Fred Goormand

AvatarHomme en couple libertin, francilien, jeune quadra dynamique.

Adepte sans borne du cunnilingus, inscrit au don d'orgasmes.

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Thèmes qui seront abordés dans de prochains billets :

  • Timeline, la suite
  • To lick or not to lick
  • La loi du silence
  • Suite de la série “de l’origine … à l’orgie”
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Billets avec le mot-clef ‘lacher prise’

Mer 10
Février
2016

PostHeaderIcon Le Plan B

Le libertinage est parfois un moyen de se découvrir, d’explorer des territoires vers lesquels on ne serait peut-être pas allé dans une vie de couple exclusif.
C’est aussi parfois se rendre compte (et accepter – d’autant plus facilement qu’on est de toutes façons sorti des conventions) qu’on ne fonctionne pas exactement tel qu’on l’imaginait, ou qu’on le souhaiterait.

A mes débuts je me suis volontiers laissé aller à imaginer que de nouvelles partenaires, de nouvelles pratiques et le champ des possibles qui s’élargit, seraient une source de jouissances faciles et intenses.
Après tout, quel homme pourrait résister au plaisir de nouveaux corps, de situations licencieuses, à des pratiques interdites et délicieuses ?

Et pourtant, les choses ne sont pas si simples… ni automatiques.

Quelles qu’en soient les causes, j’ai dû me résoudre à une réalité : chez moi l’orgasme est loin d’être mécanique.
Surtout lorsque je me retrouve en duo avec une partenaire que je ne connais pas ou peu…

Ce n’est pas sans poser quelques petits soucis, entre autres celui de finir par lasser ces dames qui goûtent assez peu d’être limées au-delà du raisonnable (et de l’agréable).
… ou qui s’évertuent (souvent avec un entrain qui force l’admiration et la reconnaissance) à chercher sans grand succès la clé de ma jouissance.

Je me suis pourtant aperçu qu’il y avait une pratique, certes futile, qui me permettait d’atteindre le nirvana de façon quasi assurée.
Pas une pratique totalement délirante ni d’extrême.
Cela amuse même (ou cela stupéfie, c’est selon) les demoiselles à qui je propose cette alternative.

je l’ai appelé le “Plan B” : celui qui marche à tous les coups quand on semble dans l’impasse.

De quoi s’agit-il donc pour être aussi infaillible ?

Tout simplement : un cunnilingus… mais pas n’importe comment !
En face-sitting, c’est à dire, moi allongé sur le dos, et ma partenaire qui vient offrir son intimité aux caresses de ma langue, face à moi.

cunni-face-sitting

Le “Plan B” est d’autant plus efficace que le fruit de mon désir est offert avec entrain voir insistance et même indécence, ouvert si possible, exposé à tous mes sens.
J’ai alors tout le loisir de profiter d’en profiter et de l’explorer, de contempler les courbes de ma bienfaitrice sous un angle inhabituel, voire d’y aventurer une main.
Ainsi gâté, en me caressant j’atteins généralement l’orgasme en une poignée de minutes, même lorsque la situation de départ semblait désespérée.

Ironiquement, il arrive parfois que ce soit ma partenaire qui atteigne l’orgasme avant moi, du fait de mes caresses buccales et de la situation.

Je me pose souvent la question de savoir si l’efficacité du “Plan B” est une forme de soumission, de par la position tenue par la femme notamment.
Sans pouvoir tout à fait écarter cet aspect des choses, avec le recul il demeure secondaire.

Ma perception est plutôt que je suis excité par plusieurs facteurs :
* Etre pourvoyeur de plaisir pour ces dames, même si le “Plan B” est d’abord pour moi.
* L’absence de questionnement sur le consentement (auquel je suis très – trop ? – attaché) .
* Le confort de la position (pour moi qui suis confortablement allongé du moins).
* L’absence de pression liée à la pénétration, car j’ai parfois tendance à m’oublier si je vois que ma partenaire y réagit bien.
* Et surtout… définitivement, j’adore lécher !

J’ai (j’avais ?) parfois des réticences à proposer le “Plan B” en club par peur de la réaction ou du jugement des autres personnes présentes, ou dans des situations plus intimes si ma partenaire n’y est pas habituée.
Mais le temps et l’expérience se sont montrés globalement bienveillants, même si je ne doute pas que cela puisse étonner ceux qui en sont témoins au détour d’un coin câlin.

Au point de vous livrer ce billet assez personnel…

cunni-face-sitting_2

 

Lun 31
Août
2015

PostHeaderIcon Nature Sauvage (Loup y es-tu ?)

précédent ]

Malgré la mésaventure de la nuit qui a coupé mon sommeil, je me réveille reposé au petit matin.
Il fait déjà bien jour dehors et le lodge est baigné de lumière.

lodge arriere
Missdactari est bien au chaud sous la couette, je la regarde dormir tout en prenant mon temps pour sortir totalement des limbes.

Je demeure ainsi à la regarder encore quelques minutes, jusqu’à ce qu’elle ouvre les yeux à son tour.
Elle reste immobile un instant, puis s’étire et m’indique que lit et la couette ont été un bonheur.

Elle passe sa main dans mes cheveux, tandis que je me rapproche d’elle et pose une main sur sa hanche, et la fait remonter lentement jusqu’à son sein ferme et aguicheur.
J’en dessine délicatement l’extérieur dans ma paume, sondant le moindre millimètre carré de peau sous mes doigts, profitant de sa douceur et de son grain.

Dehors la météo semble clémente… nous avons encore quelques minutes avant de devoir partir prendre le petit déjeuner.
Mes mains poursuivent leur exploration tactile et suivent chaque courbe, chaque détail… mes mains caressent autant qu’elles ressentent, exploratrices et bienfaitrices.

Nous restons sages pour l’instant, la douceur du matin est propice aux câlins, mais l’heure du petit déjeuner n’est pas compatible avec une nouvelle chevauchée.

Profitant de la somptueuse salle de bain, nous nous apprêtons, non sans quelques mains baladeuses.
A la lumière du jour, le trajet vers la salle de restaurant est nettement plus assuré et plus rapide que la veille.
L’activité animale sur la grande plaine est différente, plus animée, mais les animaux sont plus éloignés que la veille au soir.

J’ai toujours plaisir à profiter des petits déjeuners d’hôtel, ou il n’y a rien d’autre à faire que choisir et profiter…
Je suis comblé : la salle est calme, propice aux discussions y compris les plus indiscrètes, le buffet suffisamment diversifié pour que mon appétit ne suffise pas à goûter tous les mets qui me font envie.
Rassasiés, nous retournons vers notre lodge en prenant le temps d’explorer la ferme et quelques autres recoins que nous n’avions pas encore eu le temps de visiter.

Nous entreprenons alors de découvrir les abords immédiats de notre hébergement, dans la partie ouverte au public, afin de constater ce que les visiteurs peuvent y voir.

Quelques cabanes reconstituant des demeures de trappeurs s’offrent à nous, ainsi qu’un tunnel avec des accessoires de chercheur d’or, ou des répliques de chariots à l’ambiance Far-West.
Çà et là quelques objets amérindiens, tableaux, illustrations de chasse, servent à parfaire le décor et à donner le ton.parc_farwest

Nous observons également les loups blancs, qui sont dans un espace proche du notre, mais non-visible de notre lodge.

Enfin, nous nous rendons à l’aire d’observation des loups noirs, en nous demandant si l’on peut nous apercevoir, puisque la grande baie vitrée de notre chambre donne de ce côté, sans rideau ni store.
Notre crainte n’est pas tant d’être observés en pleine action, que de choquer les plus jeunes qui ne s’attendent pas à voir ce type d’accouplement.

Nous constatons que, sous un certain angle, une partie du lodge est effectivement visible… néanmoins ce point de vue n’est accessible qu’à condition de mesurer une certaine taille, ce qui nuance nos craintes.

De retour dans nos appartements, nous avons un peu de temps devant nous avant de quitter les lieux…
J’envoie un regard complice à Missdactari, elle devance ma proposition et indique que nous n’aurons pas le temps de déraper avec tout le loisir que l’on voudrait, et puis la journée n’est pas terminée.

D’humeur joueuse, motivé par la baie vitrée baignée de soleil, et l’esprit empli de pensées douces et perverses, je m’allonge sur le bord du lit, et me met à l’aise.
Nous n’avons peut-être pas le temps pour de longs ébats, mais j’ai envie de relever le challenge d’une fellation en mode “quickie”.

Missdactari est médusée, mais elle accepte le challenge à condition que le temps me soit compté, pour relever le défi et y mettre un objectif.

Nous sommes positionnés à l’angle de la grande vitre, je devine qu’à cet endroit, nous pouvons être vus par des visiteurs qui seraient placés au bon endroit.
Cette perspective m’excite et ajoute au côté furtif de la caresse que je reçois.
En relevant la tête, je vois que quelques visiteurs sont accoudés à l’aire d’observation… peuvent ils nous voir ? Nous n’en avons pas la certitude. Un visiteur cependant, un homme d’un certain âge, semble regarder dans notre direction, est-ce un hasard ?
Moi qui ne suis pas un grand amateur d’exhibitionnisme, j’imagine la réaction que pourrait avoir l’homme qui nous surprend en pareille situation.
Cette pensée m’excite, et je sens mon plaisir arriver à toute vitesse… nous n’avons de toutes façons plus beaucoup de temps.
Je laisse vagabonder mon esprit, et laisse les délicieuse sensations qui me sont si généreusement prodiguées m’envahir totalement.

La tension monte rapidement, ma capitulation sera immédiate ou largement retardée.
Je veux réussir le challenge, sentir le plaisir m’électriser et mon sperme gicler hors de moi.
Tout s’emballe, la jouissance m’emporte et je me laisse aller dans la bouche exquise et expérimentée de Missdactari.loups_hurlants
Totalement happé, prisonnier de ses lèvres, je lui laisse prendre toute ma liqueur avec délice.
Mes spasmes disparus, elle me relâche enfin… non sans effacer toute trace de notre forfait.

Il est temps pour nous de replier bagage, afin qu’ils soient récupérés mis à notre disposition à l’entrée du parc.
Nous avons l’opportunité de rester encore un peu de temps pour profiter du Jacuzzi.
Nous gardons le minimum vital, tandis que nous confions nos valises au personnel qui fait le tour des hébergements en club-car.

Avant d’aller nous baigner une dernière fois, je profite de la nudité de Missdactari pour prendre quelques-uns des clichés dont vous avez déjà pu profiter…

seins_et_loups

Nous entrons dans le bain et nous prélassons dans l’eau chaude et tourbillonnante, profitant de la vue sur les loups, qui semblent moins farouches que la veille.
Nous pouvons également apercevoir quelques visiteurs sur le site d’observation…
Bien cachés dans l’eau, ils ne peuvent probablement pas nous distinguer, seuls nos visages sortent au-dessus du niveau de la terrasse.

Les caresses et les effleurements sont délicieux, nos mains se cherchent, nos corps se frôlent.
Mais point de sauvagerie pour cette fois.

Alors que l’horaire du départ approche, il est temps pour une dernière douche avant de refermer définitivement la porte du lodge.

Nous prenons un chemin différent de la veille pour nous rendre à l’accueil du Parc.
Nous avons décidé de visiter un peu, et d’aller voir les lémuriens, qui ont visiblement beaucoup de succès.
Par chance, nous passons à l’heure où ils sont nourris, ce qui nous donne l’occasion de les voir de très près.

Après un passage à la boutique du Parc pour quelques souvenirs, clés rendues et formalités accomplies, nous attendons le taxi qui nous mène vers la prochaine étape…

Encore une surprise : Missdactari a réservé dans un restaurant en ville, pas très loin de la gare, de façon à terminer notre étape lorraine par un agréable déjeuner.
Par chance, la météo nous permet de nous installer en terrasse malgré le vent. Nous demandons une table un peu à l’écart car nos discussions ne portent pas que sur les Maki Catta.

makicatta

Notre serveur en revanche, profite l’air un peu surpris, de quelques bribes de conversations, situation dans laquelle j’aime lui en donner pour sa curiosité…

Le repas est fort agréable et le timing est parfait, sans précipitation, nous repartons donc calmement vers la gare, pour notre TGV du retour.

Nous arrivons à Paris en début d’après-midi… les festivités ne sont pas tout à fait terminées.
Puisqu’il nous reste quelques heures devant nous, autant ajouter quelque activité licencieuse à notre agenda, et nous irons donc aux Chandelles.

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Lun 8
Juin
2015

PostHeaderIcon Nature Sauvage (Ébats Crépusculaires)

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La luminosité du sous-bois déclinante nous permet de trouver, un peu hésitants, notre chemin.
Mon sens assuré de l’orientation, aidé du plan du parc nous permettent de nous en sortir sans faux pas.
Missdactari constate avec une légère inquiétude qu’il n’y a effectivement aucun balisage lumineux pour notre retour.
Je sais sa nature plus ou moins aventureuse selon les domaines.
Aussi je cède volontiers à sa demande de vérifier que le matériel d’éclairage qu’on nous a confié fonctionne.

Nous croisons ça et là quelques installations hébergeant oiseaux, batraciens et rongeurs, ainsi que des reproductions géantes d’animaux disposées sur le parcours.

Notre chemin nous ramène à la civilisation, via la ferme puis le grand bâtiment ou nous prendrons le dîner.
Celui-ci jouxte une immense plaine se prolongeant d’une vaste étendue d’eau. On distingue juste sous l’horizon la lisière d’un bois.
D’après le plan cette partie du parc abrite des ours, mais nous n’aurons pas l’occasion de les voir durant notre séjour.

Semblable à un documentaire animalier sur la savane, la plaine qui nous fait face grouille du mouvement de nombreux animaux, principalement des cervidés.

cervides

Le dîner étant à heure fixe, nous rejoignons la salle de restaurant sans tarder, et constatons avec plaisir que nous pouvons de notre table continuer nos contemplations.
Les cerfs, daims et mouflons sont habitués à la présence de l’homme, n’hésitant pas à approcher les promeneurs, ou venir sous nos fenêtres.

La carte nous rappelle que nous sommes dans le pays de la mirabelle, y compris en ce qui concerne l’apéro.
Le menu qui nous est proposé, à défaut d’être typique de la région lorraine, est bien agréable.
Nous profitons tranquillement de notre repas, la grande salle de restaurant n’étant occupée que part les quelques couples ou familles qui occupent un logement pour la nuit.
D’ailleurs, le jour décline à mesure que nos estomacs se remplissent, et nous ne voyons bientôt plus rien de la grande plaine aux cervidés…

Sans hâte, mais impatients de regagner notre repaire, nous finissons notre repas et vérifions que notre éclairage de fortune fonctionne, avant de nous lancer sur les traces du chemin du retour.
Celui-ci s’avère être une véritable expédition… en effet aucune partie du parc n’est éclairée ni balisée la nuit.
Je fais appel à ma mémoire topographique et à l’image de la carte du parc pour nous orienter.
Missdactari ne semble pas du tout à l’aise et je tente de la rassurer de mon mieux, tout en restant attentif au moindre détail qui pourrait indiquer que nous faisons fausse route.
Les bruits de la forêt mêlés à la faible lumière dont nous disposons donnent une ambiance pesante digne d’un film d’horreur.

Sans faux pas, et soulagés d’arriver à bon port, nous regagnons notre antre, illuminé par les éclairage intégrés au sol extérieur.

lodge

Nous prenons rapidement nos quartiers, et nous débarrassons de nos manteaux, lanternes et lampes torches.
Je suis tenté d’essayer l’éclairage led dont on nous a vanté les mérites, et me saisis de la télécommande.
Celle ci pilote plusieurs bandeaux lumineux dont on peut changer les couleurs à loisir… 1.

Après quelques minutes à jouer avec les ambiances lumineuses dans divers endroits du lodge, je propose de profiter de l’ambiance nocturne avec un éclairage rose tamisé dans un le jacuzzi.
Frileuse, Missdactari propose une autre alternative : nous avons un beau lit double avec une épaisse descente de lit à tester, d’autant qu’elle a amené quelques accessoires.

lit_avant

Ayant choisi un éclairage adapté, nous tournons autour du lit quelques minutes, et procédons à un effeuillage sans hâte.
Nous nous apercevons que notre accessoire principal, qui n’est autre que l’indétrônable Fairy, n’est pas suffisamment chargé et risque de nous lâcher en pleine action.
Devant cette inacceptable perspective, nous le branchons sur secteur en vérifiant que la longueur de câble ne sera pas un obstacle (merci les prises sous les tables de nuit).

Une fois nus sur le lit, la miss me donne sa vision des choses : une préparation comme je sais les lui prodiguer, ensuite il s’agira d’aller droit au but pour un maximum de plaisir en en minimum de temps…

loup_sein

Séduit par l’enchaînement, j’allonge la belle en travers du lit, m’assure de son confort, et je prend place entre ses cuisses.
Je commence par embrasser puis titiller du bout de ma langue son clitoris encore sage. Je donne quelques coups de langue brefs et appuyés, ce qui ne tarde pas à le faire réagir avec vigueur.
Relâchant mon étreinte buccale, je commence à laper, nonchalant, partant de son œillet jusqu’à son clitoris, dessinant tous les reliefs de son intimité au plus près de ma langue.
Chaque passage révèle plus encore le gout délicat de la cyprine qui commence à imprégner tout le fruit défendu.

Il me vient alors une idée : elle m’avait parlé il y a quelques temps d’un homme qui l’avait léchée en posant sa langue à plat tout le long de son intimité.
Cela lui avait fait beaucoup d’effet, mais il manquait quelque chose pour que ce soit totalement satisfaisant.

Aussi je m’aventure à plaquer le centre de ma langue sur son clitoris bien dégagé, pendant que le bout titille juste au dessus de l’entrée du vagin.
C’est à croire que ma langue a exactement la forme et la longueur requises… je parviens à la faire onduler assez facilement de façon à produire de lentes caresses appuyées sur son bouton.
Je m’interroge sur les sensations produites, mais un vif soupir emplit de surprise ne me laisse aucun doute.

Ce n’est qu’une question de secondes avant que la miss ne réclame son dû… mes “Uniques” sont à portée de main, et je m’assure d’être prêt à l’assaillir à tout moment.

Suspendu à sa voix encore quelques secondes, le “prends moi” vient sonner l’heure de la chevauchée.
Je libère pour un bref instant mon étreinte polymorphe : mes mains qui étaient encore à l’instant enroulées fermement entre ses cuisses, vont bientôt enserrer sa taille.
Alors que Missdactari m’offre la plus belle vue sur sa croupe, je m’approche et m’équipe de la coiffe phallique Unique de rigueur.

Le jeu est clair : pas de quartier… je m’enfonce donc d’un trait au plus profond d’elle et perçois son gémissement dans un souffle.
Je me tiens immobile, elle se saisit alors du Fairy et le rapproche de son entrejambe.
Mains entre les cuisses, épaules à plat sur le lit, sa cambrure est à se pâmer.
Mon bas ventre ajusté contre ses fesses, je me sens l’emplir de bien belle manière.

Elle plaque le jouet rose et blanc sur son intimité, et enclenche de suite la vitesse maximum.
J’assène immédiatement les premiers coups de boutoirs, réguliers et vigoureux, ne prenant aucune précaution pour ménager ma partenaire.
Plutôt que la cadence, je privilégie l’amplitude du mouvement, et la force de chaque coup de rein.
J’accélère progressivement le mouvement… je veux que son plaisir soit maximal, absolu et inévitable.

Sa voix se fait rapidement entendre, laissant deviner avec quel galop s’approche l’orgasme
Ses cris de plus en plus enlevés, sa lubrification abondante m’encouragent, je ne m’autorise aucun répit et me dévoue tout entier à ma noble entreprise.
Serrant ses hanches avec force, pilonnant son intimité avec détermination, je me sens tel une fucking machine prête à la transpercer.

Un dernier gémissement rauque, teinté d’étonnement, d’émerveillement même, précède le bouquet final.
Ses cris emplissent le lodge, tandis que je maintiens l’effort tel le sprinter qui vient à peine de franchir la ligne d’arrivée.
Sa longue plainte m’évoque celle des loups qui sont juste là, dehors.

Elle se relâche, terrassée par notre accouplement animal, laisse aller le jouet et semble à demi-absente, le souffle court.

lit_ebats
Son expression est à la frontière entre le fou rire et les larmes… elle se tourne lentement sur le côté, comme si elle était blessée.

Dans le mouvement, j’aperçois son intimité indécente, outragée et outrageante, trempée par l’excitation aussi subite qu’intense.
Je profite de l’accalmie pour reprendre mon souffle, mon érection revient demander son reste.

La belle récupère vite, et je sais qu’il ne faudra pas attendre bien longtemps pour que je ne puisse à nouveau coulisser en elle, et atteindre à mon tour le nirvana.

Le regard vague mais bienveillant, elle se tourne sur le dos.
“Bon lapin 2 et après dodo” me souffle t-elle, pour me faire comprendre qu’à ce régime là, il n’y aura pas de second round, victoire par KO.

L’assaut l’a laissée accueillante, et je ne prends, une fois de plus, aucune précaution particulière pour la pénétrer.
Enthousiasmé par nos effusions précédentes, je me focalise sur mon propre plaisir.

Ma langue va à la rencontre de ses seins, qu’elle saisit et me présente, pendant que j’ondule sur elle et profite des sensations voluptueuses de la pénétration,  dont j’adapte la cadence à ma guise.

Je m’abandonne et laisse monter cette sensation qui pointe sur la couronne de mon gland, presque imperceptible… elle s’étend progressivement, comme par petits cercles concentriques, à toute la verge.
Cette sensation, par je ne sais quelles circonvolutions m’emmène, grandissante, vers un délicieux plaisir.

Le plaisir me gagne tout entier et se transforme en ras de marée, je suis au paroxysme de la rigidité.
La jouissance me submerge tandis que j’assène à la belle tel un baroud d’honneur, quelques derniers vigoureux coups de bassin.
Je sens ma semence s’écouler et tenter de la rejoindre.

Immobile pour quelques instants, terrassé, je profite de ces quelques secondes de grâce post-orgasmique, celles où la plénitude prend tous ses droits.
Ma tête se pose au creux de son épaule, je bredouille quelques mots.
Nos corps s’éloignent un peu, je m’allonge à demi sur elle, me positionnant de façon à accéder à sa poitrine, pour la caresser et en jouer avec la pointe de ma langue, mes mains la parcourent.

La nuit est déjà bien avancée, il n’y aura effectivement pas de combattants pour un second assaut ce soir.
L’appel de la couette nous fait sortir de notre tendre torpeur, nous avons envie de nous mettre au chaud, de profiter du confortable lit pour un repos bien mérité.

Le contraste entre le confort de notre lodge, et l’isolement du sous-bois est plaisant.
Je profite à plein de cet environnement loin du tumulte des hommes, proche de la nature, parmi les loups, fatigué et béat.

regard_loup

Le sommeil ne tarde pas à m’emporter avec douceur…

Jusqu’à ce qu’un bruit métallique et sourd m’en sorte en sursaut.
je suis vite en éveil… nous sommes en forêt, nos plus proche voisins sont loin, personne n’a rien à faire ici.
Alors d’où vient ce bruit, qu’est ce qui peut bien cogner à ce point ?
De nouveau, ce bruit inquiétant… se pourrait-il que quelqu’un rode et tente d’accéder au lodge ?

N’étant pas sujet au stress, surtout la nuit, je tente de réfléchir et de déterminer la cause de ce bruit.
Ca cogne, encore… fort, sourd. Y a t-il un souci dans le parc, vient-on nous évacuer ?
Un autre hôte qui se serait trompé de logement ?

Ou… quelqu’un sur le toit ? En tendant l’oreille il me semble que c’est de là que vient le bruit.

J’entends le vent souffler fort dehors, alors qu’il était quasiment inexistant dans la soirée.
Nous sommes en pleine forêt, l’explication est fort simple : quelque chose tombe des arbres et vient percuter le toit métallique.

Les bruit se poursuivront ainsi un moment, et à mon grand étonnement, ils ne semblent pas perturber missdactari.
Son sommeil est d’ordinaire léger, mais pas ce soir… je retombe moi aussi dans les bras de Morphée, songeant au programme du lendemain.

[ suivant ]

  1. avec le recul je me rends compte que c’est la deuxième fois qu’une sortie d’anniversaire m’inspire une installation électrique personnelle, la gamme utilisée au Secret de Paris ayant trouvé grâce dans ma nouvelle demeure[]
  2. dans notre vocable : Vas-y, profite ![]
Lun 20
Décembre
2010

PostHeaderIcon I had a Dream

Je vérifie que mon choix, pantalon en cuir et chemise cintrée noire à ganse et poignets rouges, est harmonieux.
J’en suis satisfait, et j’obtiens une approbation féminine. Tout cela devrait se marier avec mes chaussures de ville montantes.
Nous sommes vendredi soir… et nous nous préparons avec Madame 1 .

Nous comptons sur cette soirée pour reprendre goût aux clubs, la précédente sortie nous ayant passablement déçue en termes de clientèle.

Départ pour le Dream Studio, ce soir nous sortons en mode “Mr Goormand fait son coq”.
Traduction : je sors en soirée mixte accompagné de deux femmes, Madame et missdactari.

Route sans trop d’histoires, arrivée dans le quartier et place de parking à proximité, tout cela est de bon augure.
Première bonne surprise, Greg, à l’entrée nous reconnait de suite et nous appelle par nos pseudos.
Notre dernière visite date pourtant de plus d’un an, lors de deux soirées dont la fréquentation était élevée.

Passé le vestiaire nous saluons des amis libertins que nous savions présents ce soir-là.
Nous avons rarement l’occasion de les croiser et nous empressons de papoter.
Nous évoquons nos deux précédentes soirées en ces lieux…
Nous y avions fait de belles rencontres l’an passé, certaines que nous voyons toujours de temps en temps.

Il est temps d’aller faire un petit tour du club.
Il n’a pour ainsi dire pas changé: décoration simple et efficace, à dominante rouge et capitonnages noirs, ceux-la même qui nous ont inspirés pour notre chambre.
Les coins câlins sont peu nombreux mais bien agencés et confortables, et surtout ils sont ouverts !

Nous nous installons dans les canapés et poursuivons la discussion autour d’un premier cocktail.
Le club n’est pas très rempli, et le quota d’homme est raisonnable (notion très subjective à vrai dire, ici environ un homme pour un couple).
Ils sont nettement plus soignés que ceux de notre précédente sortie, que ce soit sur la tenue ou dans le comportement.

Nous descendons sur la piste pour nous défouler un peu, puis faisons le tour des coins câlins du bas.
Ils sont déjà bien remplis et il y a de l’activité.
Nous nous attardons sur un joli couple, la femme très attirante chevauchant avec fougue un partenaire qui a fière allure.

Faute de place disponible pour d’avantage de joueurs, nous remontons à l’étage et faisons le tour des coins câlins du haut.

Ceux-ci sont désertés… et bien qu’à cela ne tienne, mettons y l’ambiance.

Nous nous asseyons sur un lit avec Madame, et commençons à nous taquiner gentiment… il s’agit entre autres de voir comment bien enlever ce nouveau pantalon.
Missdactari elle, s’installe sur un coin rond à l’opposé, et nous observe avec amusement.
Madame n’a pas l’air de se sentir d’humeur coquine pour le moment, et m’oriente vers le coin câlin où missdactari est allongée, sur le côté.

Nous commençons à nous frotter puis à nous caresser avec une intensité croissante.
Les hommes seuls qui passent s’arrêtent pour profiter du spectacle, certains restent à distance, les autres poursuivent leur tour.
Pour le moment ils ne nous sautent pas dessus avec empressement, ce qui est appréciable.

Je peux sereinement en profiter pour m’occuper sérieusement de missdactari.
Elle m’a fait part d’une envie à combler urgemment, et je sais comment arranger cela avec efficacité…
Missdactari me présente maintenant sa croupe de façon tout à fait indécente et proprement irrésistible. Ne pas y faire honneur serait tout à fait indigne de moi.
Quelques hommes se sont rapprochés discrètement mais surement, néanmoins ils attendent d’être plus ou moins ouvertement invités à entrer dans la partie.
Un tel savoir vivre mérite des encouragements, et je sais missdactari gourmande…

Elle est cambrée la tête enfouie entre ses bras. Je la fais se redresser et la saisis par les hanches afin de la positionner un peu plus en avant.
Elle peut ainsi gâter les quelques messieurs qui attendent sagement au pied du lit rond.

Ses courbes me charment, les caresses qu’elle procure à nos invités me stimulent… je profite pleinement de ce moment à la fois sensuel et interdit, dans cette ambiance feutrée et ces couleurs chaudes.

Madame se rapproche de moi et vient me prodiguer de délicieuses caresses pendant que je besogne missdactari.
Je suis l’objet de beaucoup d’attention et me sens comblé… notre couple d’amis est également en train de s’amuser à coté de nous, au bord du lit rond.
Un autre couple est tout proche, debout, son homme derrière elle la caresse et d’autres s’approchent pour en faire de même.
Je vois monter son plaisir, elle a l’air de s’abandonner totalement et cela me trouble et fait croitre mon excitation.

Un beau jeune homme vient approcher Madame, en douceur… je ne suis pas sûr qu’il lui plaira, mais il est très doux et cela semble lui convenir.
Je la laisse aller faire plus ample connaissance avec lui, sur le coin câlin juste à côté.

Rapidement, je suis totalement stimulé, presqu’en transe…

les gémissements des quelques femmes présentes, les corps et le décor, la lumière feutrée juste ce qu’il faut, la croupe offerte de missdactari…
Et finalement Madame qui se penche sur son nouveau partenaire dans des préliminaires bien avancées, tout autour de moi n’est que plaisirs.
Je sens des spasmes partir d’entre mes jambes et remonter le long de ma queue, je me sens gonfler… je vais exploser c’est inéluctable…
Je n’en puis plus et je jouis dans un râle que je ne peux ni ne veux contenir.

Je reprends mes esprits, toujours à genoux.
Je caresse le corps de missdactari pour lui témoigner la force de mon plaisir puis la laisse continuer de jouer avec les quelques messieurs présents.

Madame est en train de se préparer pour les choses sérieuses, je m’approche discrètement et lui demande si elle souhaite ma compagnie ou préfère rester en duo.
Je suis le bienvenu… mais je ne veux pas troubler son partenaire, qui ne pensait peut être pas se retrouver en trio. Je suis bien incapable de la moindre érection à ce stade et je reste donc sur le coté, suffisamment en retrait pour qu’il puisse prendre toute la place dont il a besoin et ne soit pas intimidé.

Je caresse le visage de Madame et l’embrasse tendrement, je la regarde avec plaisir se faire prendre, j’encourage d’un sourire son partenaire.
Je la sens vibrer entre mes bras… je ressens cette énergie indescriptible du plaisir montant en elle.
Il accélère ses mouvements, vigoureux… sa façon de faire semble tout à fait convenir à Madame.
A l’expression de son visage, à sa façon de basculer la tête en arrière, de crisper ses bras les paumes vers le bas, je sais qu’elle est au bord de l’orgasme.
Un grand sourire sur le visage, je me délecte déjà de la voir jouir dans un gémissement bref et puissant…
… mais, mais le jeune homme réduit soudain la cadence et s’immobilise.
Madame ouvre grand les yeux, d’une expression qui me semble située entre la surprise et la colère.
Qu’importe, je me dis que la prochaine montée en puissance viendra compenser ce rendez-vous manqué.

La cadence reprends, Madame se tend à nouveau sous les coups de rein du beau jeune homme, le plaisir monte de manière palpable.
Elle commence à manifester son plaisir croissant… mais de nouveau son partenaire abaisse la cadence et s’arrête, la laissant au bord de l’abîme du plaisir.
Je la connais, je sais qu’elle n’a pas joui… j’en suis agacé pour elle, cette fois je vais le guider et surtout lui intimer de continuer jusqu’à ce qu’elle prenne son pied pour de bon.
Hélas il met fin au jeu, et s’éloigne après quelques mots aimables.
Je m’en veux de ne pas avoir pris l’initiative de le guider plus tôt… je me sens un peu inutile aux cotés de Madame, j’aurai pu leur faire profiter de mon expérience, moi qui sait lire son corps.

Je prends la place de notre invité, pour la combler malgré tout. Je la sens tendue, j’ai à cœur de faire de mon mieux pour lui donner autant de plaisir que possible.
Bien que mon précédent orgasme soit encore proche, je suis particulièrement en forme, stimulé par la sensation de pénétration incomparable, celle qu’aucune autre que Madame ne peut m’offrir.

Nous finissons nos ébats et nous câlinons tendrement quelques instants, puis nous nous dirigeons vers le bar.
Je reste déçu au fond de moi qu’elle n’ait pas pu jouir avec un autre…  j’ai tellement envie qu’elle profite de sa soirée.

Je croise le coin rond, où missdactari est encore affairée avec quelques messieurs. L’un d’eux la doigte avec vigueur, elle a l’air d’apprécier mais je sais que cette caresse ne suffit normalement pas à la porter jusqu’à l’extase.
Il me vient une idée en tête… moi qui suis plutôt timide, ce soir je me veux un peu provocant, et je demande à Madame si je peux me permettre de la rejoindre dans quelques minutes…

Je m’invite alors auprès du lit rond et demande à missdactari si tout va bien… et si je peux être utile à quelque chose.
La réponse n’étant, comme escompté, point négative, je m’approche de son bas ventre par le côté.
Osons le dire, je m’impose aux quelques messieurs présents, qui ont probablement remarqué que j’étais accompagné de Madame et de missdactari et ne protestent donc pas.
Alors que je pointe ma langue vers le bouton d’amour gonflé par toutes ces attentions, mon congénère arrête le mouvement de ses doigts, visiblement un peu perdu. Je l’enjoins discrètement de continuer, le regard assuré, comme pour dire “je te montre comment ça marche OK ?”.

Je sens le corps de missdactari tresaillir lorsque ma langue vient au contact de son clitoris, puis m’applique afin d’être digne de mon statut de butineur.
Missdactari est très réceptive, visiblement excitée par toutes les caresses qui lui sont prodiguées ainsi que les vits offerts à sa bouche gourmande.
Elle lubrifie abondamment, faisant s’enhardir mon complice d’un instant, qui accélère le mouvement de ses doigts.
Ce petit manège vient vite à bout de missdactari qui manifeste sa jouissance d’un “Ahhhh” un peu rauque que je connais si bien.
D’un mouvement presque princier, toisant les messieurs tout autour, et fier de moi (oui je sais c’est prétentieux, mais c’est tellement bon pour l’égo) je l’embrasse et lui souffle simplement ces quelques mots : “amuse-toi bien“.

Je rejoins Madame au bar, elle est en train de causer avec notre couple d’amis, visiblement satisfaits de leur soirée.
Nous prenons un rafraichissement salvateur et continuons les discussions au bar, mêlant d’autres clients à la conversation…
Missdactari nous rejoint et se désaltère elle aussi… la soirée se poursuit en bavardages et en rires, ponctués par les allées et venues du minuscule coin fumeur.

Nous nous décidons finalement pour un dernier round avec missdactari mais nous serons bien vite rattrapés par l’heure.
Une fois encore le temps a passé trop vite, la fermeture est proche et l’on nous fait comprendre aimablement et sans aucune pression qu’il faut songer à bientôt terminer nos ébats.

Il nous faut regagner le monde extérieur et quitter le confortable Dream Studio, affronter de nouveau le froid et rentrer profiter de nous deux.
Puis finalement s’abandonner aux quelques heures de sommeil qui nous restent, et faire de nouveaux rêves, endormis cette fois-ci.

Les photos du club viennent du site Internet du Dream Studioda

  1. Si vous vous demandez pourquoi elle est mentionnée ainsi, rendez vous sur la présentation[]
Jeu 18
Novembre
2010

PostHeaderIcon Une folle journée et une folle nuit

Mi-Octobre, un lundi…
La journée commence somme toute normalement, nous discutons avec Madame, et je me mets au travail.
Certains mots ont du faire mouche…
Alors que je suis sur mon PC, elle vient me titiller et quémander de façon non équivoque de faire montre de mes talents de butineur, mais elle ne me laisse pas la faire jouir.
A plusieurs reprises, elle me nargue avec son petit abricot coquin.
Je finis par perdre patience, je n’en peux plus.

La situation dérape en une partie de sexe d’une grande intensité… des jeux que je ne vous dévoilerai pas.
Je sais vous êtes déçus, je jette un voile pudique sur l’intimité de notre couple.
Des récits plus pimentés viendront lors de futurs billets, patience !

Ce fut un moment rare, de ceux où l’ont fait des choses inhabituelles, ou l’on ne retient plus rien.
Et dont on ne se remet que lentement, ébahis, se demandant si tout cela est vraiment arrivé.
Des moments qui nous ont transportés hors du temps, de notre environnement.

La journée passe, le sourire aux lèvres, puis la soirée arrive.
Fait du hasard, ce soir il y a quelque chose à fêter.
Nous voici donc trois à table, je suis privilégié et comblé d’avoir 2 magnifiques femmes à mes côtés.

Le repas se termine, je fais quelques préparatifs et me voilà avec missdactari.
Cela fait quelques temps que nous ne nous sommes pas vus, nous avons échangé nos envies par chat depuis quelques jours.
Le désir est fort, palpable… et l’attente bientôt terminée.

Cette fois nous ne discuterons pas, même quelques mots, avant de nous sauter dessus.
Cette fois nous ne déciderons pas de qui fait quoi en premier à l’autre.
Cette fois… ce sont juste nos pulsions qui parlent, primaires, bestiales, instinctives.
Du sexe à l’état brut, plaisir convoité et trouvé, nos corps qui se mélangent, s’agrippent et s’agitent l’un sur l’autre comme s’ils allaient se consumer…
… jusqu’à la trêve, terrassés mais pas pour très longtemps.

Maintenant nous pouvons discuter un peu, reprendre nos esprits…
Maintenant nous sommes redevenus des êtres intelligents, notre cerveau reptilien a rendu le contrôle.
Nous allons enfin décider de la suite des hostilités, cette fois elle ne s’imposera pas à nous.

La première photo via 7 Fetishes
La seconde photo via Javelines Arc