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Nature Sauvage (Ébats Crépusculaires)
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La luminosité du sous-bois déclinante nous permet de trouver, un peu hésitants, notre chemin.
Mon sens assuré de l’orientation, aidé du plan du parc nous permettent de nous en sortir sans faux pas.
Missdactari constate avec une légère inquiétude qu’il n’y a effectivement aucun balisage lumineux pour notre retour.
Je sais sa nature plus ou moins aventureuse selon les domaines.
Aussi je cède volontiers à sa demande de vérifier que le matériel d’éclairage qu’on nous a confié fonctionne.
Nous croisons ça et là quelques installations hébergeant oiseaux, batraciens et rongeurs, ainsi que des reproductions géantes d’animaux disposées sur le parcours.
Notre chemin nous ramène à la civilisation, via la ferme puis le grand bâtiment ou nous prendrons le dîner.
Celui-ci jouxte une immense plaine se prolongeant d’une vaste étendue d’eau. On distingue juste sous l’horizon la lisière d’un bois.
D’après le plan cette partie du parc abrite des ours, mais nous n’aurons pas l’occasion de les voir durant notre séjour.
Semblable à un documentaire animalier sur la savane, la plaine qui nous fait face grouille du mouvement de nombreux animaux, principalement des cervidés.
Le dîner étant à heure fixe, nous rejoignons la salle de restaurant sans tarder, et constatons avec plaisir que nous pouvons de notre table continuer nos contemplations.
Les cerfs, daims et mouflons sont habitués à la présence de l’homme, n’hésitant pas à approcher les promeneurs, ou venir sous nos fenêtres.
La carte nous rappelle que nous sommes dans le pays de la mirabelle, y compris en ce qui concerne l’apéro.
Le menu qui nous est proposé, à défaut d’être typique de la région lorraine, est bien agréable.
Nous profitons tranquillement de notre repas, la grande salle de restaurant n’étant occupée que part les quelques couples ou familles qui occupent un logement pour la nuit.
D’ailleurs, le jour décline à mesure que nos estomacs se remplissent, et nous ne voyons bientôt plus rien de la grande plaine aux cervidés…
Sans hâte, mais impatients de regagner notre repaire, nous finissons notre repas et vérifions que notre éclairage de fortune fonctionne, avant de nous lancer sur les traces du chemin du retour.
Celui-ci s’avère être une véritable expédition… en effet aucune partie du parc n’est éclairée ni balisée la nuit.
Je fais appel à ma mémoire topographique et à l’image de la carte du parc pour nous orienter.
Missdactari ne semble pas du tout à l’aise et je tente de la rassurer de mon mieux, tout en restant attentif au moindre détail qui pourrait indiquer que nous faisons fausse route.
Les bruits de la forêt mêlés à la faible lumière dont nous disposons donnent une ambiance pesante digne d’un film d’horreur.
Sans faux pas, et soulagés d’arriver à bon port, nous regagnons notre antre, illuminé par les éclairage intégrés au sol extérieur.
Nous prenons rapidement nos quartiers, et nous débarrassons de nos manteaux, lanternes et lampes torches.
Je suis tenté d’essayer l’éclairage led dont on nous a vanté les mérites, et me saisis de la télécommande.
Celle ci pilote plusieurs bandeaux lumineux dont on peut changer les couleurs à loisir… 1.
Après quelques minutes à jouer avec les ambiances lumineuses dans divers endroits du lodge, je propose de profiter de l’ambiance nocturne avec un éclairage rose tamisé dans un le jacuzzi.
Frileuse, Missdactari propose une autre alternative : nous avons un beau lit double avec une épaisse descente de lit à tester, d’autant qu’elle a amené quelques accessoires.
Ayant choisi un éclairage adapté, nous tournons autour du lit quelques minutes, et procédons à un effeuillage sans hâte.
Nous nous apercevons que notre accessoire principal, qui n’est autre que l’indétrônable Fairy, n’est pas suffisamment chargé et risque de nous lâcher en pleine action.
Devant cette inacceptable perspective, nous le branchons sur secteur en vérifiant que la longueur de câble ne sera pas un obstacle (merci les prises sous les tables de nuit).
Une fois nus sur le lit, la miss me donne sa vision des choses : une préparation comme je sais les lui prodiguer, ensuite il s’agira d’aller droit au but pour un maximum de plaisir en en minimum de temps…
Séduit par l’enchaînement, j’allonge la belle en travers du lit, m’assure de son confort, et je prend place entre ses cuisses.
Je commence par embrasser puis titiller du bout de ma langue son clitoris encore sage. Je donne quelques coups de langue brefs et appuyés, ce qui ne tarde pas à le faire réagir avec vigueur.
Relâchant mon étreinte buccale, je commence à laper, nonchalant, partant de son œillet jusqu’à son clitoris, dessinant tous les reliefs de son intimité au plus près de ma langue.
Chaque passage révèle plus encore le gout délicat de la cyprine qui commence à imprégner tout le fruit défendu.
Il me vient alors une idée : elle m’avait parlé il y a quelques temps d’un homme qui l’avait léchée en posant sa langue à plat tout le long de son intimité.
Cela lui avait fait beaucoup d’effet, mais il manquait quelque chose pour que ce soit totalement satisfaisant.
Aussi je m’aventure à plaquer le centre de ma langue sur son clitoris bien dégagé, pendant que le bout titille juste au dessus de l’entrée du vagin.
C’est à croire que ma langue a exactement la forme et la longueur requises… je parviens à la faire onduler assez facilement de façon à produire de lentes caresses appuyées sur son bouton.
Je m’interroge sur les sensations produites, mais un vif soupir emplit de surprise ne me laisse aucun doute.
Ce n’est qu’une question de secondes avant que la miss ne réclame son dû… mes “Uniques” sont à portée de main, et je m’assure d’être prêt à l’assaillir à tout moment.
Suspendu à sa voix encore quelques secondes, le “prends moi” vient sonner l’heure de la chevauchée.
Je libère pour un bref instant mon étreinte polymorphe : mes mains qui étaient encore à l’instant enroulées fermement entre ses cuisses, vont bientôt enserrer sa taille.
Alors que Missdactari m’offre la plus belle vue sur sa croupe, je m’approche et m’équipe de la coiffe phallique Unique de rigueur.
Le jeu est clair : pas de quartier… je m’enfonce donc d’un trait au plus profond d’elle et perçois son gémissement dans un souffle.
Je me tiens immobile, elle se saisit alors du Fairy et le rapproche de son entrejambe.
Mains entre les cuisses, épaules à plat sur le lit, sa cambrure est à se pâmer.
Mon bas ventre ajusté contre ses fesses, je me sens l’emplir de bien belle manière.
Elle plaque le jouet rose et blanc sur son intimité, et enclenche de suite la vitesse maximum.
J’assène immédiatement les premiers coups de boutoirs, réguliers et vigoureux, ne prenant aucune précaution pour ménager ma partenaire.
Plutôt que la cadence, je privilégie l’amplitude du mouvement, et la force de chaque coup de rein.
J’accélère progressivement le mouvement… je veux que son plaisir soit maximal, absolu et inévitable.
Sa voix se fait rapidement entendre, laissant deviner avec quel galop s’approche l’orgasme
Ses cris de plus en plus enlevés, sa lubrification abondante m’encouragent, je ne m’autorise aucun répit et me dévoue tout entier à ma noble entreprise.
Serrant ses hanches avec force, pilonnant son intimité avec détermination, je me sens tel une fucking machine prête à la transpercer.
Un dernier gémissement rauque, teinté d’étonnement, d’émerveillement même, précède le bouquet final.
Ses cris emplissent le lodge, tandis que je maintiens l’effort tel le sprinter qui vient à peine de franchir la ligne d’arrivée.
Sa longue plainte m’évoque celle des loups qui sont juste là, dehors.
Elle se relâche, terrassée par notre accouplement animal, laisse aller le jouet et semble à demi-absente, le souffle court.
Son expression est à la frontière entre le fou rire et les larmes… elle se tourne lentement sur le côté, comme si elle était blessée.
Dans le mouvement, j’aperçois son intimité indécente, outragée et outrageante, trempée par l’excitation aussi subite qu’intense.
Je profite de l’accalmie pour reprendre mon souffle, mon érection revient demander son reste.
La belle récupère vite, et je sais qu’il ne faudra pas attendre bien longtemps pour que je ne puisse à nouveau coulisser en elle, et atteindre à mon tour le nirvana.
Le regard vague mais bienveillant, elle se tourne sur le dos.
“Bon lapin 2 et après dodo” me souffle t-elle, pour me faire comprendre qu’à ce régime là, il n’y aura pas de second round, victoire par KO.
L’assaut l’a laissée accueillante, et je ne prends, une fois de plus, aucune précaution particulière pour la pénétrer.
Enthousiasmé par nos effusions précédentes, je me focalise sur mon propre plaisir.
Ma langue va à la rencontre de ses seins, qu’elle saisit et me présente, pendant que j’ondule sur elle et profite des sensations voluptueuses de la pénétration, dont j’adapte la cadence à ma guise.
Je m’abandonne et laisse monter cette sensation qui pointe sur la couronne de mon gland, presque imperceptible… elle s’étend progressivement, comme par petits cercles concentriques, à toute la verge.
Cette sensation, par je ne sais quelles circonvolutions m’emmène, grandissante, vers un délicieux plaisir.
Le plaisir me gagne tout entier et se transforme en ras de marée, je suis au paroxysme de la rigidité.
La jouissance me submerge tandis que j’assène à la belle tel un baroud d’honneur, quelques derniers vigoureux coups de bassin.
Je sens ma semence s’écouler et tenter de la rejoindre.
Immobile pour quelques instants, terrassé, je profite de ces quelques secondes de grâce post-orgasmique, celles où la plénitude prend tous ses droits.
Ma tête se pose au creux de son épaule, je bredouille quelques mots.
Nos corps s’éloignent un peu, je m’allonge à demi sur elle, me positionnant de façon à accéder à sa poitrine, pour la caresser et en jouer avec la pointe de ma langue, mes mains la parcourent.
La nuit est déjà bien avancée, il n’y aura effectivement pas de combattants pour un second assaut ce soir.
L’appel de la couette nous fait sortir de notre tendre torpeur, nous avons envie de nous mettre au chaud, de profiter du confortable lit pour un repos bien mérité.
Le contraste entre le confort de notre lodge, et l’isolement du sous-bois est plaisant.
Je profite à plein de cet environnement loin du tumulte des hommes, proche de la nature, parmi les loups, fatigué et béat.
Le sommeil ne tarde pas à m’emporter avec douceur…
Jusqu’à ce qu’un bruit métallique et sourd m’en sorte en sursaut.
je suis vite en éveil… nous sommes en forêt, nos plus proche voisins sont loin, personne n’a rien à faire ici.
Alors d’où vient ce bruit, qu’est ce qui peut bien cogner à ce point ?
De nouveau, ce bruit inquiétant… se pourrait-il que quelqu’un rode et tente d’accéder au lodge ?
N’étant pas sujet au stress, surtout la nuit, je tente de réfléchir et de déterminer la cause de ce bruit.
Ca cogne, encore… fort, sourd. Y a t-il un souci dans le parc, vient-on nous évacuer ?
Un autre hôte qui se serait trompé de logement ?
Ou… quelqu’un sur le toit ? En tendant l’oreille il me semble que c’est de là que vient le bruit.
J’entends le vent souffler fort dehors, alors qu’il était quasiment inexistant dans la soirée.
Nous sommes en pleine forêt, l’explication est fort simple : quelque chose tombe des arbres et vient percuter le toit métallique.
Les bruit se poursuivront ainsi un moment, et à mon grand étonnement, ils ne semblent pas perturber missdactari.
Son sommeil est d’ordinaire léger, mais pas ce soir… je retombe moi aussi dans les bras de Morphée, songeant au programme du lendemain.
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- avec le recul je me rends compte que c’est la deuxième fois qu’une sortie d’anniversaire m’inspire une installation électrique personnelle, la gamme utilisée au Secret de Paris ayant trouvé grâce dans ma nouvelle demeure[↩]
- dans notre vocable : Vas-y, profite ![↩]
Une journée d’anniversaire bien remplie (partie III)
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Missdactari semble impatiente d’arriver au terme de cette journée, ma foi fort bien commencée. Je ne connais pas les détails de l’endroit où elle nous emmène, mais je sais que c’est un lieu qui devrait sortir du commun.
Nous descendons la rue de Clichy, chose qui m’étonne car ce quartier n’est pas nécessairement réputé pour ses hébergements luxueux 1.
En quelques minutes pourtant, nous arrivons à l’angle de la rue de Parme, et une lumière violacée attire mon regard.
C’est là qu’est niché l’Hôtel Design Secret de Paris, un établissement récent qui cède à la mode (bien agréable) des petits hôtels intimistes et hauts de gamme. En pénétrant à l’intérieur, on passe dans un autre monde. Oubliée la banalité de la rue de Clichy, le bruit des voitures… Ici tout est fait pour émerveiller le regard et apaiser les oreilles.
Le hall d’accueil donne le ton : ici, on soigne les détails et on ne fait pas dans l’approximation.
Nous sommes accueillis avec beaucoup d’attention, et l’on prend le temps de nous présenter les installations de l’établissement et de nous donner toutes les informations utiles pour notre séjour.
On nous demande aussi combien de nuits nous avons réservé… Question qui peut vite agacer, on se sent déjà bien et l’on évoque sans aucune précaution la possibilité que tout cela doive se terminer !
J’apprends que les chambres ont différentes thèmes, et je me rappelle alors un commentaire que m’avait fait la miss il y a un certain temps sur un hôtel qui proposait diverses chambres, dont une sur le thème de l’Opéra, qui lui est cher.
Il semble qu’elle avait préparé sa surprise depuis longtemps, c’est pourtant SON anniversaire !
Notre hôtesse nous mène à notre chambre et nous laisse ensuite tous les deux.
L’impression de cocon est très forte, la chambre n’est ni trop grande ni trop petite, la décoration et les finissions sont travaillées. Même les mitigeurs sont signés du nom de l’hôtel.
Le thème reprend l’image d’une lucarne avec des photos des toits de l’Opéra Garnier. Une barre de danse sur laquelle sont lacés des chaussons fait office de tête de lit.
Les commandes d’éclairages sont tellement élaborées qu’elles en seraient presque complexes, mais permettent de donner à la chambre de multiples ambiances, plus ou moins tamisées.
La pièce maitresse, hormis le lit, est dans la pièce à côté : une grande baignoire d’angle qui propose la fonction jacuzzi, et un éclairage de l’eau dans différentes couleurs.
Je suis surpris par un point : notre chambre donne dans la rue, et pourtant il y règne un calme olympien.
Un rapide coup d’œil aux fenêtres donne l’explication : un double vitrage extérieur auquel on a ajouté un autre niveau de double vitrage, le résultat est imbattable !
Nous nous déposons rapidement nos affaires et je suis chargé de faire couler l’eau. Très chaude bien sûr, connaissant la frilosité de la miss.
Bien qu’habitués aux grands jacuzzis, avoir sa baignoire balnéo dans un cadre aussi intime est une toute autre expérience.
Et nous n’avons jamais eu cette opportunité auparavant… nous voilà donc à tester les différentes possibilités de l’engin 2
Une fois trouvés la meilleure combinaison bulles / couleur, nous nous relaxons et laissons aller nos mains. Mes mains glissent dans l’eau et suivent les formes de ma délicieuse maitresse, dessinés par l’éclairage inhabituel.
Difficile de rester de marbre dans ces conditions, cependant la baignoire n’est pas non plus gigantesque, et l’on ne peut guerre s’y ébattre sauvagement.
L’assise qui est dessinée dans l’angle en revanche, pourrait bien receler un potentiel coquin. Il nous faut impérativement tester cette configuration inédite !
Nous expérimentons donc alternativement la “balnéo-gâterie”, tout en rajoutant régulièrement de l’eau chaude pour nous maintenir dans les meilleures dispositions.
Je ne saurai dire ce qui a ma préférence entre le plaisir d’une fellation appliquée, calé dans l’angle de la baignoire, caressé par la vapeur d’eau et la double sensation de chaleur humide dispensée tant par la baignoire que par le délicat fruit que je butine.
Quoi qu’il en soit les bienfaits en sont incontestables 3.
A la fois relaxés et électrisés nous prenons le lit d’assaut, laissant derrière nous une salle de bain toute embuée.
La literie est à l’image du reste de la chambre, parfaitement agréable. Du moins pour dormir… mais il n’en est pas encore question !
Nous avons à cœur de finir la soirée en apothéose, ce n’est pas un jour comme les autres !
Et nous ne pouvons fêter cet anniversaire sans une levrette dans les règles de l’art.
Si l’absence de grincement est bien appréciable, le mieux s’avère parfois l’ennemi du bien : la douce texture de la couette n’est pas des plus adaptée à un accouplement musclé.
Il en faut plus pour nous décourager, et nous réglons bien vite le risque de dérapage en adoptant un positionnement plus adapté (bénie soit la souplesse de Missdactari, en même temps on n’est pas dans la chambre “Opéra” pour rien !).
Après tant de plaisirs qui se sont additionnés tout au long de la journée, je m’abandonne à un orgasme long et intense, dévastateur.
Malgré l’épuisement, il est hors de question de s’endormir sans avoir mis à profit le cadeau de l’an dernier : le Fairy.
Ce dernier est mis à contribution et bien vite il confirme sa redoutable efficacité ! C’en est presque désarmant de voir de quelle manière implacable il peut conduire, en bien peu de temps, une femme à l’orgasme.
Mais il eut été trop simple de s’arrêter là, et je décide d’ajouter ma cerise sur le gâteau.
Je suis bien décidé non seulement à avoir le dernier mot, mais également à ne laisser aucune bribe d’énergie à Missdactari, qui ne soit transformée en jouissance.
Après m’être assuré qu’elle capitule, visiblement terrassée, nous nous accordons un repos des guerriers bien mérité, et je tombe bien vite dans un profond sommeil…
… sommeil dont je suis très agréablement sorti par une très douce et très agréable sensation.
Avec beaucoup de délicatesse la miss cajole ma hampe fièrement érigée, et n’accélère le rythme que lorsque je me montre aussi bien réveillé.
C’est donc une journée qui commence bien, très bien même !
Malgré mes envies de “petit déjeuner au lit” la tête enfouie entre ses jambes, Missdactari m’enjoint de me préparer pour un repas plus nourrissant.
L’effet cumulé des différents traitements de la veille ne semble pas s’être encore dissipé, nous prenons donc le chemin du buffet.
Confortablement installés dans les fauteuils club violet, nous profitons de la variété des mets proposés.
Nous observons le personnel, la décoration… nous faisons des commentaires sur le lieu, sur notre journée mémorable.
Nous devisons sur les autres clients. Sont-ils venus eux aussi profiter d’un si bel écrin pour s’ébattre ?
Ou ne sont-ce que des voyageurs blasés, habitués des lieux, n’ayant trouvé que le repos à défaut de fougue ?
Le soleil nous accompagne sur le chemin qui nous ramène vers une vie “normale”, et nous commençons déjà à élaborer des plans pour le prochain opus.
Crédits photos : première, deuxième et dernière photo viennent du site officiel de L’Hôtel Design Secret de Paris, la troisième et quatrième de tripadvisor.
- d’ailleurs si vous regardez l’adresse de l’hôtel sur Google Street View, vous verrez que l’endroit était pour le moins délabré il y a encore quelques années[↩]
- la baignoire, dans un premier temps… what did you expect ?[↩]
- note à moi-même : tenter d’intégrer une baignoire balnéo dans ma future lapinière[↩]
Happy Birthday missdactari
Aujourd’hui est un jour spécial… missdactari fête son anniversaire !
Comme en témoigne cette photo, le lapin rose sera là pour célébrer l’évènement comme il se doit !
Le planning de l’après midi est bien rempli, et peut être une partie sera contée ici ?
En attendant Miss, si tu lis cet article avant le début des hostilités, voici un indice concernant ton cadeau…