Fred Goormand

AvatarHomme en couple libertin, francilien, jeune quadra dynamique.

Adepte sans borne du cunnilingus, inscrit au don d'orgasmes.

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A venir….

Thèmes qui seront abordés dans de prochains billets :

  • Timeline, la suite
  • To lick or not to lick
  • La loi du silence
  • Suite de la série “de l’origine … à l’orgie”
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Billets avec le mot-clef ‘triathlon’

Dim 22
Juillet
2012

PostHeaderIcon Triathlon (étape III)

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Après un trajet sans histoires, nous abordons la rue du Cherche-Midi et surveillons les numéros afin de nous approcher au mieux de la Galerie Le Sevrien.

Overside : Galerie Sevrien
Nous voici aux abords du club, sachant qu’il n’est pas évident de trouver une place dans la rue, nous avons convenu de faire appel aux services du voiturier.

Nous stationnons devant une porte cochère, le cherchant du regard…
Soudain la porte passager s’ouvre d’un coup, nous faisant bondir sur nos sièges. Le voiturier a surgi de nulle part et nous prend en charge… presque trop efficace.
Après ce petit coup d’adrénaline, nous nous dirigeons vers la galerie.

Je n’ai jamais visité l’Overside auparavant, c’est donc une première pour moi. Mon accompagnatrice a déjà fait une visite des lieux auparavant.
Le moins que l’on ne puisse dire, c’est que l’on n’imaginerait pas trouver un club libertin à cet endroit.
En descendant une large rampe d’escalier, nous abordons une galerie souterraine. Tout de suite sur notre droite, une porte discrète marque l’entrée de l’établissement.

Overside : Descente vers le club

Nous nous débarrassons de nos manteaux au vestiaire, et discutons un peu avec le personnel… puis il est temps pour moi de faire le tour des lieux.
C’est toujours avec intérêt que je découvre un nouveau club. En ayant fréquenté plus ou moins assidument un nombre qui commence à être raisonnable, je dispose d’éléments de comparaison qui permettent d’apprécier tel ou tel point, ou de voir quelles améliorations pourraient être apportées 1.

En passant le vestiaire, nous débouchons sur le bar immédiatement sur notre droite. De là, nous pouvons soit continuer vers les coins câlins sur notre gauche, soit la zone dancefloor / restauration sur notre droite.

Nous commençons par cette dernière. La piste est grande et bien aménagée, le matériel de sonorisation et d’éclairage sont à la hauteur. On m’a souvent vanté les mérites de la partie discothèque de ce club, en tout cas les moyens y sont.
Nous montons quelques marches et nous voici sur une sorte de demi-étage où le buffet est dressé. Le choix est pléthorique, la présentation agréable, les aliments de qualité.
C’est un buffet qui sort du lot, loin devant ce que j’ai pu voir dans d’autres établissements.

Overside : le buffet
Mais nous nous restaurerons plus tard, car la visite n’est pas terminée.

Dans l’enfilade du buffet, sont disposées quelques tables basses rondes autour de banquettes, le tout est disséminé sur différents niveaux.
Ces “plateformes” de restauration sont articulées autour de la cabine du DJ. Un rapide coup d’œil me confirme que le matériel n’est pas le choix d’un amateur, sinon éclairé.

Sous le plus haut étage, se trouve l’entrée discrète d’une blackroom, relativement vaste… idéale pour les amateurs d’inconnu.
Taquin, j’y entraine missdactari au prétexte de voir la taille de la pièce… dans l’obscurité, je la plaque contre un mur et laisse aller mes mains à l’exploration. S’il se trouve que la pièce est assez vaste, je me sens malgré tout à l’étroit dans mon boxer…

Mais l’heure n’est pas encore aux effusions de libido…

Nous rebroussons chemin et passons du côté ludique des installations. A l’entrée de cette zone trône un tabouret de bar. Il est inoccupé pour l’instant mais c’est le domaine du videur.

Sur notre gauche s’ouvre une première salle hexagonale à la décoration romaine. Au centre figure un matelas surélevé, hexagonal lui aussi.
Chaque pan de mur possède une petite banquette en regard de ce coin central. Prometteur !

Face à cette salle, un autre coin, plus simple avec un matelas en longueur, est le seul muni d’une porte.
A l’angle un petit coin SM avec un peu de matériel. Rien de bien méchant, mais il y a le nécessaire de base pour attacher son ou sa partenaire.
Nous poursuivons dans les couloirs, passant un renfoncement, avec ce qui pourrait ressembler à un confessionnal 2, puis un espace d’accès étroit, où l’on ne tient guerre à plus de 4.

Nous arrivons enfin sur 2 grands coins à l’enfilade, un premier assez grand muni d’une sorte de cage qui peut facilement faire tenir une personne allongée.

Overside : coin cage
A la suite un second espace, le plus grand du club, permet d’accueillir de nombreuses personnes, avec des murs parés de miroirs.

Le tour du propriétaire achevé, nous retournons vers le bar.
C’est une soirée mixte, la formule prévoit que seuls les couples peuvent accéder au club dans un premier temps, et en profitent pour se restaurer.
Les hommes seuls ne sont acceptés que dans un second temps, et ne profitent pas du buffet.

Nous goutons donc les nourritures terrestres avant de passer à celles de la chair.
Petit défaut : les tables style “discothèque” sont petites et assez basses, plus adaptées pour poser un verre qu’une assiette.

Nous profitons de ce moment de détente pour commenter les deux étapes précédentes, échanger nos impressions sur le club.
Il me semble à un moment apercevoir une femme vêtue de dentelle blanche, et qui me semble être enceinte.
C’est chose rare en club, mais ce n’est pas pour déplaire à mon côté maïeusophile, bien au contraire.

Mais la soirée est à peine commencée, il serait prématuré de lui sauter dessus entre le fromage et le dessert.

Nous finissons donc notre repas et descendons vers le bar.
Le volume sonore est monté et le dancefloor a déjà commencé à se remplir.
Les danseurs sont peu nombreux, mais quelques femmes ondulent déjà sur la piste, ou sur la barre de pole-dance.

Ce spectacle me fait craindre que le club ne soit plus orienté sur l’exhib’ que sur le jeu, comme j’ai déjà pu le constater dans certains club où l’on danse beaucoup, surtout pour se montrer.

Un rapide coup d’œil vers les coins câlins montrent que les ébats n’ont pas encore commencé… cela confirmerait-il mes doutes ?
Nous décidons de ne pas attendre pour voir, et de profiter à deux, pendant que la place est libre, et investissons donc le coin hexagonal.

Quelques couples jettent un œil ou bien passent à côté pendant que nous nous installons.
Pour l’instant je suis concentré sur ma partenaire, nous faisons monter le désir et la température de la pièce… jusqu’à ce que je ne puisse résister à l’envie de la pénétrer.
Je m’équipe donc d’un préservatif (Unique bien sûr) et nous optons pour un missionnaire.
Le coin hexagonal a juste la bonne taille pour accueillir nos ébats, et il serait difficile de partager notre matelas avec d’autres personnes.

Le passage des couples autour de nous s’intensifie. Certains s’arrêtent, et commencent à se toucher sur les banquettes disposées autour de notre coin.
D’autres s’approchent et nous frôlent, tentent une main baladeuse. Quelques hommes confient leur intimité aux bons soins de missdactari

Alors que je suis en train de la besogner, bras tendus, je sens une main venir me caresser le dos, puis venir caresser mes cheveux.
Le mouvement est très doux, sensuel, câlin même.
Je ne vois pas bien celle qui me le prodigue car elle est restée sur ma droite, légèrement en retrait. Je me demande même si cette caresse ne vient pas d’un homme…

Les effluves de parfum qui me parviennent me confirment cependant qu’il s’agit très certainement d’une attention féminine.
Comme je suis appuyé à bout de bras, je ne peux rendre la caresse qui m’est offerte. Je cherche donc le contact en me décalant légèrement sur le côté, toujours attentif à ma partenaire.
Coup de chance, ou manœuvre volontaire de la part de ma tendre inconnue, ma joue se positionne directement contre sa poitrine.

L’ambiance est plutôt silencieuse, et ne voulant pas rompre cet état de fait, je tente de faire comprendre par mon attitude que j’apprécie ce contact.
Pas évident lorsque la parole n’est pas dans les options, et que le regard fait défaut.

Le message doit passer cependant, car les caresses et la présence presque maternelle de la poitrine de l’inconnue persistent un bon moment.
Ils ne seront toutefois pas suivis d’une proposition plus osée, et elle prend congé, avec son accompagnateur.
Ce n’est peut-être que partie remise.
Toujours est-il que je n’ai pas réellement pu identifier celle qui m’a prodigué autant de douceur.
Aujourd’hui encore, l’extrême douceur et la bienveillance de ce contact demeurent très présentes dans mon esprit.

Comme toutes les bonnes choses ont une fin, nous finissons missdactari et moi par reprendre nos esprits et nous rhabiller.
Il est grand temps de prendre une boisson fraiche salvatrice, nous nous dirigeons donc vers le bar.

Pendant ce temps je tente de repérer ma caressante inconnue, sans grand succès puisque je ne l’ai pas vraiment vue, je ne fais donc que des suppositions.

Nous partons nous assoir au bord de la piste avec nos verres. Nous profitons d’un instant de détente, assis côte à côte sur une banquette, sirotant nos boissons.
Nos commentaires vont bon train, sur le club, sur ce qui vient de se passer, ou échangeant nos avis sur tel ou tel couple.

Les verres vidés, nous allons nous dégourdir sur la piste.

Overside : la piste
La bonne réputation du club concernant la partie dansante n’est pas usurpée.
Sans être totalement parfaite, elle fait clairement partie de ce que j’ai vu de mieux en club.
Il y a de la place pour danser, les éclairages sont efficaces et nombreux, bien dosés.
Le son est bon et ne vrille pas les oreilles, tout en assurant un volume soutenu mais pas assourdissant.
La sélection du DJ est pertinente et les titres sont enchainés avec soin. Que demander de plus ?

Un peu d’action horizontale peut être ?
L’heure avance, et nous ne pourrions certainement pas terminer notre journée “anniversaire marathon” sans un dernier round.
Nous partons donc refaire un tour de l’espace interactif.

La fréquentation est cette fois ci bien plus élevée.
Nous parcourons tous les coins… en passant devant la cage, nous apercevons la jolie brunette qui se trémoussait sur la piste quelques temps auparavant.
Elle semble aussi joueuse que bonne danseuse, et ne manque pas de prétendants… que la cage permet de canaliser un peu.

Dans le dernier coin, nous trouvons des matelas bien occupés, la situation étant pour le moins “partouzesque”.
Nous trouvons une place sur un des matelas, nous nous hâtons d’ôter nos vêtements et de bien faire en sorte de pouvoir tous les retrouver au milieu de la mêlée une fois le match terminé.
Alors que le jeu devient de plus en plus chaud, quelques hommes profitent des formes de missdactari

J’en profite pour la gratifier d’un cunnilingus dont elle raffole, tout autant que j’aime lui prodiguer, m’efforçant de faire de mon mieux.
L’effet escompté ne tarde pas à se produire… l’entrejambe trempé, le visage basculé, elle  jouit dans un râle alors qu’elle me repousse pour signifier son abdication.

Il faut dire que j’ai cette (mauvaise ?) habitude de continuer à gamahucher tant que je ne suis pas certain d’avoir mené l’assaut à son terme, afin de m’assurer que je ne lâche pas ma partenaire avant la fin de son ascension vers l’orgasme.
Dans certains cas, les dames supportent tout à fait d’être léchées alors qu’elles ont jouit, mais d’autres ne supportent plus aucune stimulation, et se dégagent plus ou moins violement.
Je me permets donc parfois de préciser avec des partenaires inconnues : “quand tu n’en peux plus tu me dis stop ou bien tu tapes“.

Chose prévisible… missdactari ne compte pas laisser mon forfait impuni.
Alors que deux couples, qui visiblement se connaissent, sont venus réduire notre espace vital au strict minimum, elle me prend en bouche, et entame une fellation dans un regard tout à la fois indécent et provocateur.
Je suis recroquevillé contre un miroir qui ruisselle de buée, en effet l’espace est saturé, et les jeux vont bon train.
La position est peu confortable et ne m’aide pas à lâcher prise, d’autant que la journée a été bien remplie… je me fais donc désirer un moment.

Overside : le grand coin calin

Je finis par me concentrer sur mon environnement immédiat, et je contemple cette salle remplie de corps nus, de femmes haletantes, gaillardement chevauchées par les amants d’un soir ou d’une vie, je balaye le panorama pour ne voir que plaisir et débauche tout autour de moi. Les gémissements se mêlent en un bruit de fond saccadé et décadent.
La chaleur de la pièce et les odeurs presque imperceptibles mais inavouables complètent cet éveil de mes sens.
Submergé par le plaisir, je finis par rendre les armes, me répandant dans la bouche de missdactari

Je peine à reprendre mes esprits, mais me retrouve finalement debout, rassemblant mes vêtements, vérifiant que je n’embarque pas la chemise d’un congénère.
Le club s’est un peu vidé, et la nuit est déjà bien avancée.
A notre sortie de la galerie, le voiturier a anticipé notre arrivée, et le cabriolet nous attend déjà, moteur tournant.

En chemin pour ma tanière, la route est calme, le trafic quasiment nul et la nuit sombre. Nous faisons un premier bilan, positif, de cette journée “Anniversaire Marathon”.
Cette nuit, ou ce qu’il en reste, le sommeil ne sera pas long à trouver…

Cet anniversaire n’aura pas été de tout repos,  et alors que j’achève  la fin de cette trilogie, je suis à seulement 5 semaines de l’édition 2012.
Le programme n’est pas encore décidé, mais j’ai déjà débuté la préparation physique, car le programme risque d’être olympique.

 

Les photos viennent du site officiel de l’Overside.

  1. même si tout cela est aussi affaire de goût[]
  2. une banquette qui doit à peine permettre de faire une fellation, mais l’idée est amusante[]
Lun 28
Mai
2012

PostHeaderIcon Triathlon (étape II)

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La prochaine étape de la visite, pour terminer l’après-midi est le club humide.
Notre choix s’est porté sur l’Eclipse, qui vient d’ouvrir et que n’avons visité qu’une seule fois, une semaine après son ouverture.
Il nous a laissé une bonne impression et nous profitons de cette opportunité pour y retourner, en mixte cette fois 1 .

Il fait chaud en ce dernier jour d’Août, et nous profitons du cabriolet dans les rues de Paris. La circulation est en demi-teinte, car la capitale a déjà récupéré l’essentiel des vacanciers…
Une fois garés, nous nous présentons devant le club, et sommes accueillis par un homme qui, pensons-nous, travaille habituellement juste à côté (à savoir au Sun-City).
Nous enfilons les sur chaussures et passons nos paréos.

En passant nous visualisons le bouton d’ouverture d’urgence du sas… nous avons appris qu’un couple de notre connaissance l’a activé par mégarde quelques jours avant, provoquant l’ouverture de la double porte, et exposant les clients en paréo à la vue des passants !

Il est encore relativement tôt et le club n’a pas l’air très animé… nous mettons cela sur le compte de  son ouverture encore récente. Et puis nous sommes un après-midi en semaine, ce sont les grandes vacances…
C’est le créneau habituel des couples illégitimes, qui ont probablement déjà leurs petites habitudes et ne changent pas de club facilement.

Compte tenu de la chaleur, nous ne boudons pas notre plaisir en filant directement dans les bulles du jacuzzi, toujours aussi agréables !

Eclipse : Le Jacuzzi

Nous batifolons dans l’eau, et croisons peu de monde : un couple,  un homme seul… il est clair que cela ne tournera pas à la grosse orgie, du moins pas tout de suite.
Peu importe, nous sommes là pour le coté feutré et calme du club, et ainsi nous détendre entre 2 autres sorties.

Le manque de confort du Beverley m’a laissé quelque peu sur ma faim, et l’envie se fait sentir de profiter des coins câlins.

Nous grimpons l’escalier, passons nous sécher au sauna, puis nous installons sur le grand coin tout en longueur situé au fond de la “zone interactive”.
L’endroit semble tout à nous, les seuls bruits alentours sont ceux de la ventilation et des télés qui diffusent des vidéos pour adulte (très cliché, mais assez esthétiques).

Un couple finit toutefois par s’approcher, avec une grande discrétion. Ils ont l’air de manquer d’assurance et sont probablement débutants, ou bien ils ne se connaissent pas depuis longtemps.

L’air intéressés et curieux, ils nous tournent un peu autour malgré tout, et finissent par s’asseoir sur une des banquettes à coté de notre grand matelas.
Un regard rapide me permet de vérifier l’avis de missdactari. Visiblement elle n’a rien contre le Monsieur, mais n’est pas prête à lui sauter dessus non plus.
La Femme a un physique agréable, même si elle manque un peu de formes à mon goût, elle est souriante même si elle ne semble pas très à l’aise.

Je leur souris et j’imagine que missdactari en fait de même. Ils nous regardent furtivement mais ne répondent pas. Ils ne semblent pas savoir comment s’y prendre, ni comment communiquer entre eux.

En fin de compte, la Femme entame une fellation qui donne envie… son partenaire est plutôt bien monté et semble épilé. Je regarde si missdactari l’a remarqué, son regard complice semble vouloir dire que oui.
Pour autant, difficile de savoir si leur geste est une façon de s’approcher et de nouer le contact, ou juste la petite échappée exhib’ de deux grands débutants.

Ils demeurent assez éloignés de nous, et les regards restent très furtifs, presque gênés. Finalement ils vont s’isoler dans un autre coin.
Peut-être que nous ne leur convenons pas, peut-être ne sont-ils pas prêts à franchir le pas.

Nous continuons donc à nous amuser tous les deux, remarqués par les hommes seuls, qui pour le moment gardent leurs distances.

Eclipse : Le Bar

Nous faisons un break, pour aller boire un verre, varier les plaisirs en descendant au Hammam, puis décidons de retourner à l’étage.
Même si nous avons le temps, nous jetons un œil à la pendule de temps à autre, car nous avons un emploi du temps à tenir !

Pour changer, nous nous installons dans le grand coin, un peu isolé, qui peut facilement accueillir 6 à 8 personnes.
Cette fois un homme seul “passe à l’attaque” : il s’approche et s’il ne semble pas tout à fait sûr du comportement à adopter, il tente néanmoins à obtenir les faveurs de missdactari tout en veillant à mes réactions. Je lui laisse le champ libre pour éviter tout quiproquo.

Il est assez silencieux, mais maintenant rassuré il apparaît nettement plus aguerri. Rien de très original toutefois, après s’être assuré que missdactari est prête, il se contente de la prendre en levrette, puis une fois son affaire terminée, nous remercie poliment et prend congé.

Le second homme seul qui a surveillé le début de la scène de loin, s’est approché de nous discrètement… d’un regard interrogateur il chercher mon approbation.
Je m’efforce d’être clair, car il parait que je suis parfois intimidant et que je ferai fuir les hommes seuls 2.

Après quelques caresses, il s’installe derrière missdactari, se saisit d’un préservatif qu’il commence à poser.
Je le vois soudain se figer, peut être une seconde. Son regard semble dépité… il baisse la tête, puis se tourne et s’enfuit sans rien dire. Nous ne le recroiserons pas, et supposons qu’il a probablement quitté les lieux juste après.

Nous faisons des pronostics sur ce qui vient de se passer…. Ejaculation précoce ? Changement d’avis de dernière minute ? Remord ?
Je penche pour la première solution, sans certitude.

Étrange après-midi que celui-ci, même si nous avons un peu plus interagis avec les autres clients de l’Eclipse que lors de notre première visite, les échanges sont assez loin de ceux auxquels nous sommes habitués.

Qu’importe, l’heure avance et après un dernier verre et quelques bulles revigorantes, nous allons rejoindre le vestiaire et passer nos tenues de soirée, car la troisième étape nous attend.
Nous récupérons la voiture et mettons le cap sur la rue du Cherche Midi pour notre troisième et dernière étape.

[ suivant ]

Les photos viennent du site officiel de l’Eclipse.

  1. A noter, l’Eclipse n’est dorénavant ouvert qu’aux seuls couples et femmes seules[]
  2. parait-il hein, mais bon c’est sacrilège pour missdactari[]
Jeu 22
Décembre
2011

PostHeaderIcon Triathlon (étape I)

Vous avez pu lire il y a quelques mois que la fin Août est synonyme d’anniversaire pour missdactari.
Comme je le relatais dans ces quelques lignes, le programme de l’après-midi était chargé.

Pour célébrer ce jour comme il se doit, il nous fallait faire plus qu’une simple sortie… et en enchainer plusieurs !
L’idée était de commencer par une sortie atypique dans un lieu inconnu, puis enchainer sur deux lieux libertins distincts, un club humide et un club sec.

Pour le début de ce périple, cela faisait un certain temps que nous parlions du cinéma “Le Beverley (Wiki)“, suite à l’expérience des LiberTango.
Le Beverley est un cinéma porno, l’un des derniers de Paris, probablement le plus ancien encore ouvert.
Notre sortie atypique était toute trouvée.

Rares sont les clubs secs ouverts en après-midi, de plus nous voulions diner dans un lieu libertin pour profiter au maximum, et les buffets des clubs humides sont spartiates.

Il nous fallait donc choisir un sauna libertin en seconde partie de journée.
Le choix était assez simple : Moon City ou Eclipse… notre choix s’est porté sur le second, qui était mixte ce jour-là.
De plus nous ne nous y étions rendu qu’une seule fois auparavant.

Pour le soir, l’Overside eut notre préférence, d’une part pour son grand buffet, d’autre part pour la bonne réputation de l’établissement, que ce soit en termes de clientèle, de qualité des installations ou de programmation musicale.

Planning établi, jour J enfin arrivé, nous arrivons non sans mal sur les lieux de notre première étape.

Première difficulté : après avoir repéré l’emplacement exact du cinéma, il faut se garer.
Le quartier est très fréquenté, et nous devons nous résoudre à choisir un parking public au tarif anti-libido.
Qu’à cela ne tienne, il nous en faut plus pour se décourager, nous voilà gambadant sur le boulevard Bonne Nouvelle… le son des talons de ma complice m’enthousiasmant déjà.

Nous arrivons finalement devant l’établissement, l’entrée est assez petite et plutôt discrète, rien à voir avec ce dont nous avons l’habitude du coté de Pigalle.


Notre modeste contribution payée, nous recevons 2 tickets numérotés “à l’ancienne”. Ici il n’y a pas de notion de séance, l’entrée est valable pour la journée, toute sortie étant définitive.
La personne qui nous accueille est très (trop ?) bienveillante, et nous indique que si nous sommes trop dérangés à l’intérieur, nous pouvons venir nous réfugier à l’accueil et prendre un café 😉

Nous poussons donc la double porte qui mène vers la salle.
Première surprise : l’organisation des lieux.
En effet la salle est toute en longueur. Il y a beaucoup de rangs et peu de sièges sur chacun, le seul accès se faisant par un unique couloir sur la droite.
L’écran est assez bas, car l’endroit est bas de plafond.
Je m’attendais à une salle plus petite, et dont la disposition serait en largeur, le sol légèrement en pente, comme dans un cinéma traditionnel.
Il faut dire que je n’avais pas regardé de photos du lieu avant notre sortie, et que j’ai été “influencé” par la disposition d’un tout petit théâtre fréquenté quelques temps avant.

Etonnamment, pour un mercredi après-midi, la salle est plutôt bien remplie.
Sans trop de surprise, il s’agit pour la quasi-totalité d’hommes, plutôt âgés.
Une ou deux femmes sont dans la salle, dont une peu attirante à mes yeux, est accompagnée.
Ils ont l’air “sages” du moins pour le moment, sachant que l’on nous a expliqué qu’il y avait parfois de l’action dans la salle (mais principalement le soir, aux horaires réservés aux couples).

Ne voyant pas de place dans les premiers rangs, je repère de la place au dernier, place que mon accompagnatrice n’avait pas remarquée.
Les sièges libres y donnant directement sur le couloir, il sera facile de s’en extirper si la situation devenait ingérable.

Evidemment, notre entrée a été remarquée, j’imagine que ce n’est pas tous les jours qu’une jeune demoiselle passe les portes de l’établissement, et d’autant plus en dehors des créneaux “couples”.
Quelques hommes se retournent, complimentent tout bas missdactari, et le murmure généré éveille la curiosité des autres spectateurs si bien qu’au bout d’un moment presque tous se sont tordus le cou pour nous dévisager.
Nous nous asseyons… les sièges sont un peu durs, loin du confort des récents multiplexes.

Le film qui est projeté est, tout comme la salle, éloigné de ce à quoi je m’attendais.
Je pensais voir du cinéma porno des années 70, avec moult poils, acteurs barbus au verbe léger et filmés avec amateurisme.
Au lieu de cela le film qui est projeté est visiblement récent, très esthétique, sorte de “cinéma d’auteur du porno”.
Les acteurs sont franchement bien foutus, ce qui est plutôt rare, et les héroïnes montrées dans les scènes (une à la fois) ne sont pas réduites à l’état d’objet voué à un limage dans les règles.

Commentant discrètement les images, nous nous faisons part de ce qui nous plait plus ou moins au fur et à mesure que les scènes se succèdent.
Je ne manque pas de signaler la présence de nombreux cunnilingus (décidemment ce film sort des clichés) et missdactari semble enjouée par les scènes de trios.

Nous commençons à nous effleurer de plus en plus sérieusement, le but étant également de faire un peu d’exhibitionnisme, pour marquer le coup (compte tenu des forces en présence, une orgie générale n’est pas envisageable).
Nos mains se faufilent  dans le pantalon ou sous la robe, ce qui ne manque pas de rapprocher d’avantage les hommes à proximité, histoire de glaner quelques centimètres carrés de bras, de cuisse ou de sein.

Ce petit jeu dure un moment, et nous commençons à nous échauffer, mais il faut reconnaitre que l’espacement entre les sièges et leur configuration est franchement handicapante.
Missdactari parvient toutefois à se pencher sur mon cas et à me gratifier d’une de ces fellations dont elle a le secret.
De mon côté, à moitié tordu et affalé dans mon siège, je tente de profiter au mieux.

Il va sans dire que la situation intéresse notre entourage au plus haut point, les caresses se font plus hardies, certains messieurs déballent la marchandise espérant bénéficier du même traitement que moi.
Restant attaché à contrôler l’environnement immédiat, je surveille de toute part, ce qui m’empêche de profiter des talents de missdactari.
J’ai beau savoir qu’elle est très bien capable de repousser les assauts qui ne lui conviennent pas, je me sens tout de même partiellement “responsable” de ce qui pourrait arriver, même si cet attroupement, nous l’avons souhaité et provoqué.

Ne pouvant profiter plus avant de ses délicatesses, je renverse la situation et m’applique avec mes doigts du mieux que je peux.
Conjuguant des caresses tant superficielles que profondes, je la sens se raidir sous l’effet du plaisir.
Ma bouche n’est pas en reste et s’aventure sur les magnifiques courbes de sa poitrine.

Tout autour, des mains (surtout) et des sexes (quelques-uns) tentent de se frayer un chemin.
Les hommes épars tentent de trouver un juste équilibre entre l’envie d’écraser son voisin pour être aux premières loges, et un minimum de savoir vivre afin éviter que la situation ne se transforme en pugilat (ce qui signifierai assurément la fin du jeu)

Ceux qui sont plus éloignés se contentent de regarder, ou d’ignorer la situation…
Les mouvements, discrets (dans toute la mesure du possible) que l’on perçoit à hauteur de ceinture montrent que bien peu sont totalement inactifs, que ce soit sous l’effet du film ou de notre petit manège.
Curiosité des lieux, les toilettes sont “à l’avant” et sur la gauche, il faut donc remonter tout le couloir et passer devant l’écran pour y accéder.
La plupart des spectateurs se retrouvent donc, à un moment ou à un autre, contraints de passer devant l’assemblée, le regard souvent baissé, afin d’aller se toiletter quelque peu (ce qui doit malgré tout rester moins humiliant que de sortir en l’état).

Dans le couloir, quelques hommes se tiennent debout, deux d’entre eux se tiennent si proches qu’ils éveillent ma curiosité.
En y regardant de plus près, celui situé derrière a passé le bras sous l’épaule de son comparse, et le branle doucement.
La situation est amusante, ni vraiment cachée, ni vraiment affirmée, comme un pis-aller ou une homosexualité non assumée.
Encore un fait auquel je ne m’attendais pas en ce lieu, dont la visite est décidemment riche en surprises.

De mon côté, n’y tenant plus, je propose de m’agenouiller afin de faire migrer ma langue entre les cuisses de la belle.
Malgré mon enthousiasme, elle me ramène à la raison: la configuration des lieux va rendre l’exercice peu commode pour ne pas dire périlleux.
Je me ravise donc et continue le ballet de mes doigts de plus belle.

Nous prolongeons ces ébats quelques instants, puis décidons qu’il est temps de quitter les lieux pour nous rendre à notre prochaine étape.
En sortant, le gérant nous propose à nouveau de venir prendre un café avec lui, ce que missdactari décline poliment.
Sur le chemin qui nous mène au parking nous échangeons nos impressions sur le lieu.
Nous nous accordons sur le fait qu’il faudra revenir au Beverley, lors de ces soirées réservées aux couples.

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