.
Petit détail sympathique, une rangée de 3 douches côte à côte, pour se frotter le dos entre amis !

A l’étage, les coins-câlins enfin, sont assez divers :
3 sont plutôt grands et plus ou moins ouverts (pour deux d’entre eux, l’accès se fait de façon discrète, le dernier en revanche, tout en longueur, est au milieu du passage).
Quelques autres ferment à clé, et sont minuscules, probablement hérités des backrooms du Sun-City.
Devinez lesquels ont ma préférence ?

Les toilettes sont à l’étage également, à noter un toilette handicapé et une douche qui a été rajoutée entre ma première et ma seconde visite (je n’irai pas jusqu’à dire que le staff a écouté nos conseils, mais cela faisait partie de nos remarques lors de la première visite…)

Concernant la clientèle, difficile de se faire une idée, le club n’était ouvert que depuis une semaine lors de ma première visite.
Globalement peu de monde, mais je n’y suis allé qu’en après-midi.
Les hommes seuls présents étaient courtois, et les couples plutôt réservés.

Nul doute que ce club qui a un très bon potentiel va voir sa clientèle augmenter, et que cela deviendra un lieu idéal pour des sorties “sexe et détente”, notamment l’après-midi.

Le choix Eclipse contre Moon se résume principalement à choisir entre journée couple ou mixte, et sur une taille de club.

Les tarifs sont les mêmes entre les deux clubs, c’est à dire pas vraiment bon marché, mais en ligne avec les autres clubs parisiens, compte tenu des prestations proposées.

Deux petits bémols tout de même 2 : l’agencement des lieux n’est pas optimal (mais réussi compte tenu des contraintes d’aménagement)
Ensuite la taille, notamment pour la partie “lounge”, trop éloignée du bar, ce qui ne facilite pas les discussions avec les autres clients.

Au final l’Eclipse constitue à n’en pas douter un excellent choix si vous cherchez un club humide, notamment pour ceux qui débutent.

N’hésitez pas à signaler à l’accueil si vous êtes débutant ou que vous ne connaissez pas les lieux, l’équipe de Kathleen vous proposera certainement une visite.

Les photos viennent du site officiel de l’Eclipse.

  1. vous aussi ça vous rappelle une bonne amie ? je ne suis pas le seul à avoir l’esprit mal placé je vois[]
  2. sinon vous allez croire que je suis sponsorisé[]