Fred Goormand

AvatarHomme en couple libertin, francilien, jeune quadra dynamique.

Adepte sans borne du cunnilingus, inscrit au don d'orgasmes.

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Thèmes qui seront abordés dans de prochains billets :

  • Timeline, la suite
  • To lick or not to lick
  • La loi du silence
  • Suite de la série “de l’origine … à l’orgie”
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Archive pour la catégorie ‘Humeurs’

Mer 16
Mai
2018

PostHeaderIcon Apogée

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Alors que je suis allongé sur ce lit, je sens que les réjouissances ne vont pas se faire attendre, puisque me voilà “à la merci de l’équipe d’animation”.

Je perçois que mes deux hôtes mystère se hissent sur le lit, chacune d’un côté. L’une des deux vient à la hauteur de mon visage et se met à califourchon. Le compteur d’excitation monte dans le rouge car j’adore faire un cunnilingus en face-sitting.
Et celle qui vient de s’installer ainsi le sait, à n’en pas douter !

Mon autre bienfaitrice se concentre pour sa part sur ma verge. L’émotion et la désorientation ne m’ont pas mis à mon avantage, et de gros soucis personnels m’encombrent l’esprit. Ma “bienfellatrice” fait fi de ces difficultés et me voilà bien vit(e) en forme.

Illustration non contractuelle…

Au passage, elle se trahi par une petite habitude assez unique, que je remarque immédiatement. Je suis donc convaincu que c’est bien Avant Tureuse qui me gâte ainsi. La moitié du mystère est élucidé !
Je me demande malgré tout par quel tour de force elle a pu être présente malgré ses impératifs professionnels.

Pour l’autre moitié, je n’ai plus aucun doute non plus, ma langue a déjà reconnu avec une quasi certitude missdactari. Mes doutes à propos du soit-disant rendez-vous médical s’avèrent justifiés.

Je me réjouis d’être en si bonne compagnie, et mon comité mystère vient enlever le foulard qui est encore autour des mes yeux. Je les garde fermés, pour pouvoir faire un pronostic sur l’identité des mes deux bienfaitrices, je suis sur de moi.
Une erreur pourrait pourtant être bien malvenue mais je me lance, faisant allusion aux raisons pour lesquelles elles ne devraient pas être là.

J’ai vu juste, je le sais en les entendant rire et j’ouvre les yeux, découvrant les deux demoiselles dans des ensembles de lingerie inédits qui leurs vont à ravir.

Nous devisons brièvement sur l’organisation de l’événement, qui a préparé quoi, qui a eu telle ou telle idée.
Et les mails ? pourquoi ai-je eu autant de mal à discerner leur auteur ?

La raison est simple : ils ont été écrits à 2, parfois en alternance, avec d’infinies précautions. Objectif atteint !

Puis les corps se rapprochent, la lingerie est lentement retirée et s’ensuit un trio endiablé. J’ai eu quelques occasions de faire des trios avec 2 femmes, mais elles restent rares et précieuses. La configuration présente est juste formidable. Sachant que mes talentueuses organisatrices ne sont pas bisexuelles, je fais de mon mieux pour ne négliger aucune d’entre elles, tout en profitant au mieux de l’instant, des plus délicieux.

Ces réjouissances ô combien agréables et sensuelles, me font quelque peu oublier le temps, l’agenda est pourtant bien huilé, et le comité d’organisation veille !
En effet, un autre temps fort est planifié et il s’agira d’être à l’heure pour cette nouvelle surprise.

Mais en attendant nous allons tous les trois pouvoir profiter du pique-nique préparé pour l’occasion : varié, gourmet, totalement adapté à la situation (croquer un morceau à trois nus sur un lit, ce n’est pas des plus courant).
Je goûte à tous les mets mis à disposition sur la grande couette blanche… en prenant garde à ne rien tâcher même si l’on me fait remarquer que “l’on ne dort pas ici ce soir”.

Dommage, la chambre est agréable, le lit d’un confort élevé, et les écritures sur le mur invitent à laisser divaguer ses pensées jusqu’au sommeil.

Une de mes charmantes organisatrices me demande si j’ai bien pris mes chaussons de bain et mon peignoir. Comme indiqué dans les mystérieux emails, la surprise suivante va être aquatique. Je me demande à cet instant si nous allons devoir sortir de l’hôtel pour la prochaine activité…
… et je prie pour que ce ne soit pas le cas quand on me demande de me mettre en tenue de bain de suite, en me bandant à nouveau les yeux !

Je me retrouve à nouveau dans l’ascenseur, moyennement à l’aise, j’aimerais autant éviter d’épater la galerie avec ma tenue de curiste… même si je doute que ce genre de blague ne soit au programme.

L’ascenseur nous a en fait mené au sous-sol, dans les couloirs duquel on me guide vers une pièce dont la sonorité et l’odeur sont bien particulières…
Avant Tureuse m’enlève le bandeau : nous sommes dans une magnifique pièce qui sert d’écrin à un grand bassin équipé de jets et autres équipements de balnéo.

Le tout est luxueux, et respire la détente et la sérénité. La décoration est magnifique et apaisante, la luminosité parfaite d’intimité et de confort, avec des dispositifs à changement de couleurs progressifs. Le bleu turquoise du bassin, qui peut facilement accueillir une quinzaine de personnes, est un appel immédiat à l’immersion.

Nous rentrons dans l’eau, la température n’est pas très élevée, mais nous n’avons pas froid non plus.
Une bouteille de Champagne est à notre disposition et j’apprends alors que le spa a été privatisé pour notre usage, pendant une heure.
D’où le timing à respecter.

Je me rappelle alors que missdactari avait évoqué quelques mois auparavant un site qui recensait les hôtels parisiens dont on pouvait privatiser l’espace spa / balnéo.

La bouteille est accompagnée d’une boite de macarons, que missdactari dispose sur une assiette au bord du bassin. On touche du doigt la grâce d’un moment idéal, tout en détente, entre nous, dans un si beau décor, l’eau tantôt caressant tantôt massant nos corps.

La sensualité des caresses, des frôlements des corps nus dans l’eau, le vin et les macarons nous font passer un moment exquis.
Nos yeux restent écarquillés, nous apprécions le confort et la paisibilité des lieux… Nous savons que personne ne viendra nous y déranger.
Nous sommes tous les trois conscients que nous vivons un moment rare et précieux.
Je suis infiniment comblé par tant d’attentions et j’oublie totalement mes soucis, pourtant omniprésents. Le temps nous est compté et nous allons en profiter.

L’heure défile bien vite sur la grande horloge du spa, rassasiés par notre dessert et par les flûtes que nous avons vidées il nous faut bientôt regagner la chambre.

Profitant jusqu’à la dernière minute et même un peu plus, il nous faut bien nous résoudre à nous extirper de l’eau non sans avoir profité des différents jets et remous une dernière fois.

De retour dans la chambre, il nous reste du temps pour quelques folies.
Je passe à la salle de bain, et alors que j’en ressors, une vision paradisiaque me saisit. Mes deux bienfaitrices sont côté à côté sur le lit, la croupe tendue, sourires aux lèvres.
Je savoure ce joli tableau, et me sens comblé et honoré de cette délicate attention, alors que l’excitation remonte de plus belle.

L’embarras du choix étant mon seul souci, je profite de l’instant présent et des multiples possibilités offertes par la configuration du trio FHF.
La sensualité est à son comble, les plaisirs variés et merveilleux.

Puisqu’en ce jour je peux me permettre (presque) tous les caprices, nous finissons sur un cunnilingus en face-sitting à deux filles. Elles se tiennent dans les bras l’une de l’autre pour ne pas vaciller.
L’exercice s’avère un peu acrobatique, mais très plaisant pour moi (et tout à fait inédit).

Nous prolongeons ces derniers instants de débauche avec tendresse et dans des positions plus conventionnelles, mes yeux dans ceux de missdactari. Puis mon regard trouve ceux d’Avant Tureuse. Je poursuis cette alternance tandis qu’un profond orgasme vient me saisir.

La fin de la réservation en “Day Use” approche, il nous faut nous préparer à retourner à une vie normale.
Nous savons tous les trois que le retour à la réalité va être un choc.

Petit avertissement pour ceux qui auraient le bonheur de tenter l’aventure du trio FHF : la consommation de préservatifs est élevée !
Le rangement de la chambre post câlins est assez surréaliste, avec le recul je me dis que ç’aurait été une belle occasion de tenter le préservatif féminin…

Nous quittons les lieux, quelques minutes après l’heure limite. Le personnel de l’hôtel nous regarde de façon complice alors que nous nous présentons tous les trois pour le check-out.

Avant Tureuse part de son côté, et je continue mon chemin avec missdactari qui va me déposer. Le soleil a fait son apparition et je suis ébloui, mais est-ce seulement le soleil ?
Je suis pantois, béat… en chemin, nous passons devant “l’Impasse des Deux Anges”, incroyable coïncidence ?

Quoi qu’il en soit je sais que je viens de vivre un moment totalement unique et qu’il va me porter longtemps. Comme une magnifique oasis au milieu de mes tourments. Je sais aussi que je m’en souviendrai longtemps, surement toute ma vie, et à chacun de mes anniversaires. J’ai une profonde gratitude pour mon mystérieux comité.

Sam 13
Janvier
2018

PostHeaderIcon Happy (?) New Year

L’année 2017 aura été, me concernant, des plus mouvementées.

Très difficile et chaotique par bien des aspects, avec par ailleurs de très beaux moments et des rencontres magnifiques.
Quoi qu’il en soit 2018 sera une année de changements, avec son lot de bonnes résolutions.

Pinky se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne et heureuse année, en oubliant pas le principal : la santé.
Et qu’avec elle vous puissiez faire tout ce qui vous rend heureux, et vivre le moment présent avant qu’il ne s’échappe.

 

Mar 18
Octobre
2016

PostHeaderIcon Il est des dates …

Il est des dates que l’on retient et que l’on célèbre…

L’an dernier déjà, j’annonçais le Cap des 7 ans
Une année a passé, déjà, une année faite de sorties ou de soirées plus intimes.

Une année qui a amené son lot de nouveautés, et toujours des bonheurs dont on ne se lasse pas.

Cette année encore les Chandelles pour témoin.

A l’aube d’un événement majeur, juste envie de poser ici ces quelques lignes, et te souhaiter un bon 18 Octobre, Camille.

bougie lapin

 

Mer 10
Février
2016

PostHeaderIcon Le Plan B

Le libertinage est parfois un moyen de se découvrir, d’explorer des territoires vers lesquels on ne serait peut-être pas allé dans une vie de couple exclusif.
C’est aussi parfois se rendre compte (et accepter – d’autant plus facilement qu’on est de toutes façons sorti des conventions) qu’on ne fonctionne pas exactement tel qu’on l’imaginait, ou qu’on le souhaiterait.

A mes débuts je me suis volontiers laissé aller à imaginer que de nouvelles partenaires, de nouvelles pratiques et le champ des possibles qui s’élargit, seraient une source de jouissances faciles et intenses.
Après tout, quel homme pourrait résister au plaisir de nouveaux corps, de situations licencieuses, à des pratiques interdites et délicieuses ?

Et pourtant, les choses ne sont pas si simples… ni automatiques.

Quelles qu’en soient les causes, j’ai dû me résoudre à une réalité : chez moi l’orgasme est loin d’être mécanique.
Surtout lorsque je me retrouve en duo avec une partenaire que je ne connais pas ou peu…

Ce n’est pas sans poser quelques petits soucis, entre autres celui de finir par lasser ces dames qui goûtent assez peu d’être limées au-delà du raisonnable (et de l’agréable).
… ou qui s’évertuent (souvent avec un entrain qui force l’admiration et la reconnaissance) à chercher sans grand succès la clé de ma jouissance.

Je me suis pourtant aperçu qu’il y avait une pratique, certes futile, qui me permettait d’atteindre le nirvana de façon quasi assurée.
Pas une pratique totalement délirante ni d’extrême.
Cela amuse même (ou cela stupéfie, c’est selon) les demoiselles à qui je propose cette alternative.

je l’ai appelé le “Plan B” : celui qui marche à tous les coups quand on semble dans l’impasse.

De quoi s’agit-il donc pour être aussi infaillible ?

Tout simplement : un cunnilingus… mais pas n’importe comment !
En face-sitting, c’est à dire, moi allongé sur le dos, et ma partenaire qui vient offrir son intimité aux caresses de ma langue, face à moi.

cunni-face-sitting

Le “Plan B” est d’autant plus efficace que le fruit de mon désir est offert avec entrain voir insistance et même indécence, ouvert si possible, exposé à tous mes sens.
J’ai alors tout le loisir de profiter d’en profiter et de l’explorer, de contempler les courbes de ma bienfaitrice sous un angle inhabituel, voire d’y aventurer une main.
Ainsi gâté, en me caressant j’atteins généralement l’orgasme en une poignée de minutes, même lorsque la situation de départ semblait désespérée.

Ironiquement, il arrive parfois que ce soit ma partenaire qui atteigne l’orgasme avant moi, du fait de mes caresses buccales et de la situation.

Je me pose souvent la question de savoir si l’efficacité du “Plan B” est une forme de soumission, de par la position tenue par la femme notamment.
Sans pouvoir tout à fait écarter cet aspect des choses, avec le recul il demeure secondaire.

Ma perception est plutôt que je suis excité par plusieurs facteurs :
* Etre pourvoyeur de plaisir pour ces dames, même si le “Plan B” est d’abord pour moi.
* L’absence de questionnement sur le consentement (auquel je suis très – trop ? – attaché) .
* Le confort de la position (pour moi qui suis confortablement allongé du moins).
* L’absence de pression liée à la pénétration, car j’ai parfois tendance à m’oublier si je vois que ma partenaire y réagit bien.
* Et surtout… définitivement, j’adore lécher !

J’ai (j’avais ?) parfois des réticences à proposer le “Plan B” en club par peur de la réaction ou du jugement des autres personnes présentes, ou dans des situations plus intimes si ma partenaire n’y est pas habituée.
Mais le temps et l’expérience se sont montrés globalement bienveillants, même si je ne doute pas que cela puisse étonner ceux qui en sont témoins au détour d’un coin câlin.

Au point de vous livrer ce billet assez personnel…

cunni-face-sitting_2

 

Jeu 14
Janvier
2016

PostHeaderIcon Nature Sauvage (Panthère Éphémère)

[ précédent ]

Les transports parisiens nous amènent à proximité de la rue Thérèse, notre destination pour cette dernière étape.
Nous sommes en terrain connu, en habitués des après-midi aux Chandelles, même si nous avons plutôt pour habitude d’y déjeuner le jeudi.

Chandelles_porte

Bernard nous accueille comme à l’habitude avec charme et humour, et prend notre vestiaire.
Il nous précède alors que nous prenons notre temps pour descendre l’escalier qui nous mène sous les voûtes.

Je descends moi-même les marches nonchalamment, me réjouissant d’être dans ce lieu de débauche qui m’est cher.
Arrivé aux dernière marches, je fais face au long couloir qui mène d’un côté aux espaces récréatifs et de l’autre au bar.

A quelques mètres de moi, je remarque immédiatement une grande et belle jeune femme.
Sa silhouette me séduit immédiatement, tout comme ses gestes… et surtout, elle a la peau noire !
J’ai un gros faible pour les peaux noires, sans en connaitre l’origine…. Un certain attrait pour l’exotisme j’imagine.
Je crois que c’est comme le cunnilingus, j’ai toujours su que cela me plairait avant même d’y avoir goûté…

sexy-lady-abstract-shadow

La belle parle avec Bernard qui m’a devancé, comme à l’accoutumée il est souriant et toujours charmant avec les dames.
Je suis trop éloigné pour comprendre leur conversation, et quand la jeune fille tourne le visage vers moi, la lumière rouge tamisée ne me permet pas de distinguer son expression.

J’esquisse un large sourire, la demoiselle m’attire…
Elle se tourne à nouveau vers Bernard, sans que je n’ai pu déceler de signe d’intérêt.
On ne peut pas plaire à tout le monde…

Bernard lui, a vu quelque chose… il me regarde, sourit et lance à la cantonade “toi, tu as un ticket !!!”
Je suis à la fois surpris, et bien évidemment ravi !
Je m’approche en souriant pour faire connaissance…
“Fais lui un bisou !” lance notre hôte, amusé.
Je m’accomplis bien volontiers… nos lèvres se touchent, je frémis.

J’ai très envie que la situation dérape et que le bisou se transforme en baiser langoureux, mais la belle semble avoir une légère réticence.
Nous sommes encore de parfaits inconnus, je me contente donc de passer ma main sur sa hanche pour lui montrer mon intérêt.

Nous rejoignons le bar, il y a du monde cet après-midi et nous nous retrouvons assez vite séparés.
Je reste néanmoins décidé à aborder la somptueuse black avant la fin de notre visite.

R., un des habitués du club que je vois régulièrement et avec qui j’ai sympathisé, semble également sous le charme.
Très vite il a une attitude et un discours non équivoque envers la demoiselle, elle ne semble que vaguement réceptive, mais néanmoins décidée à s’amuser avec lui.
Je me dis que l’après-midi est encore longue, et puis j’ai très envie de passer du temps avec missdactari.

Nous nous installons à distance, je vois la belle et R. de loin, lorsque qu’il n’y a pas d’attroupement dans le coin câlin pour me masquer la vue.
Je ne suis probablement pas objectif, mais il me semble que la demoiselle n’est pas très enthousiasmée par leurs ébats…

Quelques messieurs bien élevés viennent rapidement à notre rencontre (surtout celle de missdactari, à vrai dire) et souhaitent visiblement se joindre à nous.
Voilà qui va combler le goût de missdactari pour la pluralité masculine…
Les jeux commencent, chacun trouve sa place et tout ce petit monde profite d’un moment torride.
Gémissements, coups de bassins, langues exploratrices, bouche gourmande, tout est en symbiose pour une parenthèse réussie.

Chandelles_couloir

Nous décidons de nous rafraîchir avec la miss, et alors que j’attends que la douche se libère, la jolie black passe dans le couloir voûté et s’adresse à missdactari.
Je ne saisis pas tout à fait ce qu’elle lui dit, mais ça ressemble à “il parait qu’il est bien, tu crois que je peux te l’emprunter” ?

Enthousiaste, missdactari acquiesce immédiatement, me mettant en avant et vantant mes mérites.

En moins de temps qu’il ne me faut pour le dire, je me retrouve dans les bras de cette grande et plantureuse jeune femme, diablement attirante.
Nos bras se frôlent et la texture de sa peau m’électrise totalement, cela fait bien longtemps que je n’ai pas ressenti cette sensation si particulière, ce grain de peau qui me fait tant réagir… je suis totalement envoûté.

Nous nous allongeons et échangeons quelques baisers, j’aide la belle à faire tomber sa jolie robe, pendant que mes mains caressent son corps à la peau d’ébène et me délecte de chaque centimètre carré.

Sa poitrine est arrondie et proportionnée, la chaleur de ses seins me donne envie de les cueillir du bout de la langue, de les caresser délicatement.

Je parcours tout son corps de mes mains, je suis littéralement en transe… je n’ai qu’une idée en tête : lui donner du plaisir, intensément.
Mes caresses et mon exploration me mènent petit à petit entre ses cuisses, et j’approche lentement mais surement mes lèvres de sa chatte.
J’observe et admire son anatomie, la couleur foncée de ses grandes lèvres, qui contraste avec le rose de la partie la plus intime.

J’embrasse ses cuisses puis le pli de l’aine et je me rapproche de son clitoris, passant ma bouche de plus en plus prêt, effleurant, titillant…

Je finis par le prendre sous ma langue et l’entourer de ma bouche. Elle a un goût délicieux, je suis aux anges.
Ma langue commence à laper avec nonchalance, en petits mouvements verticaux, bientôt entrecoupés de passages plus amples.
Je joue de plus en plus avec son intimité, au gré de mes envies ma langue s’aventure de plus en plus loin, tantôt frôlant sa rose, tantôt emprisonnant toute sa vulve.

R. qui rôde dans les parages passe vers nous et fait une remarque qui me semble assez malvenue… ça ne lui ressemble pas mais qu’importe, je fais abstraction, et je reste concentré sur ce que je suis en train de faire.

Ma victime se détend également, elle gémit et bredouille quelques encouragements et compliments, je m’assure de faire monter la tension de façon graduelle, sans me précipiter, mais sans la faire trop languir non plus.

A force de ce petit jeu, je la sens au bord d’un premier orgasme. Ce que je lui fais à ce moment précis semble particulièrement agréable… je décide donc de m’en tenir là et de garder le même rythme, l’atteinte du nirvana ne devrait être qu’une question de secondes.
Elle semble désemparée et un peu absente, agrippe de ses mains l’épais tissu du coin câlin, son corps se tend, elle ferme les yeux… elle est comme un animal paniqué face à un sort inéluctable. Dans un tremblement elle rend les armes et laisse éclater un long gémissement.

orgasme_drap

Elle demeure absente quelques secondes puis caresse mes cheveux. “On ne m’a jamais léché comme ça !” me souffle-t-elle.
Je reste entre ses cuisses, sans la stimuler, afin qu’elle puisse reprendre ses esprits. Mais je n’ai pas l’intention de lui laisser trop de répit, recommencer ce petit jeu serait tout à fait à mon goût.

Pourtant elle me fait signe de revenir vers elle… je m’allonge alors à ses côtés, frôlant tout son corps, profitant de la sensation totalement grisante que me procure le contact de sa peau.
Elle me remercie à nouveau, j’en suis flatté et presque gêné, elle se rallonge et ouvre grand ses jambes… “Prends-moi !”.

Plutôt que de m’exécuter immédiatement, je me demande si elle souhaite juste me renvoyer l’ascenseur, ou si elle en a réellement envie.
Je chasse ce questionnement futile et m’équipe d’un préservatif, j’ai envie d’être en elle depuis que j’ai croisé son regard.

Je me délecte de chaque centimètre à mesure que je coulisse en elle, et observe chacune de ses réactions pour m’assurer qu’elle est à l’aise.
Surexcité par la situation proche d’un certain idéal, je me crispe et ne parvient pas à profiter au mieux…

Reprenant mon souffle, je propose à la belle de se retourner… j’ai très envie d’une levrette !
Ses fesses avaient l’air magnifiques et les considérations sur les “culs de blacks’ sont à mon humble avis tout à fait justifiées.
Mes impressions sont confirmées : la vision que j’ai est un enchantement, je suis au comble de la félicité.
La forme de son fessier, sa rondeur, son grain de peau, sa teinte, tout concours à la fois à m’exciter comme rarement je ne l’ai été, et à me faire perdre mes moyens.

Je m’introduis en elle et la saisis par la taille, la magie tactile opère de nouveau lorsque mes paumes entrent en contact avec ses hanches, je suis transporté par des vagues de frissonnements.
L’excitation est tellement forte que j’atteins une sorte de plafond de verre et ne trouve pas la jouissance.
La belle se redresse alors et “s’ouvre” littéralement avec une de ses mains, offrant à ma vue ses orifices aux couleurs sombres et roses à la fois.

beautiful-ass-1

Je dois certainement avoir les yeux exorbités, le geste est inattendu, excitant, invitant…
Elle est totalement offerte à ma vue et à ma queue.

Je contemple le spectacle de sa chatte m’avalant goulûment, presque incrédule.
Totalement surexcité, j’accélère la cadence, mon esprit est un véritable orage, je suis dans un état second.
La cadence commence à avoir raison de mes capacités… je calme donc le jeu, et reprends mes esprits pour profiter du moment et laisser le plaisir m’envahir.

C’est alors que R. revient à la charge, il est inhabituellement malpoli et fais montre de propos désobligeants envers nous deux.
Nous tentons de calmer le jeu, mais il n’en démord pas… je reste perplexe, ne l’ayant jamais vu sous ce jour.

Ma partenaire est décontenancée, mal à l’aise, elle prend une attitude défensive. Tout en désamorçant l’inconfortable situation, je m’assure que tout va bien pour elle.
Nous échangeons quelques mots, je lui demande son prénom : “Sandra”.

R. tente grossièrement de s’attirer une nouvelle fois les faveurs de Sandra, elle refuse poliment, ne semble pas dans son assiette.
Il insiste et franchit de mon point de vue la limite de l’acceptable.
Sandra indique qu’elle doit rentrer, qu’elle va prendre congé.
R. ne change pas d’attitude et propose de la raccompagner. Proposition bien vite déclinée avec fermeté.
Sandra disparaît et quitte les lieux, sans que nous ayons eu le temps d’échanger quelques mots autour d’un verre.
Sans non plus, avoir pu se donner l’occasion de nous contacter ou de nous revoir.

Déçu de l’attitude de R., j’échange quelques mots avec missdactari qui revient d’une autre zone de jeu. Elle semble avoir passé également un bon moment.
Comme moi, elle est étonnée de voir R. aussi “mauvais perdant”.
L’horaire est bien avancé, notre épopée touche à sa fin : nous décidons d’aller boire un verre pour nous remettre de nos émotions.
La fraîcheur de nos boissons est la bienvenue, nos discussions tournent autour de Sandra et du comportement décevant de R.
Bernard nous indique qu’il n’a jamais vu Sandra en ces lieux, mais qu’il aimerait beaucoup l’y accueillir à nouveau.
Je formule le même souhait, avec un goût d’inachevé à l’esprit 1.

Pour autant, j’ai passé une très agréable après-midi laquelle vient clore notre programme avec bonheur.

Cette année encore, nous avons passé de magnifiques et précieux moments, faits de surprises, de cadre exceptionnel, de plaisirs et d’insouciance.
La rencontre de Sandra est une cerise inattendue sur le somptueux gâteau.

Alors que nous devisons en nous rappelant ces dernières 48 heures, nous nous demandons s’il sera possible de faire encore mieux l’année suivante !
La barre est haute, mais des événements à venir pourraient bien changer la donne.

  1. il semblerait qu’elle soit retournée depuis aux Chandelles, une fois au moins… je n’étais pas présent[]
Dim 18
Octobre
2015

PostHeaderIcon Le cap des 7 ans

La presse sexo, féminine, et même la culture “populaire” convient volontiers que “le cap des 7 ans” est difficile à passer.

Nous 1 l’avons pourtant fêté dignement autour d’une table aux Chandelles, avant de nous ébattre sous les voûtes, parmi d’autres convives.

J’écrivais déjà, en octobre 2010, à quel point on ne soupçonne pas toujours la portée de certaines rencontres sur le moment.
Cela se vérifie d’autant plus…

  1. pour ceux qui ne suivent pas, je vous laisse regarder la liste de mots clés, il y a un indice[]
Sam 5
Avril
2014

PostHeaderIcon Ce soir, j’irai au Bal… des Princesses.

Comme je le relatais déjà, le temps est une ressource dont je ne dispose que très peu depuis un certain nombre de mois.
Préférant sortir que d’écrire (je sais c’est mal) le blog en pâtis.

Ce soir je fais exception à la règle, doublement même : j’écris ces quelques lignes, et ma sortie devrait être plus sage qu’à l’accoutumée : le Bal des Princesses 2014.

Bal des Princesses 2014

Je ne serai pas déguisé en lapin, inutile de m’y chercher sous cette forme si vous y participez.

Et si vous venez sur le blog suite à la soirée (qui sait), je vous invite à feuilleter ces quelques pages (NSFW).

Sam 6
Juillet
2013

PostHeaderIcon Cyber décapitation et plomb dans l’aile

Le site Internet du Roi René (qui fut pendant longtemps le plus vieux club libertin de France) ne répond plus.

La fermeture de l’établissement était annoncée depuis l’été dernier, ainsi qu’une réouverture maintes fois repoussée.
Avec la disparition du site Internet éponyme, les chances de voir l’établissement renaître semblent s’amenuiser.

Les dernières nouvelles de leur page Facebook (encore en activité) ne sont pas bien enthousiasmantes, une tentative pour trouver un nouveau local ayant échouée en avril dernier.

Rideau Rose

Ces difficultés me rappellent un autre club disparu en Juillet 2011 : le No Comment.
Le lieu a été repris depuis par quelques célébrités, qui en ont fait une discothèque branchée, jouant sur le côté “ancien club échangiste”.

Hélas, une réouverture de l’établissement sous sa forme libertine n’a pour l’heure pas officiellement aboutie.

J’espère que l’indisponibilité du site Internet du 7ème ciel depuis quelques jours, n’est pas le présage d’un atterrissage forcé.

Le moins que l’on puisse dire c’est que l’écosystème des clubs parisiens est en mouvement, à l’instar de l’ouverture du Rituel Foch, dont je vous commenterai ma récente visite d’ici peu.

[Petite mise à jour du 3/02/2015 : Le site du no comment club ne répond plus… en revanche les anciens propriétaires du club libertin ont ouvert le taken club il y a déjà un an ! Quant au 7ème Ciel, je vous laisse prendre connaissance des commentaires…]

 

Dim 28
Avril
2013

PostHeaderIcon Échéances

J’utilise régulièrement un vieux logiciel pour faire mes comptes personnels.
Aujourd’hui il me demande : “Les chandelles est une dépense qui revient régulièrement, souhaitez vous l’ajouter au calendrier des paiements périodiques ?”

Comptes et cochonneries

Je crois que je suis en train de prendre de mauvaises habitudes…

Mer 31
Octobre
2012

PostHeaderIcon Une journée d’anniversaire bien remplie (partie I)

Comme l’indique missdactari ICI le dernier jour d’Août nous fêtons (dignement bien sûr) son anniversaire.
La folle journée de 2011 avait d’ailleurs donné lieu aux 3 billets “Triathlon“.

Cette année, après une ébauche de programme “jeux glaulympiques”, la miss s’est finalement orientée vers une journée shopping / club / restau / hôtel.
Un agenda plus orienté vers les plaisirs que la performance donc, oserais-je même dire “plus romantique” ?

L’objet de ce billet est de revenir en particulier sur certains points, le récit de missdactari étant déjà assez riche.
Je ne saurai trop vous conseiller d’aller relire sa publication pour avoir tout l’agenda en tête.
Et comme je vais parler surtout de ce qui m’a plu… ce billet va être long !
Il sera donc publié en plusieurs parties… et plein de bons sentiments !

Retour en arrière…

31 Aout 2012, H-1.
Je m’efforce de ne pas être en retard 1 et me désole de ne pas avoir encore reçu la petite surprise commandée sur Internet.
En guise de cadeau, il est prévu que je lui offre un petit quelque chose lors de notre journée, mais il y manque à mon goût l’effet de surprise.
De plus elle m’a indiqué ne pas vouloir de “joujou” puisque son Fairy est indétrônable… et que je n’arrive décidément pas à trouver une volontaire pour un poney-plug.

La position dominante du Fairy étant avérée, je me décide donc à lui adjoindre un accessoire, hélas ils ne sont pas si faciles à dégoter.
Le site sans prétention sur lequel j’en ai trouvé un me semble bien artisanal, et je crains d’être livré dans un “certain” délai, voire pas du tout.
Alors que je prépare mes dernières affaires (car ce soir, je découche) la sonnerie me donne une lueur d’espoir.
Serait-ce la livraison de l’accessoire tant espéré ? L’adresse de l’expéditeur sur le colis me le confirme…

Ô Joie j’aurai donc une  petite surprise pour ce soir !

Je glisse la boite dans ma sacoche et me voici parti pour rejoindre la miss, et démarrer par notre déjeuner de sushis.

Tataki

 

Il y a pléthore de recettes et je me lance donc dans l’originalité (pas forcément traditionnelle, mais la nourriture est bonne).

Une salade “machin bizarre au poulpe” selon la dénomination missdactarienne, et des “tatakis” qui sont des sashimis mi-cuits et assaisonnés.
La journée commence bien comme le souligne la miss dans son article, même si effectivement  nous ne sommes pas d’accord sur la signification du regard appuyé de certaines clientes envers la serveuse.

Elle y voit une simple faim de loup, et moi une possible attirance.
Je commence d’ailleurs à me demander, à la lueur d’une récente sortie 2, si je ne vois pas des lesbiennes partout…
Mais je maintiens que ce regard n’était pas en provenance de l’estomac… toutefois il s’agissait peut être simplement de jalousie ?
Oui, avouez mesdemoiselles et mesdames, vous vous êtes déjà dit en regardant une rivale “argh comment elle est gaulée cette garce” et bien “elle l’a trouvé où sa robe, elle irait mieux sur moi!”.

Avec le recul j’opterai plutôt pour cette explication.
A ma décharge je dois avouer que mon côté féminin doublé d’une propension à la “fashion-victimisation” grandissante me fait également avoir ce genre de pensées.

Passons donc à la suite du périple, et la découverte d’une sélection de love-shops.
Il s’agit ici d’établissement “nouvelle vague”, comme on en voit fleurir partout… bien loin des traditionnels sex-shops tapis derrière une tenture, et où une femme devait avoir le cœur (et le string) bien accrochés pour oser entrer.
Missdactari a effectué une sélection méticuleuse et un plan de route optimisé, gloire soit rendue à son très grand sens de l’organisation.

Deux points m’ont particulièrement marqué lors de ces visites :

  • Concorde tout d’abord… j’avais déjà visité leur magasin du Boulevard de L’Hôpital il y a plusieurs années (peut être une dizaine ?).

A l’époque ils se voulaient “supermarché du sexe” et mettaient en avant ce côté non-glauque et “décontracté” du sex-shop.
Un choix visionnaire puisque c’est aujourd’hui un mouvement général sur le marché de l’accessoire pour adulte.

Concorde Sex Shop
La présentation actuelle du magasin a d’ailleurs bien évolué depuis mes précédentes visites.
Décoration claire et lumineuse, choix d’articles élargi, montée en gamme : la vente d’articles à connotation sexuelle s’est décidément démocratisée.
La présence de jeunes clientes dans le magasin ne trompe pas, ce marché a vécu une véritable révolution.
Je reste malgré tout surpris par la place accordée aux DVD vidéo, dont la qualité semble très inégale, à l’heure où les vidéos porno sont facilement accessibles sur le web, le tout gratuitement.

  • Mais il y a une enseigne qui a poussé ce concept beaucoup plus loin: il s’agit de Dollhouse.

L’enseigne s’adresse en priorité aux femmes, d’ailleurs l’accès y est interdit aux hommes non accompagnés.
Un bon moyen d’éviter les dérives, les hommes accompagnés étant généralement plus enclins à bien se tenir.
Pour autant, en tant que représentant de la gente masculine, je ne me suis pas senti oppressé (il faut dire que je ne suis pas allergique au rose).
Et pour cause: hormis la présence de quelques articles destinés aux hommes, le discours part du produit mais n’oublie pas d’inclure le rôle des messieurs.

Dollhouse vitrine

 

En Bref : ambiance feutrée mais détendue, choix de produits plutôt haut de gamme, conseils avisés et discours sans détours: nous sommes là dans un univers qui parle aux femmes, et leur parle de plaisir !
Paradoxalement, même si c’est de toutes les boutiques visitées celle qui m’était le moins destinée, j’ai adoré le concept et l’accueil.

Pas tant dans une perspective de “client” (même si c’est là que nous avons trouvé un cadeau pour la miss), mais dans l’absolu parce que ce type d’établissement apporte vraiment un plus.
Enfin un endroit où les femmes peuvent choisir un sex-toy tranquillement, être conseillées, par une vendeuse qui a visiblement donné de sa personne pour connaitre sa gamme !

A toutes celles qui n’osent pas franchir la porte d’un sex-shop ou d’un love-shop, mais veulent faire l’acquisition d’un “joujou”, n’hésitez plus !

Au risque de me faire taxer de féminisme démago, je suis favorable à tout ce qui contribue à ouvrir l’accès du plaisir aux femmes, selon leurs propres choix et leur propre envies.
A ce titre, Dollhouse mérite amplement ce “coup de pouce” de ma part.

Dollhouse détail

Après ces découvertes menées tambour battant, dans un timing d’orfèvre, il est temps de descendre dans notre antre du libertinage : les Chandelles !

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Crédits photos : Planetsushi, Concorde, page Facebook de Dollhouse.

  1. ce qui est malheureusement trop souvent le cas, et que la miss déteste[]
  2. promis j’en reparle dans moins d’un an[]