Archive pour février 2012
Un club pour s’envoyer en l’air (teaser)
Septembre 2011.
Mardi 27…
Au cours de ma visite quotidienne des groupes Facebook auxquels je suis abonné, un petit commentaire attire immédiatement mon attention.
“Ouverture d’un nouveau club libertin, le club est installé dans un avion” !
Tilt ! Un avion ?
Oui car je suis particulièrement attaché aux choses de l’air, et donc la seule lecture de ce mot hors-contexte déclenche immédiatement une alarme intérieure.
Dans un pessimisme condamnable, je crois à une blague, ou au pire je m’imagine que ce club a du s’ouvrir en province, à Toulouse par exemple.
Je me renseigne un peu plus sur le club en question et j’apprends qu’il est situé en région parisienne, sur un aérodrome.
Je jubile…
A ma connaissance il y a 2 possibilités d’avion utilisable pour un club libertin en région parisienne : Le Noratlas des Mureaux et le Breguet 2 Ponts de Fontenay-Tresigny.
Je penche pour la deuxième solution, le Breguet étant plus grand, et à ma connaissance faisant déjà office de bar-restaurant.
J’ai rapidement confirmation sur le tout nouveau site Internet du club, nommé “le 7ème ciel”.
Il s’agit bien du Breguet.
J’ai vu cet avion de près il y a quelques mois, et l’ai survolé à de nombreuses occasions… cette coïncidence est inouïe !
La soirée d’inauguration est toute proche, je ne PEUX PAS rater ça !
J’en fais immédiatement part à Madame, qui répond du tac au tac “il faut qu’on aille voir ça !”, puis se ravise “il faut que TU ailles voir ça !”.
Moins de 15 jours après avoir accouché, je ne peux décemment pas lui reprocher de ne pouvoir m’accompagner…
J’informe missdactari de mes intentions, elle a également lu quelques rumeurs à propos de ce nouveau club.
Bizarrement, pas d’annonce fracassante sur les sites libertins, peu de buzz… la soirée d’inauguration est-elle vraiment maintenue ?
Ou s’agit-il d’entretenir le secret pour sélectionner la clientèle ? Tout cela est-il bien sérieux ?
Le club n’est pas tout proche, mais tant pis, je ne veux pas rater cette première soirée d’ouverture.
Nous tenterons l’aventure, si elle s’avère être une impasse, nous nous rabattrons sur un autre club…
Vendredi 30…
Le grand soir est arrivé, le temps des préparatifs est venu, et je soigne au mieux mon apparence, ne sachant trop quel va être le standing du club, je ne prends pas de risque.
Mocassins anglais, pantalon de costume noir, chemise stylée mais sombre, trois-quarts en cuir…
Je pourrais presque avoir l’air d’un cadre dynamique sortant dans un bon restaurant, à ce détail près que j’ai sur moi assez de préservatifs pour honorer un car rempli de pom-pom girls.
Sous son trench, missdactari porte une de ses charmantes robes blanches.
Nous sommes en route pour le grand-est parisien, la route est longue, mais les axes moins encombrés que prévu.
Je ne connais pas bien la route qui mène à l’aérodrome, mais le GPS est mon allié…
Un allié envers qui il faut avoir toute confiance !
Les aérodromes étant rarement en centre-ville, la route qui y mène s’enfonce dans la campagne et devient plus sommaire à mesure que nous approchons.
Quelques panneaux nous rassurent sur le fait que nous sommes dans la bonne direction, il fait froid et noir dehors, pas le moment de tomber en panne ou se perdre !
La route deviens un peu chaotique, me faisant craindre d’avoir raté un dernier panneau… passé un bosquet, la vue de l’avion me confirme que nous sommes arrivés à bon port (ou bon aérodrome plutôt).
De nuit l’avion parait plus massif que je ne l’avais imaginé… les tissus argentés sur les 2 passerelles, ajoutés à l’occasion de l’inauguration, lui donnent un air de fête.
Nous nous garons dans l’herbe (j’aurai du déposer la miss sur le dur, talons oblige).
Une personne nous accueille en insistant pour bien savoir si nous savons ce qu’est devenu le lieu… de peur sans doute que d’anciens clients du bar-restaurant ne soient choqués ?
La précaution est louable en tout cas, et oui, nous savons très bien pourquoi nous sommes venus !
Il est temps de monter sur la passerelle pour accéder à l’entrée du club, à l’avant du pont inférieur…
[ suite ]
Crédits Photos : première image via Wikipédia (Adry 1991 / CC BY-SA, cliquez pour la licence complète) , les deux autres à partir du site Internet du 7ème ciel.
Le début de la célébrité
La “fan page“ Facebook du blog vient de dépasser les 200 personnes qui aiment !
Soit plus que le nombre de commentaires sur le blog, et bien plus encore que le nombre d’articles… 1
Mais je me sens moins seul, merci à vous lecteurs de l’ombre !
(Et je retourne avancer le billet sur le 7ème ciel)
- n’est pas CUI qui veut[↩]
Un après-midi aux Chandelles (suite et fin)
Prenant place dans un petit recoin proche du comptoir, les dames profitent des canapés.
Nous devisons sur nos diverses sorties et expériences.
Bernard n’a pas son pareil pour inciter J*** à nous montrer ses bas et la complimenter sous notre regard amusé.
L’ambiance chauffe rapidement, les mains se font baladeuses, et les doigts fouineurs… bientôt le lieu n’est plus adapté à la fougue qui nous envahit.
Souhaitant profiter juste nous quatre dans un premier temps, nous nous installons logiquement dans la pièce aux miroirs.
Les caresses commencent gentiment, J*** avec H*** et missdactari avec moi.
Vêtement par vêtement, les corps sont effeuillés, les regards se font complices, les mains plus aventureuses.
Les dames sont décidemment toutes deux très belles, et leur regard traduit une certaine gourmandise…
J’ai une irrépressible envie de gouter leurs fruits défendus, de m’y abandonner en lapant de plus belle, de les sentir jouir sous ma langue et mes doigts.
Les filles ne sont pas en reste et nous font la démonstration de leur grande maitrise de la fellation.
Je n’ai pas souvent eu l’occasion de jouer avec J*** mais cela reste un excellent souvenir, et il me tarde de découvrir à nouveau son corps et sa peau douce.
A l’entrée du coin aux miroirs, quelques hommes observent tour à tour, certains osent une main pour caresser une fesse ou un sein, sans empressement déplacé.
Aucun n’essaye de nous rejoindre cependant, de toute façon l’espace est compté et ce serait particulièrement ambitieux.
Le peu de surface encore visible est jonché de chemises, robes, pantalons, boxers…
Bientôt nos deux partenaires féminines se retrouvent côte à côte, croupes offertes, cuisse contre cuisse, deux levrettes à la symétrie charmeuse.
Elles ne manquent pas de relever la situation…
Je m’assure que missdactari est comblée, lentement mais surement J*** se retrouve entre mes mains attentionnées.
A mesure que l’ambiance devient torride, J*** semble particulièrement motivée à l’idée d’avoir 2 hommes pour elle, et missdactari s’éclipse…
… mais elle ne reste pas bien longtemps seule, à en juger par les gémissements qui arrivent assez vite à mes oreilles et que j’identifie avec certitude.
Alors que je libère l’entrejambe de J*** de mon étreinte, H*** se rapproche d’elle ne lui laissant aucun répit, il s’enfonce en elle.
Ils échangent un regard complice, H*** se retire alors, bascule son bassin, et la sodomise sans difficulté aucune.
La douche est salvatrice… celle des Chandelles est à l’italienne, l’eau toujours chaude, de nombreux produits sont à disposition, et les serviettes ne viennent jamais à manquer.
La déco en carrelage noir, sobre et moderne, me plait tout particulièrement. L’endroit est apaisant, tout ce qu’il faut pour récupérer après des nos ébats ravageurs.
Nous nous retrouvons tous les quatre devant la douche, missdactari nous rejoint à demi nue, sourire aux lèvres…
Les seins à l’air, les filles discutent de tout et de rien, après s’être assurées que tout le monde a bien profité. C’est le cas.
Vêtements retrouvés, voilant pudiquement nos longs moments de débauche… nous nous installons au bar, repus.
Le temps d’un dernier verre, J*** et H*** ont des obligations et vont devoir nous quitter. Missdactari et moi avons encore un peu de temps devant nous.
Je ne résiste pas à une envie qui me titille depuis longtemps…
Faisant retirer ses escarpins à missdactari je l’aide à relever sa robe et elle se hisse sur un des hauts tabourets.
Bernard, qui a saisi nos intentions exhibitionnistes, se hâte de débarrasser le bar.
Prenant garde (un peu trop tard) aux lustres qui surmontent le bar, j’aide missdactari à s’allonger…
Tandis que je commence à la butiner, je jette un œil par-dessus son mont de vénus et j’aperçois les regards, curieux ou amusés, converger vers nous.
Je m’applique autant que possible, c’est que j’ai à cœur de démontrer mes aptitudes cunnilinguesques à l’assemblée !
Son clitoris roule sous ma langue et à chaque passage il me semble se gonfler un peu plus… mes doigts l’explorent sans ménagement, elle est trempée.
Je fais jouer ma langue en cadence avec mes doigts, augmentant très lentement le rythme au fur et à mesure que je sens la tension monter.
A force de ce petit jeu, le plaisir la submerge et je me repais du magnifique spectacle de son orgasme dans un écrin glamour.
Nous prenons quelques temps pour nous remettre (enfin, surtout missdactari) et je l’aide à redescendre sur terre.
Il est temps de quitter à notre tour les lieux, à regret… mais je suis déjà bien en retard.
Bravant le froid, nous rejoignons le parking et la voiture de missdactari.
Nous réchauffant peu à peu, nous faisons route commune, et discutons de ces précieuses heures que nous venons de vivre, hors du temps, la tête dans les étoiles.
Quelques jours après J*** me recontacte… il faudra, à coup sûr, nous retrouver de nouveau, tous les quatre aux Chandelles !