Billets avec le mot-clef ‘fellation’
Nature Sauvage (Loup y es-tu ?)
[ précédent ]
Malgré la mésaventure de la nuit qui a coupé mon sommeil, je me réveille reposé au petit matin.
Il fait déjà bien jour dehors et le lodge est baigné de lumière.
Missdactari est bien au chaud sous la couette, je la regarde dormir tout en prenant mon temps pour sortir totalement des limbes.
Je demeure ainsi à la regarder encore quelques minutes, jusqu’à ce qu’elle ouvre les yeux à son tour.
Elle reste immobile un instant, puis s’étire et m’indique que lit et la couette ont été un bonheur.
Elle passe sa main dans mes cheveux, tandis que je me rapproche d’elle et pose une main sur sa hanche, et la fait remonter lentement jusqu’à son sein ferme et aguicheur.
J’en dessine délicatement l’extérieur dans ma paume, sondant le moindre millimètre carré de peau sous mes doigts, profitant de sa douceur et de son grain.
Dehors la météo semble clémente… nous avons encore quelques minutes avant de devoir partir prendre le petit déjeuner.
Mes mains poursuivent leur exploration tactile et suivent chaque courbe, chaque détail… mes mains caressent autant qu’elles ressentent, exploratrices et bienfaitrices.
Nous restons sages pour l’instant, la douceur du matin est propice aux câlins, mais l’heure du petit déjeuner n’est pas compatible avec une nouvelle chevauchée.
Profitant de la somptueuse salle de bain, nous nous apprêtons, non sans quelques mains baladeuses.
A la lumière du jour, le trajet vers la salle de restaurant est nettement plus assuré et plus rapide que la veille.
L’activité animale sur la grande plaine est différente, plus animée, mais les animaux sont plus éloignés que la veille au soir.
J’ai toujours plaisir à profiter des petits déjeuners d’hôtel, ou il n’y a rien d’autre à faire que choisir et profiter…
Je suis comblé : la salle est calme, propice aux discussions y compris les plus indiscrètes, le buffet suffisamment diversifié pour que mon appétit ne suffise pas à goûter tous les mets qui me font envie.
Rassasiés, nous retournons vers notre lodge en prenant le temps d’explorer la ferme et quelques autres recoins que nous n’avions pas encore eu le temps de visiter.
Nous entreprenons alors de découvrir les abords immédiats de notre hébergement, dans la partie ouverte au public, afin de constater ce que les visiteurs peuvent y voir.
Quelques cabanes reconstituant des demeures de trappeurs s’offrent à nous, ainsi qu’un tunnel avec des accessoires de chercheur d’or, ou des répliques de chariots à l’ambiance Far-West.
Çà et là quelques objets amérindiens, tableaux, illustrations de chasse, servent à parfaire le décor et à donner le ton.
Nous observons également les loups blancs, qui sont dans un espace proche du notre, mais non-visible de notre lodge.
Enfin, nous nous rendons à l’aire d’observation des loups noirs, en nous demandant si l’on peut nous apercevoir, puisque la grande baie vitrée de notre chambre donne de ce côté, sans rideau ni store.
Notre crainte n’est pas tant d’être observés en pleine action, que de choquer les plus jeunes qui ne s’attendent pas à voir ce type d’accouplement.
Nous constatons que, sous un certain angle, une partie du lodge est effectivement visible… néanmoins ce point de vue n’est accessible qu’à condition de mesurer une certaine taille, ce qui nuance nos craintes.
De retour dans nos appartements, nous avons un peu de temps devant nous avant de quitter les lieux…
J’envoie un regard complice à Missdactari, elle devance ma proposition et indique que nous n’aurons pas le temps de déraper avec tout le loisir que l’on voudrait, et puis la journée n’est pas terminée.
D’humeur joueuse, motivé par la baie vitrée baignée de soleil, et l’esprit empli de pensées douces et perverses, je m’allonge sur le bord du lit, et me met à l’aise.
Nous n’avons peut-être pas le temps pour de longs ébats, mais j’ai envie de relever le challenge d’une fellation en mode “quickie”.
Missdactari est médusée, mais elle accepte le challenge à condition que le temps me soit compté, pour relever le défi et y mettre un objectif.
Nous sommes positionnés à l’angle de la grande vitre, je devine qu’à cet endroit, nous pouvons être vus par des visiteurs qui seraient placés au bon endroit.
Cette perspective m’excite et ajoute au côté furtif de la caresse que je reçois.
En relevant la tête, je vois que quelques visiteurs sont accoudés à l’aire d’observation… peuvent ils nous voir ? Nous n’en avons pas la certitude. Un visiteur cependant, un homme d’un certain âge, semble regarder dans notre direction, est-ce un hasard ?
Moi qui ne suis pas un grand amateur d’exhibitionnisme, j’imagine la réaction que pourrait avoir l’homme qui nous surprend en pareille situation.
Cette pensée m’excite, et je sens mon plaisir arriver à toute vitesse… nous n’avons de toutes façons plus beaucoup de temps.
Je laisse vagabonder mon esprit, et laisse les délicieuse sensations qui me sont si généreusement prodiguées m’envahir totalement.
La tension monte rapidement, ma capitulation sera immédiate ou largement retardée.
Je veux réussir le challenge, sentir le plaisir m’électriser et mon sperme gicler hors de moi.
Tout s’emballe, la jouissance m’emporte et je me laisse aller dans la bouche exquise et expérimentée de Missdactari.
Totalement happé, prisonnier de ses lèvres, je lui laisse prendre toute ma liqueur avec délice.
Mes spasmes disparus, elle me relâche enfin… non sans effacer toute trace de notre forfait.
Il est temps pour nous de replier bagage, afin qu’ils soient récupérés mis à notre disposition à l’entrée du parc.
Nous avons l’opportunité de rester encore un peu de temps pour profiter du Jacuzzi.
Nous gardons le minimum vital, tandis que nous confions nos valises au personnel qui fait le tour des hébergements en club-car.
Avant d’aller nous baigner une dernière fois, je profite de la nudité de Missdactari pour prendre quelques-uns des clichés dont vous avez déjà pu profiter…
Nous entrons dans le bain et nous prélassons dans l’eau chaude et tourbillonnante, profitant de la vue sur les loups, qui semblent moins farouches que la veille.
Nous pouvons également apercevoir quelques visiteurs sur le site d’observation…
Bien cachés dans l’eau, ils ne peuvent probablement pas nous distinguer, seuls nos visages sortent au-dessus du niveau de la terrasse.
Les caresses et les effleurements sont délicieux, nos mains se cherchent, nos corps se frôlent.
Mais point de sauvagerie pour cette fois.
Alors que l’horaire du départ approche, il est temps pour une dernière douche avant de refermer définitivement la porte du lodge.
Nous prenons un chemin différent de la veille pour nous rendre à l’accueil du Parc.
Nous avons décidé de visiter un peu, et d’aller voir les lémuriens, qui ont visiblement beaucoup de succès.
Par chance, nous passons à l’heure où ils sont nourris, ce qui nous donne l’occasion de les voir de très près.
Après un passage à la boutique du Parc pour quelques souvenirs, clés rendues et formalités accomplies, nous attendons le taxi qui nous mène vers la prochaine étape…
Encore une surprise : Missdactari a réservé dans un restaurant en ville, pas très loin de la gare, de façon à terminer notre étape lorraine par un agréable déjeuner.
Par chance, la météo nous permet de nous installer en terrasse malgré le vent. Nous demandons une table un peu à l’écart car nos discussions ne portent pas que sur les Maki Catta.
Notre serveur en revanche, profite l’air un peu surpris, de quelques bribes de conversations, situation dans laquelle j’aime lui en donner pour sa curiosité…
Le repas est fort agréable et le timing est parfait, sans précipitation, nous repartons donc calmement vers la gare, pour notre TGV du retour.
Nous arrivons à Paris en début d’après-midi… les festivités ne sont pas tout à fait terminées.
Puisqu’il nous reste quelques heures devant nous, autant ajouter quelque activité licencieuse à notre agenda, et nous irons donc aux Chandelles.
[ suivant ]