Fred Goormand

AvatarHomme en couple libertin, francilien, jeune quadra dynamique.

Adepte sans borne du cunnilingus, inscrit au don d'orgasmes.

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  • To lick or not to lick
  • La loi du silence
  • Suite de la série “de l’origine … à l’orgie”
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Archive pour avril 2012

Dim 29
Avril
2012

PostHeaderIcon Pinky s’invite chez Eff

Le mois d’Avril touche à sa fin, et maintenant que le blog d’Effrontée 1 a réouvert publiquement, je ne pouvais pas rester sans vous signaler ce cliché de Pinky pour le calendrier 2012 :

La version grand format est était disponible sur son blog, avec en cadeau une petite interview de votre serviteur.

Le seul souvenir de ce blog est ICI.

(Page éditée le 19/12/2020 suite à la disparition du blog “Eff C’est Moi”)

  1. disparu depuis…[]
Lun 9
Avril
2012

PostHeaderIcon Sweet’X : doux rêve ?

Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas attendre trop longtemps avant d’écrire un billet sur un nouveau “club” récemment visité.
Tout simplement parce que celui-ci ne m’a pas laissé indifférent, et surtout parce qu’il me semble qu’il mérite réellement un coup de pouce.

Le “Sweet’X’Cabaret” est donc un nouvel établissement aménagé dans les locaux d’une ancienne discothèque.
Situé près d’Etampes, au sud de l’Essonne, nul doute que sa localisation lui vaudra d’être qualifié de club de province par les plus parisiens d’entre nous.
Pour résumer, ce club mélange les concepts de discothèque, club libertin et cabaret proposant du “lap dance” 1.

Plutôt que de vous faire comme à mon habitude une longue description, je vous envoie sur l’article de missdactari : Sweet’X Cabaret, un cabaret-club libertin afin de me focaliser sur les quelques points qui m’interpellent.

 

Partie Discothèque

La partie discothèque / lap dance est aménagée de manière typique et fonctionnelle : grande piste (carrelée, personne n’est parfait), podium central avec barre de pole-dance, quelques estrades sur les angles…
Que ce soient les sièges de couleur rouge organisés en petites grappes autour de tables, le carré VIP, le bar accessible des 4 cotés : l’aménagement est pertinent et rien n’a été laissé au hasard.

Petit ajout propre au côté “cabaret” : les alcôves discrètement isolées derrière un voilage pour les danses “personnelles”.

Le Sweet'X coté disco

On remarque immédiatement l’origine “night-club” du lieu, richement doté en équipements d’éclairage, miroirs, machine à fumée…
L’équipement sonore n’est pas en reste : de bonne qualité, puissant sans vous vriller les oreilles 2.
J’ai trouvé la sélection du DJ pertinente et entraînante, il a fait preuve de motivation malgré la faible fréquentation lors de notre visite.

Du point de vue “disco” le club n’a pas à rougir même face à l’Overside, qui est pourtant une référence pour beaucoup de libertins sur ce point précis.

 

Le carré rose

Je vais être direct : j’ai carrément craqué sur la déco du carré rose.
Capitonnages blancs, déco dans les ton roses, lumière tamisée mais bien présente… pour moi il n’y a rien à jeter.

A la différence des tons rouges et noir que l’on trouve typiquement dans certains clubs, je trouve le thème blanc et rose plus glamour.
C’est un choix certes “féminin”, mais justement n’est-ce pas en club que les femmes sont reines ? Alors rien de choquant à ce que la décoration du lieu soit à leur image.

Sweet'X : capitonnages blancs

Les coins câlins composés de grandes banquettes tout en cuir blanc, aux formes arrondies et improbables sont une réelle invitation à coquiner.
Séparées par des voilages facilement amovibles, elles ont les avantages des coins “ouverts” tout en paraissant intimes, un vrai tour de force.
Les petites tables rondes à leur pied, avec des trous permettant de poser ses verres sans les renverser, ou de laisser sans les perdre une partie de ses effets personnels, est une vraie bonne idée.

Les barres de leds dans les tons blanc rose (que l’on peut changer parait-il) disséminées tout le long des banquettes, épaulées par de nombreux miroirs, donnent une luminosité aux multiples sources, tamisée mais soutenue.
Cette lumière, intimiste et reposante tout en restant très présente, a particulièrement flatté mon côté visuel et décuplé mon excitation.
J’ai vraiment passé un magnifique moment de sensualité et de plaisir. Même si je le dois avant tout à ma délicieuse cavalière-amante, la déco et l’éclairage ont magnifié l’expérience.

En revanche, la présence d’une petite piste m’a laissé un peu perplexe dans la mesure où la salle disco dispose de tout ce qu’il faut…
… elle pourrait servir pour quelques danses lascives, mais il me semble que cet espace serait mieux utilisé en prolongeant la féerie des grandes banquettes blanches et des voilages.

La présence du bar est appréciable, mais pas forcément très utile non plus.
Mais après tout, pourquoi pas, il y a de l’espace, beaucoup d’espace, dans cet établissement.
Et puis j’adore les ensembles de tabourets hauts en cuir blanc.

Comme le précise missdactari, rien n’a été oublié : préservatifs à disposition, serviettes, oreillers, salle de de douche équipée, tout le lieu est une invitation à la débauche.

Sweet'X : voilages

Vous l’aurez compris, je suis sous le charme de l’aménagement et de la décoration du lieu.
Le choix des couleurs, des matières, les équipements, leur aménagement, l’éclairage, tout cela a été fait avec beaucoup de sérieux et de goût, et n’appelle chez moi aucune critique.

En définitive, il ne manquait pour moi qu’une seule chose : des clients (libertins tant qu’à faire).

 

Promo

Car c’est bien cela le gros point faible du lieu : la fréquentation.

Non pas que l’établissement soit mal fréquenté… contrairement à nos craintes il ne donne pas l’impression d’un club glauque, proposant des passes “sous le manteau” en complément d’une lap-dance.
Pas d’atmosphère pesante, même si les hôtesses ont été quelque peu insistantes, nous demandant un nombre incalculable de fois si elles pouvaient nous aider.
Sauf… au cœur de l’action !
Dommage, j’aurai bien répondu par la positive à  notre grande hôtesse aux longs cheveux blonds et accent de l’est.
Mais elle  n’est pas venue me poser la question lors de nos ébats.

Au vu des investissements réalisés (enseigne géante, décoration, personnel nombreux…) ce club a besoin de clients pour continuer d’exister.
La disposition et la taille du lieu ne le rendront que plus attrayant s’il est convenablement rempli.

Et j’ai bien peur qu’il ne trouve pas sa clientèle, pour une raison assez simple : son positionnement est flou.
S’agit-il d’une discothèque ? d’un club de strip-tease ? d’un club libertin ?

Il se veut tout cela à la fois… et ce faisant il s’adresse à une clientèle hétérogène :

  • Aux jeunes de la région qui veulent aller danser le soir.
  • Aux hommes célibataires qui veulent se payer une lap-dance ou s’émoustiller en petit groupe.
  • Aux couples qui veulent se dévergonder (rappelons que le carré rose est en principe interdit aux hommes seuls).
  • Aux libertins (dont beaucoup regretterons la restriction quant à l’accès du carré rose).

En ratissant aussi large en termes de cible, il me semble qu’il tente de rassembler des populations différentes,  qui ne vont pas forcément pouvoir se côtoyer en toute harmonie.

Ce flou dans son positionnement pourrait bien lui être fatal, et c’est dommage.

Car ce lieu porte un potentiel libertin certain, il me rappelle en partie le regretté club Acanthus de Dammarie-les-Lys, un de mes clubs préféré, et qui a malheureusement fermé ses portes.
Le laisser péricliter serait un beau gâchis… s’il pouvait devenir un club libertin à part entière, nul doute qu’il aurait du succès.

Alors ?
Alors il a besoin d’un sérieux coup de pouce !

Oui c’est un peu loin pour les parisiens, oui la Z.I est paumée et  n’a absolument aucun charme.
Mais une fois à l’intérieur, la sensualité et le désir prennent le dessus.

Libertins de Paris et de banlieue 3, allez donc rendre visite au Sweet’X’Cabaret, allez-y avec vos amis libertins, profitez des installations, prenez possession du lieu, délectez-vous de ces magnifiques banquettes de cuir blanc, et révélez-en le vrai potentiel !

Il y a là une opportunité de voir émerger un nouveau club, qui se révélera, ou pas.

En ce qui me concerne j’ai très envie d’y retourner, je serai même tenté d’y organiser une soirée docti, c’est dire !

Les photos viennent du site (désormais fermé) et de la page facebook du club.

  1. féminin ET masculin, les dames ne sont pas oubliées[]
  2. très bonne marque d’enceintes pour les amateurs, du E.v. en l’occurrence[]
  3. sud, surtout[]
Ven 6
Avril
2012

PostHeaderIcon Un club pour s’envoyer en l’air (la visite)

[ précédent ]

Nous montons donc la passerelle et entrons par l’étroite porte qui mène à l’avant du pont inférieur, sous le cockpit donc.

A première vue, la déco fait plus club libertin qu’avion, ce qui est tout de même préférable : nous ne sommes pas venu voir un musée.
Lumière dans les tons rose / violet, le comptoir d’accueil se situe sur un bord de couloir, et de la place est réservée à l’arrière pour le vestiaire.
La caisse enregistreuse fait très sérieux (un peu commercial aussi) et de jolis flyers sont à disposition (très bonne idée le faux billet d’avion, même si le contenu manque un peu de recherche et l’orthographe est approximative).

Billet 7ème ciel recto

 

Billet 7ème ciel verso

Au lieu des traditionnelles fiches de consommation que l’on doit laisser au bar, on nous donne un petit bracelet avec notre numéro de vestiaire, qui sert pour en récupérer le contenu, et noter les consommations. Le principe des clubs humides en sorte… mais cela fonctionne très bien aussi ici, et cela éviter de froisser un carton dans ses poches.

On nous annonce que la première coupe de champagne est offerte pour l’inauguration, et on nous présente rapidement l’organisation du lieu.
Nous partons donc faire notre petit tour d’exploration.

Dans l’enfilade de l’accueil, le bar et ses tabourets, tout en longueur (il faut bien de la place pour circuler), la “sono” se fait du même endroit.
Son matériel est récent et  l’installation intelligente, mais le matériel s’adresse plutôt à des particuliers… qu’à cela ne tienne, vu la configuration des lieux, cela reste suffisant pour profiter de l’ambiance sonore.
Le “dancefloor” est plus un lieu de passage (forcément étroit) qu’une piste (de danse) réellement utilisable 1 et surtout… le sol est en légère pente !

La déco peinture blanche et sol en motif bois” est assez classique.
Quelques luminaires baroques donnent un touche glamour, le tout éclairé dans les tons rose / violet.
On n’a pas l’impression d’être dans un avion, mais les multiples petits casiers à hauteur des yeux offrent une touche inhabituelle.

7ème ciel : le bar au pont inférieur

Après le bar sont disposées une grande banquette noire et quelques tables basses style discothèque.

Coté déco rien de bien transcendant, mais rien de négatif non plus… compte tenu des contraintes, l’adaptation de l’avion en club libertin est plutôt réussie.

Au fond de ce pont inférieur, on trouve sur la gauche une porte qui permet aux fumeurs de se retrouver sur une seconde passerelle, et sur la droite un escalier en colimaçon monte vers la partie “interactive”.
Petit désagrément : cet escalier est très étroit et raide, les dames en talons doivent donc être particulièrement vigilantes et les messieurs prévenants !

Une fois arrivés à l’étage, une bonne surprise se présente sur la droite : une douche entièrement carrelée, décorée et éclairée avec goût et épousant totalement la forme du fuselage !
Arriver à proposer une douche dans ce lieu relève tout de même de la gageure (d’un autre côté l’absence de douche aurait été rédhibitoire), l’A380 n’a qu’à bien se tenir !

L’équipe n’a cependant pas pensé à tout : pas de serviettes à disposition (mais ce soucis est bien vite réglé) et rien pour poser ses affaires ni s’assoir pour se rhabiller.
Rien de bien méchant cela dit, et rien qui ne puisse être réglé “vite et bien”.

7ème ciel : la douche

A cet étage, la déco reste simple et feutrée, tout à fait adaptée au lieu.
Sur les côtés, sous les hublots se trouvent de petits rebords sur lesquels sont mis à disposition des boites métalliques carrées, portant diverses décorations.
Chacune contient trois préservatifs.
C’est une initiative appréciable : pratiques, esthétiques et discrets, les préservatifs sont disponibles sans être non plus trop présents 2!

Se suivent ensuite les coins câlins, aménagés sur les cotés du couloir, en chicane. Cela reste un bon choix vue la configuration du pont, et certains coins câlins peuvent accueillir 5 ou 6 personnes. Ne prévoyez toutefois pas de grosse orgie.

En remontant vers le cockpit, le premier coin qui est aussi un des plus grands, est confortable. Son accès est étroit ce qui permet de filtrer un peu les visites. Les curieux peuvent tout de même regarder à travers une ouverture dans la cloison. Quelques jolis coussins (toujours appréciés) sont disposés sur le matelas, qui est ferme et confortable.

7ème ciel : les coins câlins

Si l’on poursuit, un autre coin plus petit est disponible dans un renfoncement.
Puis un autre sur la gauche, assez réduit également, prolongé par une petite banquette et un écran diffusant des vidéos (et dont l’intérêt me laisse perplexe).
Viennent ensuite les toilettes, puis une porte qui devrait mener à terme vers la petite balnéo.

En effet du côté gauche de l’avion se trouve une piscine, qui n’était pas (encore) ouverte au public lors de l’inauguration.
L’objectif est de proposer une passerelle couverte qui permettrait de rejoindre la piscine ainsi qu’un jacuzzi et / ou un sauna (qui restent à construire) si possible pour l’été suivant. 3

On arrive enfin au Saint-Graal à l’avant de l’appareil, le cockpit !
Celui-ci est débarrassé de ses sièges et (malheureusement) de tous les instruments et commandes 4. Ne subsiste donc que le large pare-brise, qui offre une vision panoramique vers l’extérieur.
Un grand matelas à la forme alambiquée permet de profiter au maximum de la surface de ce coin câlin atypique.

Nous redescendons prendre un verre, et nous relaxer sur la banquette. Le barman / DJ est aux petits soins pour nous.

Il n’y a pas encore grand monde ce soir, deux femmes seules, qui visiblement connaissent bien le staff, et un couple, mais d’autres commencent à arriver.

Qu’à cela ne tienne, l’envie d’aller expérimenter le coin-câlin-cockpit me démange, et j’entraîne missdactari dans le colimaçon…

[ suivant ]

 

Crédits Photos : scan personnel pour le billet, les photos viennent du site Internet du 7ème ciel.
  1. celle de l’aérodrome elle, l’est tout à fait mais je m’égare[]
  2. Reste à voir si la logique économique ne va pas avoir raison de cette délicate attention[]
  3. Je ne sais pas si ce projet est encore d’actualité au moment où j’écris ce billet[]
  4. Il est prévu de mettre des éléments décoratifs pour donner le change[]