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Une journée d’anniversaire bien remplie (partie III)
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Missdactari semble impatiente d’arriver au terme de cette journée, ma foi fort bien commencée. Je ne connais pas les détails de l’endroit où elle nous emmène, mais je sais que c’est un lieu qui devrait sortir du commun.
Nous descendons la rue de Clichy, chose qui m’étonne car ce quartier n’est pas nécessairement réputé pour ses hébergements luxueux 1.
En quelques minutes pourtant, nous arrivons à l’angle de la rue de Parme, et une lumière violacée attire mon regard.
C’est là qu’est niché l’Hôtel Design Secret de Paris, un établissement récent qui cède à la mode (bien agréable) des petits hôtels intimistes et hauts de gamme. En pénétrant à l’intérieur, on passe dans un autre monde. Oubliée la banalité de la rue de Clichy, le bruit des voitures… Ici tout est fait pour émerveiller le regard et apaiser les oreilles.
Le hall d’accueil donne le ton : ici, on soigne les détails et on ne fait pas dans l’approximation.
Nous sommes accueillis avec beaucoup d’attention, et l’on prend le temps de nous présenter les installations de l’établissement et de nous donner toutes les informations utiles pour notre séjour.
On nous demande aussi combien de nuits nous avons réservé… Question qui peut vite agacer, on se sent déjà bien et l’on évoque sans aucune précaution la possibilité que tout cela doive se terminer !
J’apprends que les chambres ont différentes thèmes, et je me rappelle alors un commentaire que m’avait fait la miss il y a un certain temps sur un hôtel qui proposait diverses chambres, dont une sur le thème de l’Opéra, qui lui est cher.
Il semble qu’elle avait préparé sa surprise depuis longtemps, c’est pourtant SON anniversaire !
Notre hôtesse nous mène à notre chambre et nous laisse ensuite tous les deux.
L’impression de cocon est très forte, la chambre n’est ni trop grande ni trop petite, la décoration et les finissions sont travaillées. Même les mitigeurs sont signés du nom de l’hôtel.
Le thème reprend l’image d’une lucarne avec des photos des toits de l’Opéra Garnier. Une barre de danse sur laquelle sont lacés des chaussons fait office de tête de lit.
Les commandes d’éclairages sont tellement élaborées qu’elles en seraient presque complexes, mais permettent de donner à la chambre de multiples ambiances, plus ou moins tamisées.
La pièce maitresse, hormis le lit, est dans la pièce à côté : une grande baignoire d’angle qui propose la fonction jacuzzi, et un éclairage de l’eau dans différentes couleurs.
Je suis surpris par un point : notre chambre donne dans la rue, et pourtant il y règne un calme olympien.
Un rapide coup d’œil aux fenêtres donne l’explication : un double vitrage extérieur auquel on a ajouté un autre niveau de double vitrage, le résultat est imbattable !
Nous nous déposons rapidement nos affaires et je suis chargé de faire couler l’eau. Très chaude bien sûr, connaissant la frilosité de la miss.
Bien qu’habitués aux grands jacuzzis, avoir sa baignoire balnéo dans un cadre aussi intime est une toute autre expérience.
Et nous n’avons jamais eu cette opportunité auparavant… nous voilà donc à tester les différentes possibilités de l’engin 2
Une fois trouvés la meilleure combinaison bulles / couleur, nous nous relaxons et laissons aller nos mains. Mes mains glissent dans l’eau et suivent les formes de ma délicieuse maitresse, dessinés par l’éclairage inhabituel.
Difficile de rester de marbre dans ces conditions, cependant la baignoire n’est pas non plus gigantesque, et l’on ne peut guerre s’y ébattre sauvagement.
L’assise qui est dessinée dans l’angle en revanche, pourrait bien receler un potentiel coquin. Il nous faut impérativement tester cette configuration inédite !
Nous expérimentons donc alternativement la “balnéo-gâterie”, tout en rajoutant régulièrement de l’eau chaude pour nous maintenir dans les meilleures dispositions.
Je ne saurai dire ce qui a ma préférence entre le plaisir d’une fellation appliquée, calé dans l’angle de la baignoire, caressé par la vapeur d’eau et la double sensation de chaleur humide dispensée tant par la baignoire que par le délicat fruit que je butine.
Quoi qu’il en soit les bienfaits en sont incontestables 3.
A la fois relaxés et électrisés nous prenons le lit d’assaut, laissant derrière nous une salle de bain toute embuée.
La literie est à l’image du reste de la chambre, parfaitement agréable. Du moins pour dormir… mais il n’en est pas encore question !
Nous avons à cœur de finir la soirée en apothéose, ce n’est pas un jour comme les autres !
Et nous ne pouvons fêter cet anniversaire sans une levrette dans les règles de l’art.
Si l’absence de grincement est bien appréciable, le mieux s’avère parfois l’ennemi du bien : la douce texture de la couette n’est pas des plus adaptée à un accouplement musclé.
Il en faut plus pour nous décourager, et nous réglons bien vite le risque de dérapage en adoptant un positionnement plus adapté (bénie soit la souplesse de Missdactari, en même temps on n’est pas dans la chambre “Opéra” pour rien !).
Après tant de plaisirs qui se sont additionnés tout au long de la journée, je m’abandonne à un orgasme long et intense, dévastateur.
Malgré l’épuisement, il est hors de question de s’endormir sans avoir mis à profit le cadeau de l’an dernier : le Fairy.
Ce dernier est mis à contribution et bien vite il confirme sa redoutable efficacité ! C’en est presque désarmant de voir de quelle manière implacable il peut conduire, en bien peu de temps, une femme à l’orgasme.
Mais il eut été trop simple de s’arrêter là, et je décide d’ajouter ma cerise sur le gâteau.
Je suis bien décidé non seulement à avoir le dernier mot, mais également à ne laisser aucune bribe d’énergie à Missdactari, qui ne soit transformée en jouissance.
Après m’être assuré qu’elle capitule, visiblement terrassée, nous nous accordons un repos des guerriers bien mérité, et je tombe bien vite dans un profond sommeil…
… sommeil dont je suis très agréablement sorti par une très douce et très agréable sensation.
Avec beaucoup de délicatesse la miss cajole ma hampe fièrement érigée, et n’accélère le rythme que lorsque je me montre aussi bien réveillé.
C’est donc une journée qui commence bien, très bien même !
Malgré mes envies de “petit déjeuner au lit” la tête enfouie entre ses jambes, Missdactari m’enjoint de me préparer pour un repas plus nourrissant.
L’effet cumulé des différents traitements de la veille ne semble pas s’être encore dissipé, nous prenons donc le chemin du buffet.
Confortablement installés dans les fauteuils club violet, nous profitons de la variété des mets proposés.
Nous observons le personnel, la décoration… nous faisons des commentaires sur le lieu, sur notre journée mémorable.
Nous devisons sur les autres clients. Sont-ils venus eux aussi profiter d’un si bel écrin pour s’ébattre ?
Ou ne sont-ce que des voyageurs blasés, habitués des lieux, n’ayant trouvé que le repos à défaut de fougue ?
Le soleil nous accompagne sur le chemin qui nous ramène vers une vie “normale”, et nous commençons déjà à élaborer des plans pour le prochain opus.
Crédits photos : première, deuxième et dernière photo viennent du site officiel de L’Hôtel Design Secret de Paris, la troisième et quatrième de tripadvisor.
- d’ailleurs si vous regardez l’adresse de l’hôtel sur Google Street View, vous verrez que l’endroit était pour le moins délabré il y a encore quelques années[↩]
- la baignoire, dans un premier temps… what did you expect ?[↩]
- note à moi-même : tenter d’intégrer une baignoire balnéo dans ma future lapinière[↩]
Une journée d’anniversaire bien remplie (partie II)
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De retour dans le dédale du métro parisien, après de nombreux trajets celui-ci nous amène à notre première étape libertine, destination Pyramides.
Nous remontons rapidement la rue Thérèse et passons le hall discret des Chandelles.
Nous sommes comme à l’habitude très bien accueillis, à savoir tapis rouge pour missdactari, erreur volontaire sur le prénom en ce qui me concerne… que voulez-vous ici les femmes sont reines, il faut l’accepter ou changer d’établissement.
Ce qui tombe bien puisque, pour cet anniversaire, j’ai à cœur d’ouvrir les hostilités coquines de la meilleure façon qui soit. Je ne suis pas encore fixé sur les détails : gang bang endiablé, concours de cunnilingus allongée sur le bar, autres délices ?
C’est aussi l’ambiance du jour, les hommes présents, et surtout les envies de la principale intéressée qui donneront le ton.
Après notre périple “love shops” nous avons grand besoin de nous désaltérer, et le passage au bar permet de s’habituer à la faible luminosité du club.
C’est même l’endroit idéal pour se préparer à la semi obscurité des espaces de débauche.
Requinqués, nous ne perdons pas une seconde pour nous diriger vers notre zone préférée : le grand matelas à la forme incurvée à l’angle du club, motif en toile de Jouy, murs rougeoyants…
Comme souvent nous “ouvrons le bal”, sans trop préjuger de la suite, il s’agit simplement de démarrer le jeu, et de voir ou la suite nous portera.
Evidemment nous pouvons (enfin, surtout missdactari en l’occurrence) refuser ou accepter certaines approches, pour influencer sur la teneur des ébats.
Un premier homme s’approche, qui ne m’est pas inconnu… nous avons déjà batifolé avec lui et je sais que la miss l’apprécie. Il n’est pas accompagné comme il l’était lors de notre précédente rencontre, mais ce n’est finalement pas si mal car cela m’évitera de me disperser.
Le trio commence, d’abord en douceur. Notre invité sait-y faire, on le sent habitué des clubs et expérimenté, à l’écoute.
Ce n’est donc qu’une demi surprise lorsque missdactari refuse poliment les propositions d’autres hommes, à l’évidence elle a déjà tout ce qu’il faut pour être comblée. Pas de Gang-Bang endiablé pour cette fois.
Je ne sais pas si notre complice est au courant qu’il s’agit d’un jour spécial, je me plais à penser qu’il ne l’est pas, mais que c’est tout simplement un gentleman qui a tout comme moi à cœur de combler sa partenaire.
Chose rare et ô combien précieuse, nous sommes lui et moi sur la même longueur d’onde. Sans nous parler, chacun trouve sa place, les bons gestes.
Nous sommes totalement complémentaires et servons un but unique : donner à la belle un maximum de plaisir.
Je la sens particulièrement excitée lorsqu’il la pénètre avec assurance dans une magnifique levrette, pendant que je suis allongé et gratifié d’une délicieuse fellation.
Il saisit fermement la miss par les hanches, sait-il à quel point elle apprécie ce geste ? Voyant le trouble dans ses yeux, je n’hésite pas une seconde à ajouter le petit plus qui l’amènera à l’extase.
Humectant deux doigts de salive, je passe la main entre les cuisses de notre consentante victime et je m’applique à caresser son clitoris de la meilleure façon.
C’est que je commence à savoir comment elle fonctionne !
L’effet ne se fait pas attendre : un soupir, un léger gémissement… il m’a semblé que son corps s’est raidit pendant une fraction de seconde.
Mon semblable a de toute évidence perçu lui-aussi ces signaux. Il me jette un rapide regard, j’y réponds par un sourire motivé et un œil pervers dirigé vers l’entrejambe de missdactari.
Pendant que je m’assure que mes doigts restent suffisamment humides, il augmente légèrement l’amplitude de ses mouvements, ressert ses mains et maintient la cadence.
L’ascension vers l’orgasme semble bien engagée, voir inéluctable… je le perçois dans les yeux de missdactari, l’explosion est proche… il s’agit de ne rien lâcher.
Arrive alors ce moment délicieux, juste avant la jouissance, lorsqu’elle se laisse submerger, lorsque le retour en arrière n’est plus possible, lorsque pendant quelques secondes elle ne peut qu’attendre impuissante cette petite mort.
Un gémissement un peu rauque vient couronner notre entreprise, mais nous ne laisserons aucune échappatoire à notre victime et elle ne perdra pas un fragment de son plaisir.
C’est seulement une fois assurés que l’orgasme est complet que nous croisons à nouveau notre regard, satisfaits d’avoir si bien coordonné nos efforts.
Et tout cela sans échanger un seul mot…
Est-ce lié à ce jour particulier ? Je me plais plutôt à croire que le hasard a bien fait les choses.
Les jeux se poursuivent encore quelques temps, même si nous avons atteint un sommet pour le moment.
Le mieux étant l’ennemi du bien, nous ne tenterons pas de renouveler tel exploit dans l’immédiat.
Ayant rendu les armes, récupéré nos vêtements respectifs et repris nos esprits sous une douche bienfaisante, nous retournons vers le bar, le cœur léger.
Lumière feutrée, ambiance joviale et détendue… comme à l’accoutumée, les Chandelles est un club où l’on se sent bien et où le temps passe évidemment trop vite.
Je suggère à missdactari un second round, abondance de bien ne nuit pas dit-on…
Mais elle préfère en rester là et garder des forces pour le soir, et puis nous avons un agenda à tenir !
Nous prenons donc congé, et remontons au vestiaire. La miss revient à une tenue plus adaptée pour la suite de la journée pendant que nous échangeons quelques mots ironiques avec Bernard, le maître des déjeuners scandaleux et des after-work coquins.
Notre prochaine étape nous amène vers la place Clichy, mais cette fois ce ne sera pas pour s’y garer à la faveur d’une sortie dans le quartier de Pigalle.
Il est temps de reprendre des forces, et après le plaisirs des corps, nous allons laisser place aux plaisirs de la table.
Le choix était vaste, mais nous parlions de partager un grand plateau de fruits de mer depuis quelques temps déjà… quelle meilleure occasion pour assouvir cette envie ?
Nous prenons place à la table de la brasserie Wepler. Soutenant le prix littéraire du même nom et faisant face à la statue de Moncey, l’établissement propose à sa carte quelques plateaux forts appétissants.
La décoration vintage et ses photos de cinéastes nous font changer d’époque, alors que notre goût pour les conversations détendues autour du sexe contraste largement avec la bienséance du lieu.
Ce côté provocateur que nous partageons nous amuse toujours autant, et nous nous demandons ce que les autres convives ont fait de leur journée, ce qu’ils feront de leur soirée…
Probablement leur programme est-il différent du nôtre, et je ne manque pas de me sentir privilégié.
Alors que le plateau de fruit de mer est servi sur une table attenante compte tenu de sa taille, nous nous entendons sur un plan d’attaque infaillible, qui va le mener à sa perte.
Lentement mais surement, gâtant nos palets, nous faisons honneur à l’assortiment et marquons notre victoire en nous accordant un dessert.
Je ne sais pas encore précisément quel établissement nous accueillera pour la nuit. Missdactari a gardé le secret, mais à voir ses yeux briller et une certaine impatience, il est évident qu’elle a porté son dévolu sur un établissement d’exception.
La nuit est tombée pendant notre dîner, et nous retrouvons l’agitation nocturne du quartier qui nous est coutumière. Il n’est point besoin de s’engouffrer dans une bouche de métro cette fois-ci. Car l’établissement mystère est à quelques pas…
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Crédits photos : L’ancien blog de Valérie H (des Chandelles), Love MMF threesome pic’s & fantasies, Candaulismes, WikiPedia, Yelp (ex Qype).
Le marquis est de sortie…
Ce weekend votre serviteur était de sortie, en tenue de marquis, pour le Bal des Princesses !
Si vous n’avez pas encore entendu parler de cette soirée, vous pouvez aller sur leur page Facebook, le site officiel étant désormais inactif.
Et si vous y avez participé, qui sait si parmi les centaines voir milliers de participants, si nous nous sommes reconnus ?
(Billet édité, l’évènement ayant eu lieu et la page officielle inactive)
Lapinou Year
Je vous la souhaite coquine à souhait et remplie de bonheur, bonne année 2012 chères lectrices et chers lecteurs.
Et ne soyez pas sages !