Une folle journée et une folle nuit
Mi-Octobre, un lundi…
La journée commence somme toute normalement, nous discutons avec Madame, et je me mets au travail.
Certains mots ont du faire mouche…
Alors que je suis sur mon PC, elle vient me titiller et quémander de façon non équivoque de faire montre de mes talents de butineur, mais elle ne me laisse pas la faire jouir.
A plusieurs reprises, elle me nargue avec son petit abricot coquin.
Je finis par perdre patience, je n’en peux plus.
La situation dérape en une partie de sexe d’une grande intensité… des jeux que je ne vous dévoilerai pas.
Je sais vous êtes déçus, je jette un voile pudique sur l’intimité de notre couple.
Des récits plus pimentés viendront lors de futurs billets, patience !
Ce fut un moment rare, de ceux où l’ont fait des choses inhabituelles, ou l’on ne retient plus rien.
Et dont on ne se remet que lentement, ébahis, se demandant si tout cela est vraiment arrivé.
Des moments qui nous ont transportés hors du temps, de notre environnement.
La journée passe, le sourire aux lèvres, puis la soirée arrive.
Fait du hasard, ce soir il y a quelque chose à fêter.
Nous voici donc trois à table, je suis privilégié et comblé d’avoir 2 magnifiques femmes à mes côtés.
Le repas se termine, je fais quelques préparatifs et me voilà avec missdactari.
Cela fait quelques temps que nous ne nous sommes pas vus, nous avons échangé nos envies par chat depuis quelques jours.
Le désir est fort, palpable… et l’attente bientôt terminée.
Cette fois nous ne discuterons pas, même quelques mots, avant de nous sauter dessus.
Cette fois nous ne déciderons pas de qui fait quoi en premier à l’autre.
Cette fois… ce sont juste nos pulsions qui parlent, primaires, bestiales, instinctives.
Du sexe à l’état brut, plaisir convoité et trouvé, nos corps qui se mélangent, s’agrippent et s’agitent l’un sur l’autre comme s’ils allaient se consumer…
… jusqu’à la trêve, terrassés mais pas pour très longtemps.
Maintenant nous pouvons discuter un peu, reprendre nos esprits…
Maintenant nous sommes redevenus des êtres intelligents, notre cerveau reptilien a rendu le contrôle.
Nous allons enfin décider de la suite des hostilités, cette fois elle ne s’imposera pas à nous.
Conclusion l’homme est un animal… et plus si affinité 🙂
L’homme un animal comme un autre ?
Je le crois.
Et j’ai toujours été autant attirée par un câlin bisounours, que par du sex bestial ( l’un pouvant suivre l’autre, et dans les 2 sens ).
L’homme est peut être le seul à avoir en plus le côté ludique, permettant des jeux à mi-chemin entre le bisounours et la bête sauvage, faisant intervenir et travailler les neurones.