Archive pour la catégorie ‘Vie du Blog’
Happy (?) New Year
L’année 2017 aura été, me concernant, des plus mouvementées.
Très difficile et chaotique par bien des aspects, avec par ailleurs de très beaux moments et des rencontres magnifiques.
Quoi qu’il en soit 2018 sera une année de changements, avec son lot de bonnes résolutions.
Pinky se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne et heureuse année, en oubliant pas le principal : la santé.
Et qu’avec elle vous puissiez faire tout ce qui vous rend heureux, et vivre le moment présent avant qu’il ne s’échappe.
Fêtes ce qu’il vous plait
Le billet de fin 2014 constatait la maigre production de l’année et espérait un regain en 2015.
Force est de constater qu’il n’aura pas été fulgurant, bien que les sorties soient toujours au rendez-vous.
Pour autant, la série “nature sauvage” est en cours d’achèvement, sera t’elle complétée avant la saint Sylvestre ? Rien n’est moins sûr.
La bonne nouvelle en revanche, c’est que de nouveaux billets sont déjà écrits, et seront prochainement en ligne.
Pinky et moi même vous souhaitons de très agréables fêtes de fin d’année.
Hibernation ?
Le moins que l’on puisse dire en regardant sur le cadre de droite “Tous les billets”, c’est que le cru 2014 n’est pas terrible…
Un teaser et un billet d’une série qui reste à compléter : on est proche du néant.
Les raisons demeurent depuis 2 ans professionnelles et familiales, mais j’ai l’espoir que la tendance s’inverse… prochainement.
Ce sera en tout cas une des résolutions de 2015, mais comme vous le savez ce genre de bonnes résolution demeurent pour certaines, éphémères…
Nous verrons !
Merci en tout cas à la poignée de lecteurs qui passent ici, je vous souhaite à toutes et tous de bonnes fêtes de fin d’année.
Que 2015 vous apporte tous les plaisirs qui vous font envie !
Ce soir, j’irai au Bal… des Princesses.
Comme je le relatais déjà, le temps est une ressource dont je ne dispose que très peu depuis un certain nombre de mois.
Préférant sortir que d’écrire (je sais c’est mal) le blog en pâtis.
Ce soir je fais exception à la règle, doublement même : j’écris ces quelques lignes, et ma sortie devrait être plus sage qu’à l’accoutumée : le Bal des Princesses 2014.
Je ne serai pas déguisé en lapin, inutile de m’y chercher sous cette forme si vous y participez.
Et si vous venez sur le blog suite à la soirée (qui sait), je vous invite à feuilleter ces quelques pages (NSFW).
Suivez le lapin blanc (ou rose)
En ces derniers jours de 2013, il est un constat facile à faire : ma productivité sur le blog aura été pour le moins médiocre.
La faute entre autres à une maîtresse que nous avons en commun avec CUI : le travail.
Et aussi à nombre de changements personnels, qui pointaient déjà il y a un an.
Faute de temps il a fallut arbitrer entre continuer les sorties, ou bien écrire.
Ne vous en déplaise, le choix n’a pas été en votre faveur (sauf pour certaines, peut être ?).
Pour tenter humblement de me faire pardonner, voici deux clichés.
Un du lapin blanc (ze original, une fois n’est pas coutume) illustrant une des nombreuses activités qui m’ont tenues éloigné du blog.
Et une autre du lapin rose…
Cyber décapitation et plomb dans l’aile
Le site Internet du Roi René (qui fut pendant longtemps le plus vieux club libertin de France) ne répond plus.
La fermeture de l’établissement était annoncée depuis l’été dernier, ainsi qu’une réouverture maintes fois repoussée.
Avec la disparition du site Internet éponyme, les chances de voir l’établissement renaître semblent s’amenuiser.
Les dernières nouvelles de leur page Facebook (encore en activité) ne sont pas bien enthousiasmantes, une tentative pour trouver un nouveau local ayant échouée en avril dernier.
Ces difficultés me rappellent un autre club disparu en Juillet 2011 : le No Comment.
Le lieu a été repris depuis par quelques célébrités, qui en ont fait une discothèque branchée, jouant sur le côté “ancien club échangiste”.
Hélas, une réouverture de l’établissement sous sa forme libertine n’a pour l’heure pas officiellement aboutie.
J’espère que l’indisponibilité du site Internet du 7ème ciel depuis quelques jours, n’est pas le présage d’un atterrissage forcé.
Le moins que l’on puisse dire c’est que l’écosystème des clubs parisiens est en mouvement, à l’instar de l’ouverture du Rituel Foch, dont je vous commenterai ma récente visite d’ici peu.
[Petite mise à jour du 3/02/2015 : Le site du no comment club ne répond plus… en revanche les anciens propriétaires du club libertin ont ouvert le taken club il y a déjà un an ! Quant au 7ème Ciel, je vous laisse prendre connaissance des commentaires…]
Une journée d’anniversaire bien remplie (partie I)
Comme l’indique missdactari ICI le dernier jour d’Août nous fêtons (dignement bien sûr) son anniversaire.
La folle journée de 2011 avait d’ailleurs donné lieu aux 3 billets “Triathlon“.
Cette année, après une ébauche de programme “jeux glaulympiques”, la miss s’est finalement orientée vers une journée shopping / club / restau / hôtel.
Un agenda plus orienté vers les plaisirs que la performance donc, oserais-je même dire “plus romantique” ?
L’objet de ce billet est de revenir en particulier sur certains points, le récit de missdactari étant déjà assez riche.
Je ne saurai trop vous conseiller d’aller relire sa publication pour avoir tout l’agenda en tête.
Et comme je vais parler surtout de ce qui m’a plu… ce billet va être long !
Il sera donc publié en plusieurs parties… et plein de bons sentiments !
Retour en arrière…
31 Aout 2012, H-1.
Je m’efforce de ne pas être en retard 1 et me désole de ne pas avoir encore reçu la petite surprise commandée sur Internet.
En guise de cadeau, il est prévu que je lui offre un petit quelque chose lors de notre journée, mais il y manque à mon goût l’effet de surprise.
De plus elle m’a indiqué ne pas vouloir de “joujou” puisque son Fairy est indétrônable… et que je n’arrive décidément pas à trouver une volontaire pour un poney-plug.
La position dominante du Fairy étant avérée, je me décide donc à lui adjoindre un accessoire, hélas ils ne sont pas si faciles à dégoter.
Le site sans prétention sur lequel j’en ai trouvé un me semble bien artisanal, et je crains d’être livré dans un “certain” délai, voire pas du tout.
Alors que je prépare mes dernières affaires (car ce soir, je découche) la sonnerie me donne une lueur d’espoir.
Serait-ce la livraison de l’accessoire tant espéré ? L’adresse de l’expéditeur sur le colis me le confirme…
Ô Joie j’aurai donc une petite surprise pour ce soir !
Je glisse la boite dans ma sacoche et me voici parti pour rejoindre la miss, et démarrer par notre déjeuner de sushis.
Il y a pléthore de recettes et je me lance donc dans l’originalité (pas forcément traditionnelle, mais la nourriture est bonne).
Une salade “machin bizarre au poulpe” selon la dénomination missdactarienne, et des “tatakis” qui sont des sashimis mi-cuits et assaisonnés.
La journée commence bien comme le souligne la miss dans son article, même si effectivement nous ne sommes pas d’accord sur la signification du regard appuyé de certaines clientes envers la serveuse.
Elle y voit une simple faim de loup, et moi une possible attirance.
Je commence d’ailleurs à me demander, à la lueur d’une récente sortie 2, si je ne vois pas des lesbiennes partout…
Mais je maintiens que ce regard n’était pas en provenance de l’estomac… toutefois il s’agissait peut être simplement de jalousie ?
Oui, avouez mesdemoiselles et mesdames, vous vous êtes déjà dit en regardant une rivale “argh comment elle est gaulée cette garce” et bien “elle l’a trouvé où sa robe, elle irait mieux sur moi!”.
Avec le recul j’opterai plutôt pour cette explication.
A ma décharge je dois avouer que mon côté féminin doublé d’une propension à la “fashion-victimisation” grandissante me fait également avoir ce genre de pensées.
Passons donc à la suite du périple, et la découverte d’une sélection de love-shops.
Il s’agit ici d’établissement “nouvelle vague”, comme on en voit fleurir partout… bien loin des traditionnels sex-shops tapis derrière une tenture, et où une femme devait avoir le cœur (et le string) bien accrochés pour oser entrer.
Missdactari a effectué une sélection méticuleuse et un plan de route optimisé, gloire soit rendue à son très grand sens de l’organisation.
Deux points m’ont particulièrement marqué lors de ces visites :
- Concorde tout d’abord… j’avais déjà visité leur magasin du Boulevard de L’Hôpital il y a plusieurs années (peut être une dizaine ?).
A l’époque ils se voulaient “supermarché du sexe” et mettaient en avant ce côté non-glauque et “décontracté” du sex-shop.
Un choix visionnaire puisque c’est aujourd’hui un mouvement général sur le marché de l’accessoire pour adulte.
La présentation actuelle du magasin a d’ailleurs bien évolué depuis mes précédentes visites.
Décoration claire et lumineuse, choix d’articles élargi, montée en gamme : la vente d’articles à connotation sexuelle s’est décidément démocratisée.
La présence de jeunes clientes dans le magasin ne trompe pas, ce marché a vécu une véritable révolution.
Je reste malgré tout surpris par la place accordée aux DVD vidéo, dont la qualité semble très inégale, à l’heure où les vidéos porno sont facilement accessibles sur le web, le tout gratuitement.
- Mais il y a une enseigne qui a poussé ce concept beaucoup plus loin: il s’agit de Dollhouse.
L’enseigne s’adresse en priorité aux femmes, d’ailleurs l’accès y est interdit aux hommes non accompagnés.
Un bon moyen d’éviter les dérives, les hommes accompagnés étant généralement plus enclins à bien se tenir.
Pour autant, en tant que représentant de la gente masculine, je ne me suis pas senti oppressé (il faut dire que je ne suis pas allergique au rose).
Et pour cause: hormis la présence de quelques articles destinés aux hommes, le discours part du produit mais n’oublie pas d’inclure le rôle des messieurs.
En Bref : ambiance feutrée mais détendue, choix de produits plutôt haut de gamme, conseils avisés et discours sans détours: nous sommes là dans un univers qui parle aux femmes, et leur parle de plaisir !
Paradoxalement, même si c’est de toutes les boutiques visitées celle qui m’était le moins destinée, j’ai adoré le concept et l’accueil.
Pas tant dans une perspective de “client” (même si c’est là que nous avons trouvé un cadeau pour la miss), mais dans l’absolu parce que ce type d’établissement apporte vraiment un plus.
Enfin un endroit où les femmes peuvent choisir un sex-toy tranquillement, être conseillées, par une vendeuse qui a visiblement donné de sa personne pour connaitre sa gamme !
A toutes celles qui n’osent pas franchir la porte d’un sex-shop ou d’un love-shop, mais veulent faire l’acquisition d’un “joujou”, n’hésitez plus !
Au risque de me faire taxer de féminisme démago, je suis favorable à tout ce qui contribue à ouvrir l’accès du plaisir aux femmes, selon leurs propres choix et leur propre envies.
A ce titre, Dollhouse mérite amplement ce “coup de pouce” de ma part.
Après ces découvertes menées tambour battant, dans un timing d’orfèvre, il est temps de descendre dans notre antre du libertinage : les Chandelles !
[ suivant ]
Crédits photos : Planetsushi, Concorde, page Facebook de Dollhouse.
Maison Close et Roi Fermé
Une malédiction s’abattrait-elle sur le libertinage de l’Ouest Parisien ?
Toujours est-il qu’entre l’ouverture reportée de la Maison Rose à Meulan, et la fermeture “temporaire pour une durée indéterminée” du Roi René à Ville d’Avray, il y a de quoi se poser la question.
Pour la Maison Rose, les travaux ne seraient pas terminés, apprend t-on via les réseaux sociaux 3 jours avant la soirée d’inauguration présumée.
La plupart des messages on disparu du mur, et le numéro de mobile envoie sur une messagerie qui n’est même pas personnalisée.
A l’évidence, la gestion du planning des travaux est aussi brillant que la communication…
Une recherche sur l’adresse montre qu’elle fût une discothèque (l’Eclipse), proposant par la suite en alternance des soirées Gay.
L’an dernier c’est sous le nom “VIP Club” que le lieu devait finalement s’ouvrir aux libertins les soirs de semaine, tout en restant une boite de nuit traditionnelle les Week-Ends.
Malheureusement, le projet n’a jamais abouti.
Ce report a de quoi laisser perplexe sur les chances d’une réelle ouverture d’un club libertin à Meulan.
Avec ce report, on espère que les travaux seront à la hauteur, chose que nous ne manquerons pas de vérifier lors de l’inauguration (en septembre 2013 ?)
Quant au Roi René, il s’agirait d’un problème de bail, avec une ré-ouverture qui devrait intervenir au mois de septembre, apprend-on sur le site Internet du club 1.
Au moins la communication est efficace et ne laissera pas les clients en plan !
On espère toutefois que ce soucis ne va pas devenir “temporaire à titre définitif”, et que la cause ne va pas au delà d’un simple différent commercial.
Sale temps pour les libertins qui sont à l’Ouest…
- site fermé depuis[↩]
Une bougie de plus…
Ce dernier jour d’Août, missdactari souffle une nouvelle bougie…
Quoi de plus naturel alors que de le fêter aux Chandelles ?
Le thème de cette journée devait initialement être “les jeux glaulympiques”, pour faire suite au Triathlon de l’année dernière, et être en ligne avec l’actualité.
Et pourtant, à l’heure ou ce billet apparaîtra sur la toile, nous serons probablement dans un lieu qui sera tout sauf glauque.
Happy Birthday missdactari !
Mise à jour du 3 septembre : missdactari nous raconte cette journée plus en détails ici : http://missdactari-blog.blogspot.fr/2012/09/cette-annee-encore-un-superbe.html
WE mais non…
La politique tarifaire d’un club est un sujet qui revient souvent sur la table entre libertin.
Tel club est moins cher, ou offre de meilleures prestations, de meilleurs horaires d’ouverture, est plus propre, les boissons sont moins chères etc…
Sans parler des tarifs pour les hommes seuls par rapport aux couples, des femmes seules qui payent ou non, il y a toujours un débat animé entre libertins qui discutent de leurs clubs préférés (ou non).
C’est dire si la politique tarifaire d’un club est quelque chose de sensible et de hautement stratégique, d’autant que la concurrence des soirées privées est réelle.
Lors d’une récente visite au WE, j’ai pu (avec quelques amis et amies) vérifier comme une politique de tarif inadaptée pouvait poser des soucis.
En effet, depuis le mois de Juin le club ouvre désormais les vendredi après-midi et propose l’entrée “libre” aux couples et femmes seules.
Ce produit d’appel a sans doute pour but d’amener les couples et femmes seules à fréquenter le club sur ce nouvel horaire, en vue de se rattraper sur les entrées “hommes seuls” par la suite, puisque sur cet horaire le club est mixte.
Bref, rien de bien nouveau, certains clubs pratiquent déjà ce genre de tarification, bien qu’elle soit souvent assortie de “consos obligatoires” (ce qui revient à une entrée à faible tarif avec conso incluse, en fin de compte).
Le site du WE indique des consommations à 18 €, sans caractère obligatoire. Même si l’on dit généralement que la limonade fait vivre les établissements nocturnes, on dépasse là le record du No Comment, qui vous douchait déjà bien avec le soda à 15 €.
Malgré notre première intention, par cette offre alléchés, nous décidons pour cette sortie à 5 (dont 3 femmes) de tester la formule, d’autant que 3 d’entre nous ne connaissent pas encore le WE.
Nous passons un bon moment dans ce club à l’architecture pour le moins verticale 1 mais aux coins horizontaux toujours aussi agréables.
Petite nouveauté depuis notre dernière visite : le filet qui permettait de coquiner tout en voyant / se faisant voir du niveau inférieur a disparu, et un coin câlin s’est transformé en blackroom.
Ces changements montrent que le club est entretenu et que de petits ajustements y sont effectués régulièrement, ce qui est toujours appréciable.
C’est dommage pour le filet qui avait un côté fun et inédit, mais il faut reconnaître que ce n’était, en pratique, pas confortable du tout.
Nous laissant déborder par le temps (qui passe toujours trop vite lorsque l’on est en bonne compagnie) une partie de groupe se voit contrainte de quitter les lieux sans délai.
Au moment de récupérer leurs affaires, le gérant leur demande s’ils ne veulent pas boire un verre.
Pressés et pas forcément enthousiastes à dépenser 18 € dans un verre, ils déclinent.
A ma grande surprise, nous nous voyons déclamer une tirade fort peu commerciale sur le respect du lieu, les coûts de fonctionnement du club, qu’il va “falloir nettoyer derrière nous”, que ce ne sont pas 8 € qui vont nous tuer (bizarre, le site indique bien 18 €) etc…
Faut-il préciser que nous avons joué de façon “libertine”, ne nous cantonnant pas à prendre le club pour un hôtel gratuit, dans la mesure où nous avons fait participer le seul homme seul présent 2 ?
Quelque peu refroidis, nous décidons avec missdactari de quitter les lieux également, alors qu’il nous restait du temps devant nous (nous étions même éventuellement disposés à prendre un ou deux verres, mais certainement pas sous la contrainte).
Nos amis tiennent bon, ils sont pressés… nous quittons donc tous rapidement le WE dans une ambiance lourde.
S’il est bien une chose qui n’a pas été respectée ici, c’est la tarification annoncée par l’établissement.
Le seul homme seul présent à ce moment n’a certes pas dû aider à rentabiliser ce nouveau créneau… pour autant lorsque l’on annonce un tarif, la moindre des choses est de s’y tenir.
A ce jour, le site du club indique toujours les mêmes tarifs pour le vendredi après-midi.
Gageons que cette attitude n’était qu’un faux pas à mettre sur une mauvaise humeur passagère, ou que la formule sera revue de façon à être plus adaptée aux objectifs de l’établissement.
En attendant, je suis moins enclin à retourner dans ce club, dans lequel j’avais pourtant passé quelques soirées bien agréables, et qui garde malgré tout de nombreux aspects positifs.
Le logo vient du site web du club WE.